Fleurs de feu

Par : Sarah Lark

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  • Nombre de pages624
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8098-4195-4
  • EAN9782809841954
  • Date de parution12/05/2021
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurL'Archipel
  • TraducteurJean-Marie Argelès

Résumé

L'auteure du Pays du Nuage blanc (plus de 250 000 exemplaires vendus en France, toutes éditions confondues) nous offre son neuvième roman dans les pas de la jeune Ida, à la découverte de la Nouvelle-Zélande du XIX e siècle, territoire inconnu et inhospitalier, mais riche de promesses. La nouvelle saga de l'auteure de la trilogie du Nuage Blanc Allemagne, 1837. Le rêve d'une vie meilleure pousse les parents d'Ida à partir avec leur fille pour la Nouvelle-Zélande.
Quand leur navire accoste au sud de l'île après une longue traversée, les nouveaux colons s'installent dans un petit village de pêcheurs. Et Ida déchante. Non seulement elle a été mariée de force par son père à un homme qui se révèle brutal, mais la vie, au sein de cette communauté rigoriste, est tout aussi austère qu'en Allemagne. Heureusement, Ida fait la rencontre de Cath, jeune femme que le destin n'a pas épargnée.
Fille d'une prostituée, elle a grandi au sein d'une tribu maorie avant d'en être bannie. Les deux femmes vont se soutenir et lutter pour gagner leur indépendance. Et, qui sait, trouver enfin le bonheur... Le premier volet d'une nouvelle saga qui rappelle Le Pays du Nuage Blanc, le succès international de Sarah Lark. " Amour, chagrin, espoir et nouveaux départs, dans les paysages colorés de Nouvelle-Zélande.
Sans doute le meilleur roman que Sarah Lark ait écrit depuis longtemps. "Bremen Magazine
L'auteure du Pays du Nuage blanc (plus de 250 000 exemplaires vendus en France, toutes éditions confondues) nous offre son neuvième roman dans les pas de la jeune Ida, à la découverte de la Nouvelle-Zélande du XIX e siècle, territoire inconnu et inhospitalier, mais riche de promesses. La nouvelle saga de l'auteure de la trilogie du Nuage Blanc Allemagne, 1837. Le rêve d'une vie meilleure pousse les parents d'Ida à partir avec leur fille pour la Nouvelle-Zélande.
Quand leur navire accoste au sud de l'île après une longue traversée, les nouveaux colons s'installent dans un petit village de pêcheurs. Et Ida déchante. Non seulement elle a été mariée de force par son père à un homme qui se révèle brutal, mais la vie, au sein de cette communauté rigoriste, est tout aussi austère qu'en Allemagne. Heureusement, Ida fait la rencontre de Cath, jeune femme que le destin n'a pas épargnée.
Fille d'une prostituée, elle a grandi au sein d'une tribu maorie avant d'en être bannie. Les deux femmes vont se soutenir et lutter pour gagner leur indépendance. Et, qui sait, trouver enfin le bonheur... Le premier volet d'une nouvelle saga qui rappelle Le Pays du Nuage Blanc, le succès international de Sarah Lark. " Amour, chagrin, espoir et nouveaux départs, dans les paysages colorés de Nouvelle-Zélande.
Sans doute le meilleur roman que Sarah Lark ait écrit depuis longtemps. "Bremen Magazine

