Friedrich Engels et les peuples "sans histoire". La question nationale dans la révolution de 1848
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- Nombre de pages382
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.498 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-84950-692-9
- EAN9782849506929
- Date de parution08/11/2018
- CollectionMille Marxismes
- ÉditeurSyllepse (Editions)
- TraducteurGérard Billy
- PréfacierBenjamin Bürbaumer
- PostfacierGeorges Haupt
- PostfacierClaudie Weill
Résumé
Le rêve de l'Europe supra-étatique va-t-il se briser sur la question nationale ? En Catalogne, en Ecosse, en Corse et au Pays basque, des peuples affirment leur droit à vivre un destin que la mondialisation capitaliste ne peut pas satisfaire. Plus à l'est, notamment en Ukraine et dans l'ex-Yougoslavie, la même question ébranle les dominations. Si le néolibéralisme unificateur bute sur ce renouveau de la question du droit des nations à disposer d'elles-mêmes, la gauche, radicale ou non, semble en peine pour offrir ses solutions.
Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice. Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s'est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l'époque, Friedrich Engels s'attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de peuples "sans histoire", lesquels "n'ont pas été capables de constituer des Etats et n'ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale" qu'il oppose aux nations "révolutionnaires".
C'est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.
Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice. Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s'est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l'époque, Friedrich Engels s'attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de peuples "sans histoire", lesquels "n'ont pas été capables de constituer des Etats et n'ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale" qu'il oppose aux nations "révolutionnaires".
C'est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.
Le rêve de l'Europe supra-étatique va-t-il se briser sur la question nationale ? En Catalogne, en Ecosse, en Corse et au Pays basque, des peuples affirment leur droit à vivre un destin que la mondialisation capitaliste ne peut pas satisfaire. Plus à l'est, notamment en Ukraine et dans l'ex-Yougoslavie, la même question ébranle les dominations. Si le néolibéralisme unificateur bute sur ce renouveau de la question du droit des nations à disposer d'elles-mêmes, la gauche, radicale ou non, semble en peine pour offrir ses solutions.
Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice. Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s'est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l'époque, Friedrich Engels s'attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de peuples "sans histoire", lesquels "n'ont pas été capables de constituer des Etats et n'ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale" qu'il oppose aux nations "révolutionnaires".
C'est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.
Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice. Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s'est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l'époque, Friedrich Engels s'attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de peuples "sans histoire", lesquels "n'ont pas été capables de constituer des Etats et n'ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale" qu'il oppose aux nations "révolutionnaires".
C'est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.