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  • Nombre de pages120
  • FormatePub
  • ISBN978-2-221-19611-3
  • EAN9782221196113
  • Date de parution18/08/2016
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille523 Ko
  • ÉditeurRobert Laffont

Résumé

Tout commence lorsque Suzanne, qui anime des ateliers d'écriture, demande à chacun de ses élèves d'apporter un objet de famille susceptible d'illustrer sa vie personnelle. L'un d'entre eux, Arsène, un orphelin rwandais réfugié en France après avoir réussi à échapper aux massacres qui ont ensanglanté son pays, doit avouer qu'il ne possède rien d'autre qu'une valise qui lui a servi d'abri durant sa fuite.
C'est à partir de cet objet singulier que Suzanne va le convaincre de lui raconter son itinéraire et de lui livrer le secret de sa jeune existence. L'exercice devient pour Arsène le moyen d'exorciser sa " peur de la nuit " et de renouer les fils d'une identité dévastée, tandis que Suzanne accomplit son propre rituel du souvenir en revenant, pour un ultime adieu, sur les traces d'un père prématurément disparu.
Par la grâce de l'écriture et de l'imaginaire.
Tout commence lorsque Suzanne, qui anime des ateliers d'écriture, demande à chacun de ses élèves d'apporter un objet de famille susceptible d'illustrer sa vie personnelle. L'un d'entre eux, Arsène, un orphelin rwandais réfugié en France après avoir réussi à échapper aux massacres qui ont ensanglanté son pays, doit avouer qu'il ne possède rien d'autre qu'une valise qui lui a servi d'abri durant sa fuite.
C'est à partir de cet objet singulier que Suzanne va le convaincre de lui raconter son itinéraire et de lui livrer le secret de sa jeune existence. L'exercice devient pour Arsène le moyen d'exorciser sa " peur de la nuit " et de renouer les fils d'une identité dévastée, tandis que Suzanne accomplit son propre rituel du souvenir en revenant, pour un ultime adieu, sur les traces d'un père prématurément disparu.
Par la grâce de l'écriture et de l'imaginaire.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
Sylvie ThomassonDecitre Part-Dieu
3/5
Raconter
Un très beau texte, court mais intense en émotions. Suzanne rencontre à l'école lors d'un atelier d'écriture, Arsène, un jeune réfugié Rwandais. Ce dernier ne garde de son passé qu'une vieille valise décrépite mais qui lui a sauvé la vie. A travers cet objet et sur les sollicitations de Suzanne, le jeune garçon va finir par raconter son histoire tragique. Très jolie écriture. A suivre!
Un très beau texte, court mais intense en émotions. Suzanne rencontre à l'école lors d'un atelier d'écriture, Arsène, un jeune réfugié Rwandais. Ce dernier ne garde de son passé qu'une vieille valise décrépite mais qui lui a sauvé la vie. A travers cet objet et sur les sollicitations de Suzanne, le jeune garçon va finir par raconter son histoire tragique. Très jolie écriture. A suivre!
Charlotte WnDecitre Levallois-Perret
4/5
Souvenirs et exil
L'auteur parvient à aborder finement le thème difficile du génocide. Les massacres sont seulement suggérés, on se concentre d'avantage sur l'exil d'Arsène, ses journées passées à errer dans la brousse africaine, à survivre en se cachant dans sa valise. L'histoire d'Arsène est entrecoupé de passages où Suzanne fait revivre l'image de son père grâce aux souvenirs liés à l'appartement où elle a passé son enfance Grâce à une écriture très sensible, le texte est fort en émotions : on frémit lorsqu'Arsène évoque les nuits froides, on salive lorsqu'après plusieurs jours sans manger il savoure un fruit, on verse une larme à l'évocation de l'amour et de la compréhension de ses parents adoptifs. Une histoire bouleversante sur le déracinement, servie par une écriture subtile.
L'auteur parvient à aborder finement le thème difficile du génocide. Les massacres sont seulement suggérés, on se concentre d'avantage sur l'exil d'Arsène, ses journées passées à errer dans la brousse africaine, à survivre en se cachant dans sa valise. L'histoire d'Arsène est entrecoupé de passages où Suzanne fait revivre l'image de son père grâce aux souvenirs liés à l'appartement où elle a passé son enfance Grâce à une écriture très sensible, le texte est fort en émotions : on frémit lorsqu'Arsène évoque les nuits froides, on salive lorsqu'après plusieurs jours sans manger il savoure un fruit, on verse une larme à l'évocation de l'amour et de la compréhension de ses parents adoptifs. Une histoire bouleversante sur le déracinement, servie par une écriture subtile.
  • souvenirs
  • exil
  • reconstruction
  • déracinement