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Des femmes qui luttent
1837 – Raben Steinfeld – Meccklembourg. Ida et Karl sont les meilleurs élèves de l’école, pourtant, ils doivent arrêter leurs études : la première, parce qu’elle est une fille, le second par manque d’argent. 1842. Karl n’a jamais cessé de penser à Ida, de qui il est secrètement amoureux. Il sait que cet amour est sans issue, en raison de leurs différences sociales. Un soir d’hiver 1842, le hasard les fait se rencontrer. Ida explique que les paroissiens vieux-luthériens se réunissent à l’initiative de son père, Jakob Lange. Ce dernier a appris qu’une compagnie maritime recherche des familles, prêtes à s’installer en Nouvelle-Zélande. Le coût de la traversée, qui est de trois cents livres anglaises et comprend quatre-vingts arpents de terre. Nicholas Beit est chargé de recruter des colons et a garanti à Jakob Lange que leur paroisse pourrait se reformer dans les nouvelles terres. Plusieurs habitants décident de tenter l’aventure. Karl, sans prévenir personne, parvient à embarquer, également. Le voyage dure plusieurs mois. Ida sait qu’à l’arrivée, elle devra épouser celui que son père a choisi pour elle : Ottfried Brandmann. En Nouvelle-Zélande, les colons allemands ont des difficultés à s’adapter. Ils sont déterminés à rebâtir leur paroisse, de la même manière qu’en Europe, sans tenir compte de leur environnement. Ils comptent sur l’aide de Dieu pour traverser les difficultés, sans tenir compte des avertissements qui leur sont adressés. Ida n’est pas heureuse, au sein de cette communauté rigoriste et intransigeante, mais elle se plie aux règles, de la même manière qu’elle l’a fait au sujet de son mariage. Son époux est un homme brutal, mais elle ne peut s’opposer. Cat a grandi au milieu de prostituées. Le patron du bar, dans lequel travaille sa mère, décide qu’il est temps pour elle d’exercer ce métier. Il met alors sa virginité aux enchères. La jeune fille refuse ce destin et fuit. Elle est sauvée par une tribu de maoris. Plus tard, elle rencontre Ida. Les deux jeunes filles se soutiennent et vivent de terribles épreuves ensemble. Éprise de liberté et d’indépendance, Cat transmet une part de sa force à sa nouvelle amie. Hélas, elles sont rattrapées par la société patriarcale et la domination des hommes. Ces hommes luthériens veulent dominer dans tous les domaines. Alors qu’ils s’installent en terre étrangère, ils ne respectent pas ceux à qui ils appartiennent. Plutôt que de s’établir dans la paix, ils entrent en conflit avec les maoris. Une grande part du roman est consacrée à cette civilisation : ses croyances, ses modes de vie, sa philosophie, ses convictions de liberté et de respect des désirs de l’autre. Mais les hommes blancs, les Pakehas, leur font découvrir un nouveau dieu : « le dieu argent ». L’auteure précise, dans la post-face, les évènements historiques à partir desquels elle a bâti l’intrigue de son roman. Se fondant sur des faits véridiques, elle décrit la spoliation qu’ont subie les maoris, elle relate les conflits armés qui en ont découlé, etc. C’est passionnant. Dans cette histoire, les « plus faibles », tels que les femmes et les maoris, sont victimes du sentiment de supériorité des colons allemands. Mais certains hommes tendres, comme Karl ou Chris (un interprète), adoucissent le trait, même si eux-mêmes ne peuvent se révolter comme ils le souhaitent. Cependant, des sursauts de courage sont à l’origine de rebondissements, qui donnent à ce roman un élan romanesque délicieux. J’ai adoré cette fresque romanesque et historique. J’ai aimé l’histoire de ces femmes qui luttent avec les faibles possibilités qui leur sont octroyées et qui cherchent en elles, la force de ne pas rompre. J’ai été passionnée par la description de la culture maorie, au plus proche de la nature, mais qui s’enrichit des autres cultures, en sélectionnant ce qui lui est bénéfique. Enfin, j’ai été emportée par le souffle de l’amitié et de l’amour qui éclaire les moments difficiles. Fleurs de feu est le premier tome de la nouvelle saga de Sarah Lark et j’ai hâte de lire la suite.
1837 – Raben Steinfeld – Meccklembourg. Ida et Karl sont les meilleurs élèves de l’école, pourtant, ils doivent arrêter leurs études : la première, parce qu’elle est une fille, le second par manque d’argent. 1842. Karl n’a jamais cessé de penser à Ida, de qui il est secrètement amoureux. Il sait que cet amour est sans issue, en raison de leurs différences sociales. Un soir d’hiver 1842, le hasard les fait se rencontrer. Ida explique que les paroissiens vieux-luthériens se réunissent à l’initiative de son père, Jakob Lange. Ce dernier a appris qu’une compagnie maritime recherche des familles, prêtes à s’installer en Nouvelle-Zélande. Le coût de la traversée, qui est de trois cents livres anglaises et comprend quatre-vingts arpents de terre. Nicholas Beit est chargé de recruter des colons et a garanti à Jakob Lange que leur paroisse pourrait se reformer dans les nouvelles terres. Plusieurs habitants décident de tenter l’aventure. Karl, sans prévenir personne, parvient à embarquer, également. Le voyage dure plusieurs mois. Ida sait qu’à l’arrivée, elle devra épouser celui que son père a choisi pour elle : Ottfried Brandmann. En Nouvelle-Zélande, les colons allemands ont des difficultés à s’adapter. Ils sont déterminés à rebâtir leur paroisse, de la même manière qu’en Europe, sans tenir compte de leur environnement. Ils comptent