J'aimerais tant qu'on se revoie... mon fils. Dialogues avec le Professeur Henri Joyeux
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- Nombre de pages200
- FormatePub
- ISBN978-2-7554-0967-3
- EAN9782755409673
- Date de parution27/07/2015
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFrançois-Xavier de Guibert
Résumé
Parce qu'un jour, l'impossible, l'inimaginable se produit, devient la réalité. Un enfant, son enfant s'en va, ailleurs, au-delà. Après le choc, après le chaos, reste un mince espoir qui redonne gout à la vie, l'envie de continuer : son âme reste vivante, l'amour l'emporte, l'amour plus fort que la mort. Mais le chemin pour y parvenir est long, très long, si long." Terrassée par la mort de Tristan, emporté par un cancer foudroyant à 19 ans, Laurence, sa mère, est au bord de le rejoindre.
Un soir, par hasard, elle envoie un message sur le site d'un cancérologue qu'elle ne connaît pas, une "bouteille à la mer". Stupeur : contre toute attente, une réponse arrive aussitôt : "Il faut accepter de vivre sous sa protection. Ce n'est plus lui qui a besoin de vous, c'est vous qui avez besoin de lui. L'amour ne peut pas finir. Les vivants qui sont partis peuvent nous laisser des signes." Pendant plus d'un an, le dialogue serré et presque quotidien se poursuit entre cette mère profondément blessée et le professeur Joyeux.
Ce livre bouleversant en est la transcription brute ; puisse-t-il être aussi un "signe" pour tous ceux qui guettent une espérance.".
Un soir, par hasard, elle envoie un message sur le site d'un cancérologue qu'elle ne connaît pas, une "bouteille à la mer". Stupeur : contre toute attente, une réponse arrive aussitôt : "Il faut accepter de vivre sous sa protection. Ce n'est plus lui qui a besoin de vous, c'est vous qui avez besoin de lui. L'amour ne peut pas finir. Les vivants qui sont partis peuvent nous laisser des signes." Pendant plus d'un an, le dialogue serré et presque quotidien se poursuit entre cette mère profondément blessée et le professeur Joyeux.
Ce livre bouleversant en est la transcription brute ; puisse-t-il être aussi un "signe" pour tous ceux qui guettent une espérance.".
Parce qu'un jour, l'impossible, l'inimaginable se produit, devient la réalité. Un enfant, son enfant s'en va, ailleurs, au-delà. Après le choc, après le chaos, reste un mince espoir qui redonne gout à la vie, l'envie de continuer : son âme reste vivante, l'amour l'emporte, l'amour plus fort que la mort. Mais le chemin pour y parvenir est long, très long, si long." Terrassée par la mort de Tristan, emporté par un cancer foudroyant à 19 ans, Laurence, sa mère, est au bord de le rejoindre.
Un soir, par hasard, elle envoie un message sur le site d'un cancérologue qu'elle ne connaît pas, une "bouteille à la mer". Stupeur : contre toute attente, une réponse arrive aussitôt : "Il faut accepter de vivre sous sa protection. Ce n'est plus lui qui a besoin de vous, c'est vous qui avez besoin de lui. L'amour ne peut pas finir. Les vivants qui sont partis peuvent nous laisser des signes." Pendant plus d'un an, le dialogue serré et presque quotidien se poursuit entre cette mère profondément blessée et le professeur Joyeux.
Ce livre bouleversant en est la transcription brute ; puisse-t-il être aussi un "signe" pour tous ceux qui guettent une espérance.".
Un soir, par hasard, elle envoie un message sur le site d'un cancérologue qu'elle ne connaît pas, une "bouteille à la mer". Stupeur : contre toute attente, une réponse arrive aussitôt : "Il faut accepter de vivre sous sa protection. Ce n'est plus lui qui a besoin de vous, c'est vous qui avez besoin de lui. L'amour ne peut pas finir. Les vivants qui sont partis peuvent nous laisser des signes." Pendant plus d'un an, le dialogue serré et presque quotidien se poursuit entre cette mère profondément blessée et le professeur Joyeux.
Ce livre bouleversant en est la transcription brute ; puisse-t-il être aussi un "signe" pour tous ceux qui guettent une espérance.".























