L'eau. Sous le regard des sciences humaines et sociales
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- Nombre de pages256
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-17350-7
- EAN9782296173507
- Date de parution01/05/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Au moment où se posent les problèmes de pénurie de la ressource, de l'égalité de l'accès pour tous à l'eau potable, comment des chercheurs en sciences humaines peuvent-ils aborder la question de l'eau ? Dans ce livre, à deux exceptions près, il n'est question que d'eau douce. C'est sans nul doute ce qui donne leur unité aux textes rassemblés ici. Ils proposent un cabotage qui aborde les rivages les plus divers de l'histoire, de la géographie, du droit et de la sociologie.
Ils plongent dans les eaux de l'Antiquité romaine ou du siècle de Louis XIV, dans la législation européenne comme dans les règles de la pêche en Loire au XVIIIe, dans les modes de gestion moderne de communautés urbaines ou dans ceux, hérités d'une tradition ancestrale, de pays d'Afrique ou d'Asie. Par-delà les frontières disciplinaires, ces textes se parlent, se répondent. Leur unité, c'est aussi une valeur commune qui les traverse, celle du partage.
Comment les sciences humaines peuvent-elles aujourd'hui traiter de cette question, dont nous verrons ici qu'elle n'est pas nouvelle, des biens communs partagés ? En multipliant les modes d'interrogation, les éclairages, les connaissances, ces contributions nous permettent, à la longue, de " penser autrement ".
Ils plongent dans les eaux de l'Antiquité romaine ou du siècle de Louis XIV, dans la législation européenne comme dans les règles de la pêche en Loire au XVIIIe, dans les modes de gestion moderne de communautés urbaines ou dans ceux, hérités d'une tradition ancestrale, de pays d'Afrique ou d'Asie. Par-delà les frontières disciplinaires, ces textes se parlent, se répondent. Leur unité, c'est aussi une valeur commune qui les traverse, celle du partage.
Comment les sciences humaines peuvent-elles aujourd'hui traiter de cette question, dont nous verrons ici qu'elle n'est pas nouvelle, des biens communs partagés ? En multipliant les modes d'interrogation, les éclairages, les connaissances, ces contributions nous permettent, à la longue, de " penser autrement ".
Au moment où se posent les problèmes de pénurie de la ressource, de l'égalité de l'accès pour tous à l'eau potable, comment des chercheurs en sciences humaines peuvent-ils aborder la question de l'eau ? Dans ce livre, à deux exceptions près, il n'est question que d'eau douce. C'est sans nul doute ce qui donne leur unité aux textes rassemblés ici. Ils proposent un cabotage qui aborde les rivages les plus divers de l'histoire, de la géographie, du droit et de la sociologie.
Ils plongent dans les eaux de l'Antiquité romaine ou du siècle de Louis XIV, dans la législation européenne comme dans les règles de la pêche en Loire au XVIIIe, dans les modes de gestion moderne de communautés urbaines ou dans ceux, hérités d'une tradition ancestrale, de pays d'Afrique ou d'Asie. Par-delà les frontières disciplinaires, ces textes se parlent, se répondent. Leur unité, c'est aussi une valeur commune qui les traverse, celle du partage.
Comment les sciences humaines peuvent-elles aujourd'hui traiter de cette question, dont nous verrons ici qu'elle n'est pas nouvelle, des biens communs partagés ? En multipliant les modes d'interrogation, les éclairages, les connaissances, ces contributions nous permettent, à la longue, de " penser autrement ".
Ils plongent dans les eaux de l'Antiquité romaine ou du siècle de Louis XIV, dans la législation européenne comme dans les règles de la pêche en Loire au XVIIIe, dans les modes de gestion moderne de communautés urbaines ou dans ceux, hérités d'une tradition ancestrale, de pays d'Afrique ou d'Asie. Par-delà les frontières disciplinaires, ces textes se parlent, se répondent. Leur unité, c'est aussi une valeur commune qui les traverse, celle du partage.
Comment les sciences humaines peuvent-elles aujourd'hui traiter de cette question, dont nous verrons ici qu'elle n'est pas nouvelle, des biens communs partagés ? En multipliant les modes d'interrogation, les éclairages, les connaissances, ces contributions nous permettent, à la longue, de " penser autrement ".