Henri Parinaud (1844-1905). Pionnier de l'ophtalmologie française
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- Nombre de pages344
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-2632-3
- EAN9791037026323
- Date de parution22/05/2014
- Protection num.Adobe DRM
- Taille20 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
Le nom de Parinaud est bien connu des ophtalmologistes, des opticiens et des neurologues. Henri Parinaud (1844-1905) est en effet un pionnier de l'ophtalmologie et de la neuro-ophtalmologie françaises. Originaire de Bellac, dans la Haute-Vienne, il commence ses études de médecine à Limoges, puis « monte » à Paris et devient externe, puis interne des hôpitaux de Paris et, enfin, chef de clinique à la Faculté de médecine de Paris.
Le grand maître de la neurologie, le professeur Jean-Martin Charcot, le remarque et lui confie dans son service de l'hôpital de la Salpêtrière la direction du département d'ophtalmologie. Il mène ensuite une carrière de praticien de ville, mais avec un tel talent qu'il attire auprès de lui de nombreux confrères français et étrangers. Sans grands moyens que sa petite clinique privée, il poursuit des travaux de recherche de très haut niveau qui le font admirer et respecter de tous les ophtalmologistes.
Ainsi, il laisse son nom aux paralysies de la verticalité du regard, au syndrome oculo-glandulaire, à une tumeur oculaire jusque-là inconnue et à l'échelle optométrique qui reste d'usage quotidien pour chiffrer l'acuité visuelle et que tous les opticiens nomment « un Parinaud ». De santé fragile, Parinaud meurt jeune, quelques mois après son épouse, laissant trois petites orphelines, dont le célèbre neurologue Joseph Babinski devient le tuteur testamentaire
Le grand maître de la neurologie, le professeur Jean-Martin Charcot, le remarque et lui confie dans son service de l'hôpital de la Salpêtrière la direction du département d'ophtalmologie. Il mène ensuite une carrière de praticien de ville, mais avec un tel talent qu'il attire auprès de lui de nombreux confrères français et étrangers. Sans grands moyens que sa petite clinique privée, il poursuit des travaux de recherche de très haut niveau qui le font admirer et respecter de tous les ophtalmologistes.
Ainsi, il laisse son nom aux paralysies de la verticalité du regard, au syndrome oculo-glandulaire, à une tumeur oculaire jusque-là inconnue et à l'échelle optométrique qui reste d'usage quotidien pour chiffrer l'acuité visuelle et que tous les opticiens nomment « un Parinaud ». De santé fragile, Parinaud meurt jeune, quelques mois après son épouse, laissant trois petites orphelines, dont le célèbre neurologue Joseph Babinski devient le tuteur testamentaire
Le nom de Parinaud est bien connu des ophtalmologistes, des opticiens et des neurologues. Henri Parinaud (1844-1905) est en effet un pionnier de l'ophtalmologie et de la neuro-ophtalmologie françaises. Originaire de Bellac, dans la Haute-Vienne, il commence ses études de médecine à Limoges, puis « monte » à Paris et devient externe, puis interne des hôpitaux de Paris et, enfin, chef de clinique à la Faculté de médecine de Paris.
Le grand maître de la neurologie, le professeur Jean-Martin Charcot, le remarque et lui confie dans son service de l'hôpital de la Salpêtrière la direction du département d'ophtalmologie. Il mène ensuite une carrière de praticien de ville, mais avec un tel talent qu'il attire auprès de lui de nombreux confrères français et étrangers. Sans grands moyens que sa petite clinique privée, il poursuit des travaux de recherche de très haut niveau qui le font admirer et respecter de tous les ophtalmologistes.
Ainsi, il laisse son nom aux paralysies de la verticalité du regard, au syndrome oculo-glandulaire, à une tumeur oculaire jusque-là inconnue et à l'échelle optométrique qui reste d'usage quotidien pour chiffrer l'acuité visuelle et que tous les opticiens nomment « un Parinaud ». De santé fragile, Parinaud meurt jeune, quelques mois après son épouse, laissant trois petites orphelines, dont le célèbre neurologue Joseph Babinski devient le tuteur testamentaire
Le grand maître de la neurologie, le professeur Jean-Martin Charcot, le remarque et lui confie dans son service de l'hôpital de la Salpêtrière la direction du département d'ophtalmologie. Il mène ensuite une carrière de praticien de ville, mais avec un tel talent qu'il attire auprès de lui de nombreux confrères français et étrangers. Sans grands moyens que sa petite clinique privée, il poursuit des travaux de recherche de très haut niveau qui le font admirer et respecter de tous les ophtalmologistes.
Ainsi, il laisse son nom aux paralysies de la verticalité du regard, au syndrome oculo-glandulaire, à une tumeur oculaire jusque-là inconnue et à l'échelle optométrique qui reste d'usage quotidien pour chiffrer l'acuité visuelle et que tous les opticiens nomment « un Parinaud ». De santé fragile, Parinaud meurt jeune, quelques mois après son épouse, laissant trois petites orphelines, dont le célèbre neurologue Joseph Babinski devient le tuteur testamentaire