J'accuse Ouattara. Pourquoi la place de cet homme est devant un juge

Par : Théophile Kouamouo

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages120
  • FormatePub
  • ISBN978-2-322-02394-3
  • EAN9782322023943
  • Date de parution09/10/2012
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille237 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurBooks on Demand

Résumé

Ce livre est né d'une indignation. Indignation d'un journaliste, indignation d'un citoyen. Indignation d'un homme qui a fait de l'information sur la Côte d'Ivoire sa spécialité. Et qui ne cesse de se rendre compte de la puissance de la machination qui, hier comme aujourd'hui, tente d'imposer comme un fait historique un mensonge fondamental. Alors que la déstabilisation armée de la Côte d'Ivoire a démarré moins de six mois après son départ du Fonds monétaire international et son entrée officielle dans l'arène politique ivoirienne, Alassane Ouattara n'aurait aucune responsabilité politique ou judiciaire dans un drame ivoirien qui a occasionné bien plus que les 3 000 morts officiels de la guerre postélectorale. Mon indignation s'est nourrie de colères successives, en général alimentées par des articles de presse non seulement factuellement mensongers, mais moralement odieux.
Ou par des rapports d'organisations de défense des droits de l'homme tendancieux, dont certains passages relevaient plus de la fiction accusatrice que d'une recension sourcilleuse des faits. Ce livre ne se donne pas pour objectif de recenser tous ces coups portés à la vérité depuis que la vie politique ivoirienne s'est colorée de rouge sang. Une bible entière ne suffirait pas à les énumérer. L'objectif premier de ce festival du mensonge et de l'omission est de garantir à Alassane Ouattara une impunité de première classe.
Et c'est contre cette impunité que ce petit ouvrage va en guerre.
Ce livre est né d'une indignation. Indignation d'un journaliste, indignation d'un citoyen. Indignation d'un homme qui a fait de l'information sur la Côte d'Ivoire sa spécialité. Et qui ne cesse de se rendre compte de la puissance de la machination qui, hier comme aujourd'hui, tente d'imposer comme un fait historique un mensonge fondamental. Alors que la déstabilisation armée de la Côte d'Ivoire a démarré moins de six mois après son départ du Fonds monétaire international et son entrée officielle dans l'arène politique ivoirienne, Alassane Ouattara n'aurait aucune responsabilité politique ou judiciaire dans un drame ivoirien qui a occasionné bien plus que les 3 000 morts officiels de la guerre postélectorale. Mon indignation s'est nourrie de colères successives, en général alimentées par des articles de presse non seulement factuellement mensongers, mais moralement odieux.
Ou par des rapports d'organisations de défense des droits de l'homme tendancieux, dont certains passages relevaient plus de la fiction accusatrice que d'une recension sourcilleuse des faits. Ce livre ne se donne pas pour objectif de recenser tous ces coups portés à la vérité depuis que la vie politique ivoirienne s'est colorée de rouge sang. Une bible entière ne suffirait pas à les énumérer. L'objectif premier de ce festival du mensonge et de l'omission est de garantir à Alassane Ouattara une impunité de première classe.
Et c'est contre cette impunité que ce petit ouvrage va en guerre.