Histoire de l'armée allemande - tome 4
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- Nombre de pages630
- FormatPDF
- ISBN2-226-21328-7
- EAN9782226213280
- Date de parution17/06/1964
- Protection num.Adobe DRM
- Taille29 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Tel est l'état du monde en 1937. Lorsque Hitler regarde autour de lui, que voit-il ?Une U. R. S. S. dont Staline vient de décapiter l'armée, lui infligeant une « purge » dont elle ne se remettra pas avant plusieurs années. Une Amérique préoccupée avant tout par l'expansion japonaise et dont l'opinion semble écouter la voix du Président Roosevelt avec moins de faveur que celles qui lui prêchent l'isolationnisme et la neutralité.
Une Angleterre infiniment plus sensible aux dangers qui menacent son hégémonie en Méditerranée qu'au déséquilibre créé en Europe centrale par le redressement allemand. Une France paralysée par les conflits sociaux, dont les seules réactions à ses défis réitérés n'ont été, en fin de compte, que des protestations verbales. Une Espagne qui se tord dans les affres de la guerre civile, mais où la victoire de Franco ne semble plus faire de doute.
Une Belgique qui vient de proclamer sa neutralité et s'est retirée du système de la sécurité collective . Une Italie qui a renoncé à monter la garde sur le Brenner pour s'enfoncer en Afrique et qui a quitté le camp des démocraties pour nouer avec l'Allemagne des liens d'amitié. Même dans ses heures les plus exaltées, jamais Hitler n'a pu imaginer un concours de circonstances plus favorable à la réalisation de ses projets.
Ne dirait-on pas qu'une main invisible s'est ingéniée à écarter tous les obstacles qui auraient pu se dresser sur sa route ?
Une Angleterre infiniment plus sensible aux dangers qui menacent son hégémonie en Méditerranée qu'au déséquilibre créé en Europe centrale par le redressement allemand. Une France paralysée par les conflits sociaux, dont les seules réactions à ses défis réitérés n'ont été, en fin de compte, que des protestations verbales. Une Espagne qui se tord dans les affres de la guerre civile, mais où la victoire de Franco ne semble plus faire de doute.
Une Belgique qui vient de proclamer sa neutralité et s'est retirée du système de la sécurité collective . Une Italie qui a renoncé à monter la garde sur le Brenner pour s'enfoncer en Afrique et qui a quitté le camp des démocraties pour nouer avec l'Allemagne des liens d'amitié. Même dans ses heures les plus exaltées, jamais Hitler n'a pu imaginer un concours de circonstances plus favorable à la réalisation de ses projets.
Ne dirait-on pas qu'une main invisible s'est ingéniée à écarter tous les obstacles qui auraient pu se dresser sur sa route ?
Tel est l'état du monde en 1937. Lorsque Hitler regarde autour de lui, que voit-il ?Une U. R. S. S. dont Staline vient de décapiter l'armée, lui infligeant une « purge » dont elle ne se remettra pas avant plusieurs années. Une Amérique préoccupée avant tout par l'expansion japonaise et dont l'opinion semble écouter la voix du Président Roosevelt avec moins de faveur que celles qui lui prêchent l'isolationnisme et la neutralité.
Une Angleterre infiniment plus sensible aux dangers qui menacent son hégémonie en Méditerranée qu'au déséquilibre créé en Europe centrale par le redressement allemand. Une France paralysée par les conflits sociaux, dont les seules réactions à ses défis réitérés n'ont été, en fin de compte, que des protestations verbales. Une Espagne qui se tord dans les affres de la guerre civile, mais où la victoire de Franco ne semble plus faire de doute.
Une Belgique qui vient de proclamer sa neutralité et s'est retirée du système de la sécurité collective . Une Italie qui a renoncé à monter la garde sur le Brenner pour s'enfoncer en Afrique et qui a quitté le camp des démocraties pour nouer avec l'Allemagne des liens d'amitié. Même dans ses heures les plus exaltées, jamais Hitler n'a pu imaginer un concours de circonstances plus favorable à la réalisation de ses projets.
Ne dirait-on pas qu'une main invisible s'est ingéniée à écarter tous les obstacles qui auraient pu se dresser sur sa route ?
Une Angleterre infiniment plus sensible aux dangers qui menacent son hégémonie en Méditerranée qu'au déséquilibre créé en Europe centrale par le redressement allemand. Une France paralysée par les conflits sociaux, dont les seules réactions à ses défis réitérés n'ont été, en fin de compte, que des protestations verbales. Une Espagne qui se tord dans les affres de la guerre civile, mais où la victoire de Franco ne semble plus faire de doute.
Une Belgique qui vient de proclamer sa neutralité et s'est retirée du système de la sécurité collective . Une Italie qui a renoncé à monter la garde sur le Brenner pour s'enfoncer en Afrique et qui a quitté le camp des démocraties pour nouer avec l'Allemagne des liens d'amitié. Même dans ses heures les plus exaltées, jamais Hitler n'a pu imaginer un concours de circonstances plus favorable à la réalisation de ses projets.
Ne dirait-on pas qu'une main invisible s'est ingéniée à écarter tous les obstacles qui auraient pu se dresser sur sa route ?