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
Rencontre autour de l'écriture
Une belle rencontre entre Arsène et Suzanne, sa professeure, que l'écriture rassemble. "J'ai longtemps eu peur de la nuit" rend un bel hommage à l'histoire de ce petit garçon rescapé du génocide rwandais, tout en sensibilité et en émotion. L'écriture est subtile, fluide, simple et facile à lire. Ce n’est peut-être pas « le » roman de la rentrée littéraire, mais j’ai quand même passé un bon moment en compagnie de Yasmine Ghata -seul le temps me dira si c’est un roman qui me restera en tête ou non !
Une belle rencontre entre Arsène et Suzanne, sa professeure, que l'écriture rassemble. "J'ai longtemps eu peur de la nuit" rend un bel hommage à l'histoire de ce petit garçon rescapé du génocide rwandais, tout en sensibilité et en émotion. L'écriture est subtile, fluide, simple et facile à lire. Ce n’est peut-être pas « le » roman de la rentrée littéraire, mais j’ai quand même passé un bon moment en compagnie de Yasmine Ghata -seul le temps me dira si c’est un roman qui me restera en tête ou non !
  • Rwanda
  • Génocide
  • ecriture
  • Rentrée littéraire 2016
Un style unique pour une histoire incroyable
L'auteure, à travers ce court roman, va traiter de manière surprenante le génocide des Tutsi au Rwanda. Nous sommes en effet plongés dans un style qui est d'une part sensible, doux , très enfantin, et d'une autre part très poignant . Ce mélange rend la lecture très attrayante et immersive, notamment grâce au choix de l'utilisation de la seconde personne du singulier pour raconter les péripéties de Arsène. Malheureusement, la partie du livre racontant la vie de Suzanne n'est pas aussi touchante, aussi immersive et elle déséquilibre l'autre partie de l'histoire. Peut-être aurait-il fallu donner un équilibre à chacune des deux parties ou bien abandonner l'une d'entre elle à un moment de l'histoire. J'ai longtemps eu peur de la nuit reste une lecture très agréable, intéressante et surprenante par son style. Probablement pas la sortie la plus intéressante de la Rentrée Littéraire mais j'ai été heureuse de connaître cette auteure, encore inconnue pour moi. Son style m'a enchanté et je surveillerai ses prochaines sorties ! Eva B. - Blogueuse sur Heaven Streets
L'auteure, à travers ce court roman, va traiter de manière surprenante le génocide des Tutsi au Rwanda. Nous sommes en effet plongés dans un style qui est d'une part sensible, doux , très enfantin, et d'une autre part très poignant . Ce mélange rend la lecture très attrayante et immersive, notamment grâce au choix de l'utilisation de la seconde personne du singulier pour raconter les péripéties de Arsène. Malheureusement, la partie du livre racontant la vie de Suzanne n'est pas aussi touchante, aussi immersive et elle déséquilibre l'autre partie de l'histoire. Peut-être aurait-il fallu donner un équilibre à chacune des deux parties ou bien abandonner l'une d'entre elle à un moment de l'histoire. J'ai longtemps eu peur de la nuit reste une lecture très agréable, intéressante et surprenante par son style. Probablement pas la sortie la plus intéressante de la Rentrée Littéraire mais j'ai été heureuse de connaître cette auteure, encore inconnue pour moi. Son style m'a enchanté et je surveillerai ses prochaines sorties ! Eva B. - Blogueuse sur Heaven Streets
à lire absolument
J'ai adoré ce livre, déjà le titre me parlait, car qui n'a jamais eu peur de la nuit ? Le format, peu de pages donc vite lu.Alternance de calligraphie, on passe d'un personnage à l'autre de cette façon. J'ai commencé à le lire chez Decitre Chambéry, en attendant ma fille et j'étais à la moitié du livre... Difficile de le lâcher...On découvre touche après touche ce qui est arrivé au jeune Arsène et également le passé de sa prof Suzanne.Ces 2 là vont former un duo pour raconter par écrit comme le souhaite Suzanne l'indescriptible vécu d'Arsène.Le télescopage de leurs blessures mutuelles va les aider à les surmonter.Les objets ont une place très importante pour les deux personnages principaux (valise : Arsène) et (rasoir : Suzanne). La connexion avec l'au-delà est présente (mémé avec Arsène) et (papa avec Suzanne). Le père a le nom de famille de l'auteur...Le Rwanda pour Arsène se résume à sa valise...Suzanne,elle, dit adieu à son passé en visitant pour la dernière fois l'appartement de son enfance...J'ai eu du mal à quitter ces 2 personnages si attachants, si blessés et en quête de reconstruction.J'espère qu'ils mènent maintenant une vie heureuse...
J'ai adoré ce livre, déjà le titre me parlait, car qui n'a jamais eu peur de la nuit ? Le format, peu de pages donc vite lu.Alternance de calligraphie, on passe d'un personnage à l'autre de cette façon. J'ai commencé à le lire chez Decitre Chambéry, en attendant ma fille et j'étais à la moitié du livre... Difficile de le lâcher...On découvre touche après touche ce qui est arrivé au jeune Arsène et également le passé de sa prof Suzanne.Ces 2 là vont former un duo pour raconter par écrit comme le souhaite Suzanne l'indescriptible vécu d'Arsène.Le télescopage de leurs blessures mutuelles va les aider à les surmonter.Les objets ont une place très importante pour les deux personnages principaux (valise : Arsène) et (rasoir : Suzanne). La connexion avec l'au-delà est présente (mémé avec Arsène) et (papa avec Suzanne). Le père a le nom de famille de l'auteur...Le Rwanda pour Arsène se résume à sa valise...Suzanne,elle, dit adieu à son passé en visitant pour la dernière fois l'appartement de son enfance...J'ai eu du mal à quitter ces 2 personnages si attachants, si blessés et en quête de reconstruction.J'espère qu'ils mènent maintenant une vie heureuse...
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