Infimes débris 60 Haiku
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- Nombre de pages32
- FormatPDF
- ISBN2-402-41091-4
- EAN9782402410915
- Date de parution01/01/1999
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Sain...
Résumé
Comme pour attirer à lui la sagesse, Yves Gasc a choisi la brièveté du triple vers à la japonaise, qui résume son écoute du monde, ses sensations, ses convictions, sa foi en l'amour. Ici, lyrisme chaleureux et hautes images, méditation souvent douloureuse, nue « comme la peau du temps », embardées d'humour léger ou d'humour noir.
La tendresse, à un rare et profond niveau de fraternité, burine ces « infimes débris », que représente l'homme (selon la citation de Séféris mise en exergue), et qui essaient désespérément de faire l'unité.
Le royaume des joies du corps reste la première béatitude, serait-elle menacée par l'échéance. Tous les échos des rumeurs de sa conscience et des minutes de sa réalité, le poète nous les restitue avec authenticité, « en attendant que l'ombre parle ».
Le royaume des joies du corps reste la première béatitude, serait-elle menacée par l'échéance. Tous les échos des rumeurs de sa conscience et des minutes de sa réalité, le poète nous les restitue avec authenticité, « en attendant que l'ombre parle ».
Comme pour attirer à lui la sagesse, Yves Gasc a choisi la brièveté du triple vers à la japonaise, qui résume son écoute du monde, ses sensations, ses convictions, sa foi en l'amour. Ici, lyrisme chaleureux et hautes images, méditation souvent douloureuse, nue « comme la peau du temps », embardées d'humour léger ou d'humour noir.
La tendresse, à un rare et profond niveau de fraternité, burine ces « infimes débris », que représente l'homme (selon la citation de Séféris mise en exergue), et qui essaient désespérément de faire l'unité.
Le royaume des joies du corps reste la première béatitude, serait-elle menacée par l'échéance. Tous les échos des rumeurs de sa conscience et des minutes de sa réalité, le poète nous les restitue avec authenticité, « en attendant que l'ombre parle ».
Le royaume des joies du corps reste la première béatitude, serait-elle menacée par l'échéance. Tous les échos des rumeurs de sa conscience et des minutes de sa réalité, le poète nous les restitue avec authenticité, « en attendant que l'ombre parle ».