Poèmes dénudés, calmes. Daniel Blanchard fait parler paysages d'eau, falaises, roches et racines, arbres. Il montre aussi la cassure de l'homme, perdu, séparé par l'effroi, l'effritement de l'air, « de morsure en morsure asséché. »
Poèmes dénudés, calmes. Daniel Blanchard fait parler paysages d'eau, falaises, roches et racines, arbres. Il montre aussi la cassure de l'homme, perdu, séparé par l'effroi, l'effritement de l'air, « de morsure en morsure asséché. »