L'Action française, culture, société, politique. Tome 4, Maurrassisme et littérature

Par : Michel Leymarie, Olivier Dard, Jean-Yves Guérin

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  • Nombre de pages322
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7574-2175-8
  • EAN9782757421758
  • Date de parution20/12/2019
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPU du Septentrion

Résumé

Les rapports entre nationalisme, littérature et plus généralement esthétique sont au cour de ce volume, quatrième de la série « L'Action française. Culture, société, politique ». Comme son principal objet est la sphère littéraire, historiens, historiens ou théoriciens de la littérature ont été sollicités pour étudier revues, institutions et figures plus ou moins connues, favorables, réservées, voire hostiles au mouvement d'Action française.
Quelle part la littérature - roman, théâtre, poésie - tient-elle chez les maurrassiens et quelle fonction lui assignent-ils ? Maurras, avant d'être un doctrinaire politique, a été critique et journaliste, et ces activités ont façonné sa manière et son style. Lui-même invite à revenir sur les rapports entre politique et littérature quand il évoque son itinéraire dans Quand les Français ne s'aimaient pas : « Les Lettres nous ont conduit à la Politique, [...] notre nationalisme commença par être esthétique.
»
Les rapports entre nationalisme, littérature et plus généralement esthétique sont au cour de ce volume, quatrième de la série « L'Action française. Culture, société, politique ». Comme son principal objet est la sphère littéraire, historiens, historiens ou théoriciens de la littérature ont été sollicités pour étudier revues, institutions et figures plus ou moins connues, favorables, réservées, voire hostiles au mouvement d'Action française.
Quelle part la littérature - roman, théâtre, poésie - tient-elle chez les maurrassiens et quelle fonction lui assignent-ils ? Maurras, avant d'être un doctrinaire politique, a été critique et journaliste, et ces activités ont façonné sa manière et son style. Lui-même invite à revenir sur les rapports entre politique et littérature quand il évoque son itinéraire dans Quand les Français ne s'aimaient pas : « Les Lettres nous ont conduit à la Politique, [...] notre nationalisme commença par être esthétique.
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