L'État spectacle. Essai sur et contre le star system en politique
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- Nombre de pages336
- FormatePub
- ISBN2-403-05988-9
- EAN9782403059885
- Date de parution01/01/1977
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1004 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFlammarion (réédition numérique ...
Résumé
La politique devient un spectacle. Et souvent un one-man show. Avec la personnalisation du pouvoir, le monde de la politique repose, comme le monde du spectacle, sur le star system. Tout s'efface - partis, programmes - derrière des supervedettes, qui se distribuent les grands rôles. C'est le héros : de Gaulle, Mao, Staline, puis Brejnev ou Amin. C'est M. Tout-le-Monde : Pompidou, Ford, Carter. C'est le leader de charme : Kennedy, Trudeau, Giscard d'Estaing.
C'est le père, tel Raymond Barre. Ces "stars" inventent la média-politique, la politique faite sur mesure pour les media (presse, radio, télévision). Souvent, elles s'inspirent du théâtre et du cinéma. Souvent, des agences de campaign management fabriquent leur image de marque. Résultat : le citoyen se transforme en simple spectateur d'un pouvoir toujours en représentation. Il est le témoin passif et manipulé de cette exhibition permanente.
Ainsi meurt la démocratie. Il faut donc - d'urgence - renverser l'État spectacle. Ce n'est pas l'affaire d'un livre. C'est l'affaire de chacun. Car la politique est l'affaire de chacun.
C'est le père, tel Raymond Barre. Ces "stars" inventent la média-politique, la politique faite sur mesure pour les media (presse, radio, télévision). Souvent, elles s'inspirent du théâtre et du cinéma. Souvent, des agences de campaign management fabriquent leur image de marque. Résultat : le citoyen se transforme en simple spectateur d'un pouvoir toujours en représentation. Il est le témoin passif et manipulé de cette exhibition permanente.
Ainsi meurt la démocratie. Il faut donc - d'urgence - renverser l'État spectacle. Ce n'est pas l'affaire d'un livre. C'est l'affaire de chacun. Car la politique est l'affaire de chacun.
La politique devient un spectacle. Et souvent un one-man show. Avec la personnalisation du pouvoir, le monde de la politique repose, comme le monde du spectacle, sur le star system. Tout s'efface - partis, programmes - derrière des supervedettes, qui se distribuent les grands rôles. C'est le héros : de Gaulle, Mao, Staline, puis Brejnev ou Amin. C'est M. Tout-le-Monde : Pompidou, Ford, Carter. C'est le leader de charme : Kennedy, Trudeau, Giscard d'Estaing.
C'est le père, tel Raymond Barre. Ces "stars" inventent la média-politique, la politique faite sur mesure pour les media (presse, radio, télévision). Souvent, elles s'inspirent du théâtre et du cinéma. Souvent, des agences de campaign management fabriquent leur image de marque. Résultat : le citoyen se transforme en simple spectateur d'un pouvoir toujours en représentation. Il est le témoin passif et manipulé de cette exhibition permanente.
Ainsi meurt la démocratie. Il faut donc - d'urgence - renverser l'État spectacle. Ce n'est pas l'affaire d'un livre. C'est l'affaire de chacun. Car la politique est l'affaire de chacun.
C'est le père, tel Raymond Barre. Ces "stars" inventent la média-politique, la politique faite sur mesure pour les media (presse, radio, télévision). Souvent, elles s'inspirent du théâtre et du cinéma. Souvent, des agences de campaign management fabriquent leur image de marque. Résultat : le citoyen se transforme en simple spectateur d'un pouvoir toujours en représentation. Il est le témoin passif et manipulé de cette exhibition permanente.
Ainsi meurt la démocratie. Il faut donc - d'urgence - renverser l'État spectacle. Ce n'est pas l'affaire d'un livre. C'est l'affaire de chacun. Car la politique est l'affaire de chacun.