Femmes à l'encan. Un esclavagisme patenté
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- Nombre de pages158
- FormatePub
- ISBN2-226-34207-9
- EAN9782226342072
- Date de parution01/10/2015
- Protection num.Adobe DRM
- Taille306 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Ce livre, écrit en 1945, à l'époque où la France connaissait le régime déshonorant de la prostitution réglementée, n'a rien perdu de son actualité. Sans doute, la loi du 13 avril 1946 a-t-elle fermé officiellement les « maisons de tolérances » mais la prostitution n'en continue pas moins à prospérer, pour le plus grand malheur de celles qui en sont les victimes et pour le plus grand profit de ceux qui les exploitent.
Ces profiteurs du vice et de l'esclavage de la femme n'ont pas perdu espoir de faire rouvrir les fameuses maisons et leur Amicale s'y emploie activement.À leurs arguments qui restent les mêmes, le livre de Van Der Meersch demeure encore la meilleure réponse. Cette oeuvre, en effet, est l'une des plus courageuses et des plus attachantes de l'auteur, qui y a apporté la marque de son talent et le souffle de sa charité généreuse.
Femmes à l'encan a ouvert la voie à d'autres écrivains qui, depuis, ont publié des pages émouvantes et probantes sur ce sujet. On ne peut que se féliciter et se réjouir de voir réimprimer la belle oeuvre de Van Der Meersch, écrite pour que prenne fin définitivement l'esclavage des malheureuses « femmes à l'encan ».
Ces profiteurs du vice et de l'esclavage de la femme n'ont pas perdu espoir de faire rouvrir les fameuses maisons et leur Amicale s'y emploie activement.À leurs arguments qui restent les mêmes, le livre de Van Der Meersch demeure encore la meilleure réponse. Cette oeuvre, en effet, est l'une des plus courageuses et des plus attachantes de l'auteur, qui y a apporté la marque de son talent et le souffle de sa charité généreuse.
Femmes à l'encan a ouvert la voie à d'autres écrivains qui, depuis, ont publié des pages émouvantes et probantes sur ce sujet. On ne peut que se féliciter et se réjouir de voir réimprimer la belle oeuvre de Van Der Meersch, écrite pour que prenne fin définitivement l'esclavage des malheureuses « femmes à l'encan ».
Ce livre, écrit en 1945, à l'époque où la France connaissait le régime déshonorant de la prostitution réglementée, n'a rien perdu de son actualité. Sans doute, la loi du 13 avril 1946 a-t-elle fermé officiellement les « maisons de tolérances » mais la prostitution n'en continue pas moins à prospérer, pour le plus grand malheur de celles qui en sont les victimes et pour le plus grand profit de ceux qui les exploitent.
Ces profiteurs du vice et de l'esclavage de la femme n'ont pas perdu espoir de faire rouvrir les fameuses maisons et leur Amicale s'y emploie activement.À leurs arguments qui restent les mêmes, le livre de Van Der Meersch demeure encore la meilleure réponse. Cette oeuvre, en effet, est l'une des plus courageuses et des plus attachantes de l'auteur, qui y a apporté la marque de son talent et le souffle de sa charité généreuse.
Femmes à l'encan a ouvert la voie à d'autres écrivains qui, depuis, ont publié des pages émouvantes et probantes sur ce sujet. On ne peut que se féliciter et se réjouir de voir réimprimer la belle oeuvre de Van Der Meersch, écrite pour que prenne fin définitivement l'esclavage des malheureuses « femmes à l'encan ».
Ces profiteurs du vice et de l'esclavage de la femme n'ont pas perdu espoir de faire rouvrir les fameuses maisons et leur Amicale s'y emploie activement.À leurs arguments qui restent les mêmes, le livre de Van Der Meersch demeure encore la meilleure réponse. Cette oeuvre, en effet, est l'une des plus courageuses et des plus attachantes de l'auteur, qui y a apporté la marque de son talent et le souffle de sa charité généreuse.
Femmes à l'encan a ouvert la voie à d'autres écrivains qui, depuis, ont publié des pages émouvantes et probantes sur ce sujet. On ne peut que se féliciter et se réjouir de voir réimprimer la belle oeuvre de Van Der Meersch, écrite pour que prenne fin définitivement l'esclavage des malheureuses « femmes à l'encan ».