De la défaite au desastre - tome 2
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- Nombre de pages360
- FormatPDF
- ISBN978-2-226-21301-3
- EAN9782226213013
- Date de parution12/03/1985
- Protection num.Adobe DRM
- Taille17 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Cet ouvrage est le second tome des Mémoires de la collaboration que Jacques Benoist-Méchin écrivit de 1942 à 1944 et qu'il acheva peu de temps avant son arrestation. Il englobe la période allant du retour de Pierre Laval au pouvoir jusqu'au débarquement en Afrique du Nord, en novembre 1942. Jacques Benoist-Méchin se limite volontairement aux événements qu'il connut comme acteur et témoin privilégié, en tant que secrétaire d'Etat chargé des relations franco-allemandes.
Le second tome ne le cède en rien au premier dont une presse unanime a souligné la rare valeur documentaire et le grand talent d'écriture. La même vision dramatique et passionnée soutient le récit, mais jamais au détriment d'une analyse minutieuse des faits. Notamment sur les conséquences de l'évasion du général Giraud, le débarquement malheureux de Dieppe et le télégramme signé du maréchal Pétain à Hitler, les préparatifs de la "Relève" et du Service du travail obligatoire en Allemagne, sur la formation de la Légion tricolore qui devait remplacer la L.
V. F., les relations vichyssoises et allemandes au débarquement allié en Algérie et au Maroc, l'auteur apporte, une fois encore, une contribution décisive à l'histoire. Parfois, comme à propos de l'exposition Breker, fait irruption un aspect plus quotidien de l'occupation. Ecrites au moment où les passions étaient plus que jamais à vif, ces pages ne peuvent que ressentir du contexte d'une époque. Ces circonstances en soulignent l'intérêt, et il convient de se rendre à l'évidence que, loin d'être le fait de quelque visionnaire isolé, de telles conceptions furent prises en charge par une partie de l'élite intellectuelle et de l'opinion françaises...
Le second tome ne le cède en rien au premier dont une presse unanime a souligné la rare valeur documentaire et le grand talent d'écriture. La même vision dramatique et passionnée soutient le récit, mais jamais au détriment d'une analyse minutieuse des faits. Notamment sur les conséquences de l'évasion du général Giraud, le débarquement malheureux de Dieppe et le télégramme signé du maréchal Pétain à Hitler, les préparatifs de la "Relève" et du Service du travail obligatoire en Allemagne, sur la formation de la Légion tricolore qui devait remplacer la L.
V. F., les relations vichyssoises et allemandes au débarquement allié en Algérie et au Maroc, l'auteur apporte, une fois encore, une contribution décisive à l'histoire. Parfois, comme à propos de l'exposition Breker, fait irruption un aspect plus quotidien de l'occupation. Ecrites au moment où les passions étaient plus que jamais à vif, ces pages ne peuvent que ressentir du contexte d'une époque. Ces circonstances en soulignent l'intérêt, et il convient de se rendre à l'évidence que, loin d'être le fait de quelque visionnaire isolé, de telles conceptions furent prises en charge par une partie de l'élite intellectuelle et de l'opinion françaises...
Cet ouvrage est le second tome des Mémoires de la collaboration que Jacques Benoist-Méchin écrivit de 1942 à 1944 et qu'il acheva peu de temps avant son arrestation. Il englobe la période allant du retour de Pierre Laval au pouvoir jusqu'au débarquement en Afrique du Nord, en novembre 1942. Jacques Benoist-Méchin se limite volontairement aux événements qu'il connut comme acteur et témoin privilégié, en tant que secrétaire d'Etat chargé des relations franco-allemandes.
Le second tome ne le cède en rien au premier dont une presse unanime a souligné la rare valeur documentaire et le grand talent d'écriture. La même vision dramatique et passionnée soutient le récit, mais jamais au détriment d'une analyse minutieuse des faits. Notamment sur les conséquences de l'évasion du général Giraud, le débarquement malheureux de Dieppe et le télégramme signé du maréchal Pétain à Hitler, les préparatifs de la "Relève" et du Service du travail obligatoire en Allemagne, sur la formation de la Légion tricolore qui devait remplacer la L.
V. F., les relations vichyssoises et allemandes au débarquement allié en Algérie et au Maroc, l'auteur apporte, une fois encore, une contribution décisive à l'histoire. Parfois, comme à propos de l'exposition Breker, fait irruption un aspect plus quotidien de l'occupation. Ecrites au moment où les passions étaient plus que jamais à vif, ces pages ne peuvent que ressentir du contexte d'une époque. Ces circonstances en soulignent l'intérêt, et il convient de se rendre à l'évidence que, loin d'être le fait de quelque visionnaire isolé, de telles conceptions furent prises en charge par une partie de l'élite intellectuelle et de l'opinion françaises...
Le second tome ne le cède en rien au premier dont une presse unanime a souligné la rare valeur documentaire et le grand talent d'écriture. La même vision dramatique et passionnée soutient le récit, mais jamais au détriment d'une analyse minutieuse des faits. Notamment sur les conséquences de l'évasion du général Giraud, le débarquement malheureux de Dieppe et le télégramme signé du maréchal Pétain à Hitler, les préparatifs de la "Relève" et du Service du travail obligatoire en Allemagne, sur la formation de la Légion tricolore qui devait remplacer la L.
V. F., les relations vichyssoises et allemandes au débarquement allié en Algérie et au Maroc, l'auteur apporte, une fois encore, une contribution décisive à l'histoire. Parfois, comme à propos de l'exposition Breker, fait irruption un aspect plus quotidien de l'occupation. Ecrites au moment où les passions étaient plus que jamais à vif, ces pages ne peuvent que ressentir du contexte d'une époque. Ces circonstances en soulignent l'intérêt, et il convient de se rendre à l'évidence que, loin d'être le fait de quelque visionnaire isolé, de telles conceptions furent prises en charge par une partie de l'élite intellectuelle et de l'opinion françaises...