L'équivocité Vive. Une nouvelle représentation du Vivant
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- Nombre de pages332
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-19494-6
- EAN9782296194946
- Date de parution01/04/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille11 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Qu'est-ce qu'être Vivant ? - S'agit-il de " se conserver " et de " croître " ? de " sélectionner " des " mutations utiles " ? Si Vivre implique la recherche et l'obtention de conditions favorables, n'y a-t-il de vie qu'à distance de la mort ? Cependant et non sans suivre certains philosophes tels Nietzsche ou Bataille, la biologie cellulaire ne nous enseigne-t-elle pas que Vivre implique de ne précisément pas cesser de " correspondre " avec la Mort ? Le " dialogue " entre la tendance de toute cellule à se laisser disparaître & la suspension de cette tendance chez toute cellule qui reste en Vie ne réfute-t-il pas l'antique suprématie - de Platon au néodarwinisme - de la vie sur la mort ? Les recherches contemporaines sur l'auto-effacement cellulaire - sur l'" apoptose " et la Mort cellulaire " programmée " - permettent d'aborder ces questions en détail.
Elles supposent, avec l'équivocité des phénomènes Vitaux, une dialectique Vie-Mort dont l'issue n'est nullement acquise d'avance. Elles nous invitent à repenser le sens même de la conservation, incorporant y compris en ses forces les plus Vives quelque chose comme l'a-Mort. En définitive, les concepts issus de la recherche en biologie cellulaire et l'interprétation épistémologique et philosophique qu'il est possible d'en donner ne concernent pas exclusivement des processus et des entités cellulaires.
Notre Vie déployée dans la connaissance, dans l'art ou dans l'amour de la Vie jusque dans la Mort, répond, elle aussi, d'une telle équivocité.
Elles supposent, avec l'équivocité des phénomènes Vitaux, une dialectique Vie-Mort dont l'issue n'est nullement acquise d'avance. Elles nous invitent à repenser le sens même de la conservation, incorporant y compris en ses forces les plus Vives quelque chose comme l'a-Mort. En définitive, les concepts issus de la recherche en biologie cellulaire et l'interprétation épistémologique et philosophique qu'il est possible d'en donner ne concernent pas exclusivement des processus et des entités cellulaires.
Notre Vie déployée dans la connaissance, dans l'art ou dans l'amour de la Vie jusque dans la Mort, répond, elle aussi, d'une telle équivocité.
Qu'est-ce qu'être Vivant ? - S'agit-il de " se conserver " et de " croître " ? de " sélectionner " des " mutations utiles " ? Si Vivre implique la recherche et l'obtention de conditions favorables, n'y a-t-il de vie qu'à distance de la mort ? Cependant et non sans suivre certains philosophes tels Nietzsche ou Bataille, la biologie cellulaire ne nous enseigne-t-elle pas que Vivre implique de ne précisément pas cesser de " correspondre " avec la Mort ? Le " dialogue " entre la tendance de toute cellule à se laisser disparaître & la suspension de cette tendance chez toute cellule qui reste en Vie ne réfute-t-il pas l'antique suprématie - de Platon au néodarwinisme - de la vie sur la mort ? Les recherches contemporaines sur l'auto-effacement cellulaire - sur l'" apoptose " et la Mort cellulaire " programmée " - permettent d'aborder ces questions en détail.
Elles supposent, avec l'équivocité des phénomènes Vitaux, une dialectique Vie-Mort dont l'issue n'est nullement acquise d'avance. Elles nous invitent à repenser le sens même de la conservation, incorporant y compris en ses forces les plus Vives quelque chose comme l'a-Mort. En définitive, les concepts issus de la recherche en biologie cellulaire et l'interprétation épistémologique et philosophique qu'il est possible d'en donner ne concernent pas exclusivement des processus et des entités cellulaires.
Notre Vie déployée dans la connaissance, dans l'art ou dans l'amour de la Vie jusque dans la Mort, répond, elle aussi, d'une telle équivocité.
Elles supposent, avec l'équivocité des phénomènes Vitaux, une dialectique Vie-Mort dont l'issue n'est nullement acquise d'avance. Elles nous invitent à repenser le sens même de la conservation, incorporant y compris en ses forces les plus Vives quelque chose comme l'a-Mort. En définitive, les concepts issus de la recherche en biologie cellulaire et l'interprétation épistémologique et philosophique qu'il est possible d'en donner ne concernent pas exclusivement des processus et des entités cellulaires.
Notre Vie déployée dans la connaissance, dans l'art ou dans l'amour de la Vie jusque dans la Mort, répond, elle aussi, d'une telle équivocité.