sur l’aide de Dieu pour traverser les difficultés, sans tenir compte des avertissements qui leur sont adressés. Ida n’est pas heureuse, au sein de cette communauté rigoriste et intransigeante, mais elle se plie aux règles, de la même manière qu’elle l’a fait au sujet de son mariage. Son époux est un homme brutal, mais elle ne peut s’opposer. Cat a grandi au milieu de prostituées. Le patron du bar, dans lequel travaille sa mère, décide qu’il est temps pour elle d’exercer ce métier. Il met alors sa virginité aux enchères. La jeune fille refuse ce destin et fuit. Elle est sauvée par une tribu de maoris. Plus tard, elle rencontre Ida. Les deux jeunes filles se soutiennent et vivent de terribles épreuves ensemble. Éprise de liberté et d’indépendance, Cat transmet une part de sa force à sa nouvelle amie. Hélas, elles sont rattrapées par la société patriarcale et la domination des hommes. Ces hommes luthériens veulent dominer dans tous les domaines. Alors qu’ils s’installent en terre étrangère, ils ne respectent pas ceux à qui ils appartiennent. Plutôt que de s’établir dans la paix, ils entrent en conflit avec les maoris. Une grande part du roman est consacrée à cette civilisation : ses croyances, ses modes de vie, sa philosophie, ses convictions de liberté et de respect des désirs de l’autre. Mais les hommes blancs, les Pakehas, leur font découvrir un nouveau dieu : « le dieu argent ». L’auteure précise, dans la post-face, les évènements historiques à partir desquels elle a bâti l’intrigue de son roman. Se fondant sur des faits véridiques, elle décrit la spoliation qu’ont subie les maoris, elle relate les conflits armés qui en ont découlé, etc. C’est passionnant. Dans cette histoire, les « plus faibles », tels que les femmes et les maoris, sont victimes du sentiment de supériorité des colons allemands. Mais certains hommes tendres, comme Karl ou Chris (un interprète), adoucissent le trait, même si eux-mêmes ne peuvent se révolter comme ils le souhaitent. Cependant, des sursauts de courage sont à l’origine de rebondissements, qui donnent à ce roman un élan romanesque délicieux. J’ai adoré cette fresque romanesque et historique. J’ai aimé l’histoire de ces femmes qui luttent avec les faibles possibilités qui leur sont octroyées et qui cherchent en elles, la force de ne pas rompre. J’ai été passionnée par la description de la culture maorie, au plus proche de la nature, mais qui s’enrichit des autres cultures, en sélectionnant ce qui lui est bénéfique. Enfin, j’ai été emportée par le souffle de l’amitié et de l’amour qui éclaire les moments difficiles. Fleurs de feu est le premier tome de la nouvelle saga de Sarah Lark et j’ai hâte de lire la suite.
Belle épopée
Le nouveau roman de Sarah Lark nous fait voyager en Nouvelle-Zélande au XIXe siècle. En 1837 : Nombreux colons rêvent d'un nouveau monde. C'est la cas d'une communauté très pieuse d'Allemagne. Ils décident de partir s'installer en Nouvelle-Zélande, pour acheter des terres dans l'espoir d'avoir une vie meilleure façonnée à leur image. Arrivés à bon port, tout ne va pas se dérouler selon leur plan, les terres qu'ils avaient longtemps convoitées ont déjà été distribuées à d'autres. Ils vont devoir s'implanter dans une région moins accueillante. C'est un voyage risqué et difficile, pour ceux qui ont peur de la nouveauté. Et qui ne veulent pas changer leur façon de vivre. Que va-t-il se passer ? Que vont-ils découvrir ? J'ai apprécié la lecture du premier volet de cette belle épopée. « Fleur de feu » est un roman historique bien documenté. L'écriture m'a happé dès la première page et m'a transporté en Nouvelle-Zélande. Ce territoire inconnu à l'époque, mais riche de promesses, sorte d'Eldorado. Les personnages sont bien travaillés ; certains sont détestables et d'autres très attachants, plein de courage, tous liés par le fantasme d'avoir une vie meilleure. Ce roman traite de nombreux sujets comme la colonisation, la désillusion, le respect de la nature et de la religion, la place de la femme à cette époque et les droits de l'homme.
Le nouveau roman de Sarah Lark nous fait voyager en Nouvelle-Zélande au XIXe siècle. En 1837 : Nombreux colons rêvent d'un nouveau monde. C'est la cas d'une communauté très pieuse d'Allemagne. Ils décident de partir s'installer en Nouvelle-Zélande, pour acheter des terres dans l'espoir d'avoir une vie meilleure façonnée à leur image. Arrivés à bon port, tout ne va pas se dérouler selon leur plan, les terres qu'ils avaient longtemps convoitées ont déjà été distribuées à d'autres. Ils vont devoir s'implanter dans une région moins accueillante. C'est un voyage risqué et difficile, pour ceux qui ont peur de la nouveauté. Et qui ne veulent pas changer leur façon de vivre. Que va-t-il se passer ? Que vont-ils découvrir ? J'ai apprécié la lecture du premier volet de cette belle épopée. « Fleur de feu » est un roman historique bien documenté. L'écriture m'a happé dès la première page et m'a transporté en Nouvelle-Zélande. Ce territoire inconnu à l'époque, mais riche de promesses, sorte d'Eldorado. Les personnages sont bien travaillés ; certains sont détestables et d'autres très attachants, plein de courage, tous liés par le fantasme d'avoir une vie meilleure. Ce roman traite de nombreux sujets comme la colonisation, la désillusion, le respect de la nature et de la religion, la place de la femme à cette époque et les droits de l'homme.
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