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roman d'initiation
Résumé : Nous suivons les aventures de trois jeunes gens, Klaod, Feäsil (frères jumeaux) et leur amie Imenel à la découverte du monde de Gaeria situé au-delà du Rixis où se trouve la capitale Iluvendan. Leur objectif est de démontrer que l’utilisation excessive de la source d’énergie primordiale, l’Iolthän, par Iluvendan conduira le monde entier à sa perte (guerres fratricides, dissimulations de la part du pouvoir en place, despotisme). Cette quête pousse les adolescents à rencontrer d’autres personnages fascinants et à découvrir un monde où les utilisations du Iolthän
sont multiples. Ce voyage leur permet de développer leurs compétences physiques et magiques et surtout de devenir adultes.
Les premiers pas des jeunes gens dans la capitale du Rixis, Iluvendan, sont longuement décrits et rappellent très bien ce qu’on peut ressentir à la période charnière entre le bac et le début des études : le stress des examens, la découverte d’une nouvelle ville et les premières amours. Puis tout bascule quand les deux frères sont séparés, projetés dans un monde d’adultes cruel. L’histoire alterne alors entre deux groupes de personnages voyageant dans des parties du monde différentes à la recherche des autres cités du Iolthän. L’univers qu’ils découvrent est tout en contrastes et la magie est palpable dans chaque brin d’herbe.
L’écriture est fluide, le vocabulaire est suffisamment recherché pour que le lecteur, même adulte, ne se sente pas lésé, mais pas trop élevé pour permettre aux plus jeunes de plonger facilement dans l’histoire. Les personnages sont bien typés et attachants. On adore les joutes verbales entre Klaod, Feäsil et Imenel. L’univers est très bien décrit, par touches, si bien qu’on ne s’ennuie jamais. On a plutôt envie de connaître la suite car les rebondissements sont omniprésents.
J’ai adoré les relations entre les personnages, les décors grandioses et les contrastes entre les villes, l’alternance entre les passages de réflexion et ceux d’action. Il y a aussi un lexique, termes de l’univers et personnages, et une carte à la fin du volume.
J’ai moins aimé les éléments de fantasy classiques, tels que centaures et dryades. Mais là, c’est vraiment une question de goûts personnels.
Citation sur les feuilles, qui a réveillé la biologiste en moi : « La sculpture peut paraître simple, mais lorsqu’on y regarde de plus près on ne cesse de découvrir de nouvelles structures plus minces ; certaines reproduisent les plus grands dessins, d’autres innovent toujours dans une variété de formes infinie. » p. 380.
Avis : J’ai tout simplement dévoré ce roman. Si vous ne savez pas quoi offrir à votre enfant à Noël, courez acheter Iluvendan. C’est un roman initiatique intelligent, une vraie aventure humaine dans un très bel univers. Typiquement ce que j’aurais aimé lire plus jeune mais qui reste néanmoins excellent même pour les adultes. À partir de 12 ans, pour les filles comme pour les garçons.
Roman que j’aurais adoré lire à 14 ans !
Résumé : Nous suivons les aventures de trois jeunes gens, Klaod, Feäsil (frères jumeaux) et leur amie Imenel à la découverte du monde de Gaeria situé au-delà du Rixis où se trouve la capitale Iluvendan. Leur objectif est de démontrer que l’utilisation excessive de la source d’énergie primordiale, l’Iolthän, par Iluvendan conduira le monde entier à sa perte (guerres fratricides, dissimulations de la part du pouvoir en place, despotisme). Cette quête pousse les adolescents à rencontrer d’autres personnages fascinants et à découvrir un monde où les utilisations du Iolthän sont multiples. Ce voyage leur permet de développer leurs compétences physiques et magiques et surtout de devenir adultes.
Les premiers pas des jeunes gens dans la capitale du Rixis, Iluvendan, sont longuement décrits et rappellent très bien ce qu’on peut ressentir à la période charnière entre le bac et le début des études : le stress des examens, la découverte d’une nouvelle ville et les premières amours. Puis tout bascule quand les deux frères sont séparés, projetés dans un monde d’adultes cruel. L’histoire alterne alors entre deux groupes de personnages voyageant dans des parties du monde différentes à la recherche des autres cités du Iolthän. L’univers qu’ils découvrent est tout en contrastes et la magie est palpable dans chaque brin d’herbe.
L’écriture est fluide, le vocabulaire est suffisamment recherché pour que le lecteur, même adulte, ne se sente pas lésé, mais pas trop élevé pour permettre aux plus jeunes de plonger facilement dans l’histoire. Les personnages sont bien typés et attachants. On adore les joutes verbales entre Klaod, Feäsil et Imenel. L’univers est très bien décrit, par touches, si bien qu’on ne s’ennuie jamais. On a plutôt envie de connaître la suite car les rebondissements sont omniprésents.
J’ai adoré les relations entre les personnages, les décors grandioses et les contrastes entre les villes, l’alternance entre les passages de réflexion et ceux d’action. Il y a aussi un lexique, termes de l’univers et personnages, et une carte à la fin du volume.
J’ai moins aimé les éléments de fantasy classiques, tels que centaures et dryades. Mais là, c’est vraiment une question de goûts personnels.
Citation sur les feuilles, qui a réveillé la biologiste en moi : « La sculpture peut paraître simple, mais lorsqu’on y regarde de plus près on ne cesse de découvrir de nouvelles structures plus minces ; certaines reproduisent les plus grands dessins, d’autres innovent toujours dans une variété de formes infinie. » p. 380.
Avis : J’ai tout simplement dévoré ce roman. Si vous ne savez pas quoi offrir à votre enfant à Noël, courez acheter Iluvendan. C’est un roman initiatique intelligent, une vraie aventure humaine dans un très bel univers. Typiquement ce que j’aurais aimé lire plus jeune mais qui reste néanmoins excellent même pour les adultes. À partir de 12 ans, pour les filles comme pour les garçons.