Europe-Asie. Histoires de rencontres

Par : Bernard Dupaigne

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  • Nombre de pages210
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-16411-6
  • EAN9782296164116
  • Date de parution01/02/2007
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille7 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

La Société des Études Euro-Asiatiques, fondée en 1977 au Musée de l'Homme, s'est donné pour but de traiter des divers échanges culturels entre l'Asie et l'Europe. Malgré l'éloignement, idées, religions, arts et marchandises ont voyagé, au pas lent des pèlerins, des caravanes ou des guerriers. Alexandre le Grand combat l'empire perse avant de s'arrêter aux portes des Indes et de fonder des royaumes en Asie centrale.
Des pèlerins bouddhistes chinois recherchent en Inde les textes sacrés dès le IVe siècle de notre ère. Les armées arabes parviennent aux Indes à partir du VIIe siècle. Le grand Khân mongol échange des émissaires avec la papauté. Au XVIe siècle, les rencontres s'intensifient dans le cadre de la rivalité des grandes puissances, qu'elles soient occidentales (britannique, hollandaise, portugaise, française) ou asiatiques (empire ottoman, Perse, Chine, Japon, Russie).
Le volume illustre quelques étapes du Grand Voyage : Alexandre le Grand et Dionysos en Afghanistan en 330-325 avant Jésus-Christ ; un moine mongol nestorien à Rome et à la Cour de Philippe le Bel à la fin du XIIIe siècle ; les ambassades échangées avec Tamerlan à la fin du XIVe siècle ; le séminariste chinois Huang Jialiie à la Bibliothèque de Louis XIV à Paris en 1711 ; Monseigneur Pigneau de Béhaine en Cochinchine de 1767 à 1799 ; quatre officiers de Napoléon à la cour du roi sikh du Pendjâb de 1822 à 1849 ; le premier Coréen, Hong Jeong-ou, à Paris entre 1891 et 1894 pour le, compte du musée Guimet.
Les rencontres se font également dans d'autres domaines, scientifiques et artistiques. Au " Levant ", des naturalistes allemands, flamands, français, suisses, découvrent, depuis le XVIIe siècle, des plantes et fleurs nouvelles, qu'ils font prospérer en Europe. La peinture chinoise est enfin reconnue en Occident, malgré l'opposition des conceptions symboliques des Chinois et de celles, plus matérialistes, des Européens.
La Société des Études Euro-Asiatiques, fondée en 1977 au Musée de l'Homme, s'est donné pour but de traiter des divers échanges culturels entre l'Asie et l'Europe. Malgré l'éloignement, idées, religions, arts et marchandises ont voyagé, au pas lent des pèlerins, des caravanes ou des guerriers. Alexandre le Grand combat l'empire perse avant de s'arrêter aux portes des Indes et de fonder des royaumes en Asie centrale.
Des pèlerins bouddhistes chinois recherchent en Inde les textes sacrés dès le IVe siècle de notre ère. Les armées arabes parviennent aux Indes à partir du VIIe siècle. Le grand Khân mongol échange des émissaires avec la papauté. Au XVIe siècle, les rencontres s'intensifient dans le cadre de la rivalité des grandes puissances, qu'elles soient occidentales (britannique, hollandaise, portugaise, française) ou asiatiques (empire ottoman, Perse, Chine, Japon, Russie).
Le volume illustre quelques étapes du Grand Voyage : Alexandre le Grand et Dionysos en Afghanistan en 330-325 avant Jésus-Christ ; un moine mongol nestorien à Rome et à la Cour de Philippe le Bel à la fin du XIIIe siècle ; les ambassades échangées avec Tamerlan à la fin du XIVe siècle ; le séminariste chinois Huang Jialiie à la Bibliothèque de Louis XIV à Paris en 1711 ; Monseigneur Pigneau de Béhaine en Cochinchine de 1767 à 1799 ; quatre officiers de Napoléon à la cour du roi sikh du Pendjâb de 1822 à 1849 ; le premier Coréen, Hong Jeong-ou, à Paris entre 1891 et 1894 pour le, compte du musée Guimet.
Les rencontres se font également dans d'autres domaines, scientifiques et artistiques. Au " Levant ", des naturalistes allemands, flamands, français, suisses, découvrent, depuis le XVIIe siècle, des plantes et fleurs nouvelles, qu'ils font prospérer en Europe. La peinture chinoise est enfin reconnue en Occident, malgré l'opposition des conceptions symboliques des Chinois et de celles, plus matérialistes, des Européens.
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