Friedrich Engels et les peuples "sans histoire". La question nationale dans la révolution de 1848
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- Nombre de pages382
- FormatPDF
- ISBN978-2-84950-732-2
- EAN9782849507322
- Date de parution06/12/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurSyllepse
- TraducteurGérard Billy
- PréfacierBenjamin Bürbaumer
- PostfacierGeorges Haupt
- PostfacierClaudie Weill
Résumé
Le rêve de l'Europe supra-étatique va-t-il se briser sur la question nationale? En Catalogne, en Écosse, en Corse et au Pays basque, des peuples affirment leur droit à vivre un destin que la mondialisation capitaliste ne peut pas satisfaire. Plus à l'Est, notamment en Ukraine et dans l'ex-Yougoslavie, la même question ébranle les dominations.
Si le néolibéralisme unificateur bute sur ce renouveau de la question des droits des nations à disposer d'elles-mêmes, la gauche, radicale ou non, semble en peine pour offrir ses solutions.
Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice. Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s'est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l'époque, Friedrich Engels s'attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de peuples « sans histoires », lesquels « n'ont pas été capables de constituer des États et n'ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale » qu'il oppose aux nations « révolutionnaires ». C'est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.
Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice. Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s'est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l'époque, Friedrich Engels s'attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de peuples « sans histoires », lesquels « n'ont pas été capables de constituer des États et n'ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale » qu'il oppose aux nations « révolutionnaires ». C'est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.
Le rêve de l'Europe supra-étatique va-t-il se briser sur la question nationale? En Catalogne, en Écosse, en Corse et au Pays basque, des peuples affirment leur droit à vivre un destin que la mondialisation capitaliste ne peut pas satisfaire. Plus à l'Est, notamment en Ukraine et dans l'ex-Yougoslavie, la même question ébranle les dominations.
Si le néolibéralisme unificateur bute sur ce renouveau de la question des droits des nations à disposer d'elles-mêmes, la gauche, radicale ou non, semble en peine pour offrir ses solutions.
Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice. Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s'est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l'époque, Friedrich Engels s'attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de peuples « sans histoires », lesquels « n'ont pas été capables de constituer des États et n'ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale » qu'il oppose aux nations « révolutionnaires ». C'est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.
Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice. Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s'est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l'époque, Friedrich Engels s'attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de peuples « sans histoires », lesquels « n'ont pas été capables de constituer des États et n'ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale » qu'il oppose aux nations « révolutionnaires ». C'est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.




