L'Eglise et les pauvres. Journal d'un travailleur manuel
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages326
- FormatPDF
- ISBN2-296-30126-6
- EAN9782296301269
- Date de parution01/01/2002
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cet ouvrage se compose de quatre-vingt-quinze réflexions dont certaines se présentent sous des traits parfois insolites. Il s'agit simplement d'un journal rédigé au fil du temps sur des thèmes variés à travers lesquels les plus pauvres ont souvent la parole. Le Père Riobé a écrit : " Il n'appartenait qu'au Sauveur et à la politique du Ciel de fonder une ville qui fût exclusivement la ville des pauvres.
" Ils sont en quelque sorte les seuls citoyens de cette cité, appelée également cité de Dieu. Les théologiens de la libération ont beaucoup œuvré pour réaliser cette belle cité à travers une relecture des grands textes évangéliques et bibliques. Hélas ! Ces visionnaires inspirés n'ont pas été reconnus par l'Eglise romaine qui n'a pas compris leur démarche. Tancés, puis rejetés, ces théologiens ne pouvaient, plus agir auprès des plus pauvres et ils devaient partir, très souvent même abandonner leur sacerdoce.
C'est donc par souci de vérité, de solidarité avec les plus pauvres que ces textes ont été rédigés.
" Ils sont en quelque sorte les seuls citoyens de cette cité, appelée également cité de Dieu. Les théologiens de la libération ont beaucoup œuvré pour réaliser cette belle cité à travers une relecture des grands textes évangéliques et bibliques. Hélas ! Ces visionnaires inspirés n'ont pas été reconnus par l'Eglise romaine qui n'a pas compris leur démarche. Tancés, puis rejetés, ces théologiens ne pouvaient, plus agir auprès des plus pauvres et ils devaient partir, très souvent même abandonner leur sacerdoce.
C'est donc par souci de vérité, de solidarité avec les plus pauvres que ces textes ont été rédigés.
Cet ouvrage se compose de quatre-vingt-quinze réflexions dont certaines se présentent sous des traits parfois insolites. Il s'agit simplement d'un journal rédigé au fil du temps sur des thèmes variés à travers lesquels les plus pauvres ont souvent la parole. Le Père Riobé a écrit : " Il n'appartenait qu'au Sauveur et à la politique du Ciel de fonder une ville qui fût exclusivement la ville des pauvres.
" Ils sont en quelque sorte les seuls citoyens de cette cité, appelée également cité de Dieu. Les théologiens de la libération ont beaucoup œuvré pour réaliser cette belle cité à travers une relecture des grands textes évangéliques et bibliques. Hélas ! Ces visionnaires inspirés n'ont pas été reconnus par l'Eglise romaine qui n'a pas compris leur démarche. Tancés, puis rejetés, ces théologiens ne pouvaient, plus agir auprès des plus pauvres et ils devaient partir, très souvent même abandonner leur sacerdoce.
C'est donc par souci de vérité, de solidarité avec les plus pauvres que ces textes ont été rédigés.
" Ils sont en quelque sorte les seuls citoyens de cette cité, appelée également cité de Dieu. Les théologiens de la libération ont beaucoup œuvré pour réaliser cette belle cité à travers une relecture des grands textes évangéliques et bibliques. Hélas ! Ces visionnaires inspirés n'ont pas été reconnus par l'Eglise romaine qui n'a pas compris leur démarche. Tancés, puis rejetés, ces théologiens ne pouvaient, plus agir auprès des plus pauvres et ils devaient partir, très souvent même abandonner leur sacerdoce.
C'est donc par souci de vérité, de solidarité avec les plus pauvres que ces textes ont été rédigés.