Je ne songe qu'à vivre. Carnets de voyage 1923-1933

Par : Nicolas d'Estienne d' Orves

Formats :

Disponible d'occasion :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages321
  • FormatePub
  • ISBN978-2-08-129804-0
  • EAN9782081298040
  • Date de parution23/01/2013
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille3 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurArthaud
  • Commentateur (texte)Etienne de Montety

Résumé

En 1923, Honoré d'Estienne d'Orves n'est pas encore un emblème de la Résistance, un nom qui ornera les rues de France après la Libération. C'est un jeune homme qui vient de prendre le large, de quitter Paris, sa famille, son milieu. Le monde s'ouvre à lui, avec ses hommes et ses richesses. Embarqué sur la Jeanne, il découvre au gré des escales le Moyen- Orient, la Chine, l'Afrique noire. Mais aussi Hawaï et Hollywood.
"Rien que la terre", aurait dit Paul Morand. Son tempérament méditerranéen, volubile et enthousiaste le conduit à se passionner pour tous les pays où il pose le pied, leur population, leur art, leur religion ; partout, l'enseigne de vaisseau d'Estienne d'Orves multiplie les visites, les rencontres - les frasques aussi. Il est à l'âge des grandes questions et des grandes passions. Il a l'insouciance de sa jeunesse et une bienveillance issue de son éducation.
Ses carnets de voyages, inédits, vivants, intrigants de bout en bout, révèlent un être inattendu : une nature insatiable et généreuse, qui fera merveille en 1940, quand la France connaîtra des heures dramatiques. Pour l'heure, Honoré d'Estienne d'Orves "ne songe qu'à vivre".
En 1923, Honoré d'Estienne d'Orves n'est pas encore un emblème de la Résistance, un nom qui ornera les rues de France après la Libération. C'est un jeune homme qui vient de prendre le large, de quitter Paris, sa famille, son milieu. Le monde s'ouvre à lui, avec ses hommes et ses richesses. Embarqué sur la Jeanne, il découvre au gré des escales le Moyen- Orient, la Chine, l'Afrique noire. Mais aussi Hawaï et Hollywood.
"Rien que la terre", aurait dit Paul Morand. Son tempérament méditerranéen, volubile et enthousiaste le conduit à se passionner pour tous les pays où il pose le pied, leur population, leur art, leur religion ; partout, l'enseigne de vaisseau d'Estienne d'Orves multiplie les visites, les rencontres - les frasques aussi. Il est à l'âge des grandes questions et des grandes passions. Il a l'insouciance de sa jeunesse et une bienveillance issue de son éducation.
Ses carnets de voyages, inédits, vivants, intrigants de bout en bout, révèlent un être inattendu : une nature insatiable et généreuse, qui fera merveille en 1940, quand la France connaîtra des heures dramatiques. Pour l'heure, Honoré d'Estienne d'Orves "ne songe qu'à vivre".