L'esthétique musicale de Nietzsche
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages344
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7574-2697-5
- EAN9782757426975
- Date de parution09/06/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPU du Septentrion
Résumé
Ce livre montre qu'il y a, dans le discours de Nietzsche sur la musique, trois périodes : la métaphysique de la musique des écrits wagnériens (La Naissance de la tragédieet Richard Wagner à Bayreuth), l'esthétique musicale formaliste de Humain trop humain et enfin la physiologie de la musique des textes du Nietzsche de la maturité. Il se propose de mettre en évidence l'évolution qui conduit Nietzsche à rectifier ses positions et de montrer le rapport que ses thèses sur la musique entretiennent avec des positions philosophiques plus fondamentales.
De plus, il met en rapport ce que Nietzsche dit de la musique avec la musique qu'il fait, examinant certaines ouvres musicales de Nietzsche afin d'établir qu'il y a une cohérence entre les deux plans. Enfin, il montre le lien qui existe entre le discours de Nietzsche et les théoriciens de la musique du xixe siècle allemand, à savoir les auteurs du romantisme de Lena, Schopenhauer, Hanslick ou encore et surtout Wagner, soulignant d'ailleurs que, contrairement à ce qu'on dit souvent, il n'y a nulle contradiction entre Opéra et drame et Beethoven, mais au contraire une unité absolue.
De plus, il met en rapport ce que Nietzsche dit de la musique avec la musique qu'il fait, examinant certaines ouvres musicales de Nietzsche afin d'établir qu'il y a une cohérence entre les deux plans. Enfin, il montre le lien qui existe entre le discours de Nietzsche et les théoriciens de la musique du xixe siècle allemand, à savoir les auteurs du romantisme de Lena, Schopenhauer, Hanslick ou encore et surtout Wagner, soulignant d'ailleurs que, contrairement à ce qu'on dit souvent, il n'y a nulle contradiction entre Opéra et drame et Beethoven, mais au contraire une unité absolue.
Ce livre montre qu'il y a, dans le discours de Nietzsche sur la musique, trois périodes : la métaphysique de la musique des écrits wagnériens (La Naissance de la tragédieet Richard Wagner à Bayreuth), l'esthétique musicale formaliste de Humain trop humain et enfin la physiologie de la musique des textes du Nietzsche de la maturité. Il se propose de mettre en évidence l'évolution qui conduit Nietzsche à rectifier ses positions et de montrer le rapport que ses thèses sur la musique entretiennent avec des positions philosophiques plus fondamentales.
De plus, il met en rapport ce que Nietzsche dit de la musique avec la musique qu'il fait, examinant certaines ouvres musicales de Nietzsche afin d'établir qu'il y a une cohérence entre les deux plans. Enfin, il montre le lien qui existe entre le discours de Nietzsche et les théoriciens de la musique du xixe siècle allemand, à savoir les auteurs du romantisme de Lena, Schopenhauer, Hanslick ou encore et surtout Wagner, soulignant d'ailleurs que, contrairement à ce qu'on dit souvent, il n'y a nulle contradiction entre Opéra et drame et Beethoven, mais au contraire une unité absolue.
De plus, il met en rapport ce que Nietzsche dit de la musique avec la musique qu'il fait, examinant certaines ouvres musicales de Nietzsche afin d'établir qu'il y a une cohérence entre les deux plans. Enfin, il montre le lien qui existe entre le discours de Nietzsche et les théoriciens de la musique du xixe siècle allemand, à savoir les auteurs du romantisme de Lena, Schopenhauer, Hanslick ou encore et surtout Wagner, soulignant d'ailleurs que, contrairement à ce qu'on dit souvent, il n'y a nulle contradiction entre Opéra et drame et Beethoven, mais au contraire une unité absolue.