L’Espagne en son labyrinthe théâtral. Suivi de La plus légère idée de Lope de Vega

Par : José Bergamín
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages256
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-84162-718-9
  • EAN9782841627189
  • Date de parution02/09/2025
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille5 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurL'Eclat
  • TraducteurYves Roullière

Résumé

Si, depuis les Grecs, s'est jouée au théâtre la vie vraie, frémissante, offerte au public en sacrifice d'une illusion de vie, au XVIIe siècle, le théâtre marquera l'Espagne catholique du sceau de la vie même. Théâtre du cour palpitant d'un peuple 'colérique', arène où se jouent vie et mort tout à la fois, résurrection du sang versé, croix portée ou banderille fichée sur l'échine de l'animal voué au rite: là, en son labyrinthe théâtral, l'Espagne naît d'un regard suberptice porté sur le monde - regard du moqueur, de l'impénitent, regard du crucifié ou du bourreau, regard de l'oil pers d'un peuple entier qui, regardant, se voit être - voit qu'il est.
De Lope de Vega à Calderón, toutes les grandes figures du théâtre espagnol sont approchées par Bergamín dans cet essai fulgurant. « L'écriture baroque de Bergamín se déploie dans une tentative inouïe de faire entendre le "pas impétueux et cadencé de cette énorme foule de chimères", de ces milliers et milliers de comédies de Lope et de son école, qui ont fait que l'Espagne soit ce qu'elle est, "entière et vraie".
» Jean-Baptiste Marongiu (Libération). Profondément catholique et profondément communiste, poète, philosophe, essayiste, José Bergamín (1895-1983) participe à la guerre civile et est un des personnages du roman de son ami André Malraux: L'espoir. Florence Delay lui a rendu plusieurs fois hommage dans ses écrits. On peut lire à L'éclat : L'importance du démon et autres choses sans importance (1993), Terrorisme et persécution religieuse en Espagne.
1936-1939 (2007) ou En tauromachie, tout est mensonge et tout est vérité (2012).
Si, depuis les Grecs, s'est jouée au théâtre la vie vraie, frémissante, offerte au public en sacrifice d'une illusion de vie, au XVIIe siècle, le théâtre marquera l'Espagne catholique du sceau de la vie même. Théâtre du cour palpitant d'un peuple 'colérique', arène où se jouent vie et mort tout à la fois, résurrection du sang versé, croix portée ou banderille fichée sur l'échine de l'animal voué au rite: là, en son labyrinthe théâtral, l'Espagne naît d'un regard suberptice porté sur le monde - regard du moqueur, de l'impénitent, regard du crucifié ou du bourreau, regard de l'oil pers d'un peuple entier qui, regardant, se voit être - voit qu'il est.
De Lope de Vega à Calderón, toutes les grandes figures du théâtre espagnol sont approchées par Bergamín dans cet essai fulgurant. « L'écriture baroque de Bergamín se déploie dans une tentative inouïe de faire entendre le "pas impétueux et cadencé de cette énorme foule de chimères", de ces milliers et milliers de comédies de Lope et de son école, qui ont fait que l'Espagne soit ce qu'elle est, "entière et vraie".
» Jean-Baptiste Marongiu (Libération). Profondément catholique et profondément communiste, poète, philosophe, essayiste, José Bergamín (1895-1983) participe à la guerre civile et est un des personnages du roman de son ami André Malraux: L'espoir. Florence Delay lui a rendu plusieurs fois hommage dans ses écrits. On peut lire à L'éclat : L'importance du démon et autres choses sans importance (1993), Terrorisme et persécution religieuse en Espagne.
1936-1939 (2007) ou En tauromachie, tout est mensonge et tout est vérité (2012).
Image Placeholder
Octavio Paz, Fouad El-Etr, José Bergamín, Collectif, Philippe Jaccottet
37,00 €
Image Placeholder
José Bergamín
Grand Format
25,00 €