Journal d’un écrivain
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- FormatePub
- ISBN1256793426
- EAN9791256793426
- Date de parution19/12/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille973 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurCactus
Résumé
Le « Journal d'un écrivain » était une publication mensuelle entièrement rédigée par Dostoïevski. Le grand Russe s'y est consacré entre 1873 et 1881, avec quelques interruptions. Il ne s'agit pas d'une ouvre homogène, du moins comme le veut le canon littéraire, mais d'un recueil de textes traitant de questions d'actualité, ou plutôt de questions débattues à l'époque, notamment sur le plan politique.
Cependant, dans ces articles, le plus souvent liés à des situations contingentes, Dostoïevski nous fait prendre conscience de ses propres idées sociales, religieuses, artistiques et littéraires. Pour ne citer qu'un exemple, la question slave occupe une place importante : dans la querelle qui agite alors les milieux culturels de Moscou et de Saint-Pétersbourg, Dostoïevski est convaincu que la Russie est supérieure à l'Europe, ou du moins que la civilisation occidentale appartient désormais à son pays.
Bien qu'elle traite de problèmes apparemment datés, l'ouvre est toujours vivante et sait expliquer notre époque par des suggestions précieuses. C'est ainsi qu'il faut lire les pages sur l'émancipation des femmes, sur le problème judiciaire ; en effet, sur ces sujets, l'écrivain russe est d'une étonnante actualité : on le découvre en faveur du féminisme, on le voit commenter à plusieurs reprises des procès, au point de parvenir à faire corriger des erreurs à la justice tsariste.
N'oublions pas non plus ces parties de réflexion, souvent consacrées à des problèmes existentiels, qui surprennent par la profondeur de leurs observations.
Cependant, dans ces articles, le plus souvent liés à des situations contingentes, Dostoïevski nous fait prendre conscience de ses propres idées sociales, religieuses, artistiques et littéraires. Pour ne citer qu'un exemple, la question slave occupe une place importante : dans la querelle qui agite alors les milieux culturels de Moscou et de Saint-Pétersbourg, Dostoïevski est convaincu que la Russie est supérieure à l'Europe, ou du moins que la civilisation occidentale appartient désormais à son pays.
Bien qu'elle traite de problèmes apparemment datés, l'ouvre est toujours vivante et sait expliquer notre époque par des suggestions précieuses. C'est ainsi qu'il faut lire les pages sur l'émancipation des femmes, sur le problème judiciaire ; en effet, sur ces sujets, l'écrivain russe est d'une étonnante actualité : on le découvre en faveur du féminisme, on le voit commenter à plusieurs reprises des procès, au point de parvenir à faire corriger des erreurs à la justice tsariste.
N'oublions pas non plus ces parties de réflexion, souvent consacrées à des problèmes existentiels, qui surprennent par la profondeur de leurs observations.
Le « Journal d'un écrivain » était une publication mensuelle entièrement rédigée par Dostoïevski. Le grand Russe s'y est consacré entre 1873 et 1881, avec quelques interruptions. Il ne s'agit pas d'une ouvre homogène, du moins comme le veut le canon littéraire, mais d'un recueil de textes traitant de questions d'actualité, ou plutôt de questions débattues à l'époque, notamment sur le plan politique.
Cependant, dans ces articles, le plus souvent liés à des situations contingentes, Dostoïevski nous fait prendre conscience de ses propres idées sociales, religieuses, artistiques et littéraires. Pour ne citer qu'un exemple, la question slave occupe une place importante : dans la querelle qui agite alors les milieux culturels de Moscou et de Saint-Pétersbourg, Dostoïevski est convaincu que la Russie est supérieure à l'Europe, ou du moins que la civilisation occidentale appartient désormais à son pays.
Bien qu'elle traite de problèmes apparemment datés, l'ouvre est toujours vivante et sait expliquer notre époque par des suggestions précieuses. C'est ainsi qu'il faut lire les pages sur l'émancipation des femmes, sur le problème judiciaire ; en effet, sur ces sujets, l'écrivain russe est d'une étonnante actualité : on le découvre en faveur du féminisme, on le voit commenter à plusieurs reprises des procès, au point de parvenir à faire corriger des erreurs à la justice tsariste.
N'oublions pas non plus ces parties de réflexion, souvent consacrées à des problèmes existentiels, qui surprennent par la profondeur de leurs observations.
Cependant, dans ces articles, le plus souvent liés à des situations contingentes, Dostoïevski nous fait prendre conscience de ses propres idées sociales, religieuses, artistiques et littéraires. Pour ne citer qu'un exemple, la question slave occupe une place importante : dans la querelle qui agite alors les milieux culturels de Moscou et de Saint-Pétersbourg, Dostoïevski est convaincu que la Russie est supérieure à l'Europe, ou du moins que la civilisation occidentale appartient désormais à son pays.
Bien qu'elle traite de problèmes apparemment datés, l'ouvre est toujours vivante et sait expliquer notre époque par des suggestions précieuses. C'est ainsi qu'il faut lire les pages sur l'émancipation des femmes, sur le problème judiciaire ; en effet, sur ces sujets, l'écrivain russe est d'une étonnante actualité : on le découvre en faveur du féminisme, on le voit commenter à plusieurs reprises des procès, au point de parvenir à faire corriger des erreurs à la justice tsariste.
N'oublions pas non plus ces parties de réflexion, souvent consacrées à des problèmes existentiels, qui surprennent par la profondeur de leurs observations.





















