Il n'y a pas de bout du monde chez Rolin, seulement la nostalgie des paysages et des rencontres, traversées de silhouettes (féminines souvent), de passants et de passantes, de désirs et de littérature, la sienne et celle des autres, Borges, Lowry, Baudelaire...
"Extérieur monde" n'est pas un roman, ni un récit, plus sûrement une mosaïque de souvenirs, de rivages intimes, griffonnés dans le blanc des carnets d'une vie.
Une manière aussi de cueillir en sa compagnie la complexité du monde, sa beauté aussi, des rives de la mer noire au Kamtchatka, de Mexico à Hô-Chi-Minh-Ville .
Des digressions savoureuses, des errances enivrantes et mélancoliques, les dédales de ses jardins d’éden transpirent d'une langue riche et soyeuse qui vous embarque dans « ses mondes » avec cet infini plaisir de la lenteur, les yeux grands ouverts...
Il n'y a pas de bout du monde chez Rolin, seulement la nostalgie des paysages et des rencontres, traversées de silhouettes (féminines souvent), de passants et de passantes, de désirs et de littérature, la sienne et celle des autres, Borges, Lowry, Baudelaire...
"Extérieur monde" n'est pas un roman, ni un récit, plus sûrement une mosaïque de souvenirs, de rivages intimes, griffonnés dans le blanc des carnets d'une vie.
Une manière aussi de cueillir en sa compagnie la complexité du monde, sa beauté aussi, des rives de la mer noire au Kamtchatka, de Mexico à Hô-Chi-Minh-Ville .
Des digressions savoureuses, des errances enivrantes et mélancoliques, les dédales de ses jardins d’éden transpirent d'une langue riche et soyeuse qui vous embarque dans « ses mondes » avec cet infini plaisir de la lenteur, les yeux grands ouverts...