La Renaissance semble avoir affectionné les recueils et florilèges de tous genres, ensembles souvent jugés disparates et aléatoires. Il y a toutefois lieu de se demander si ces textes ne répondent pas à certaines visées qui en orientent le déploiement ou, en termes rhétoriques, la disposition. Les articles de ce numéro étudient diverses manifestations du recueil (poétique, narratif, épistolaire), de façon à saisir les rapports qui se dessinent entre le simple et le multiple dans ce cadre qui rassemble et harmonise les manifestations du singulier.
La Renaissance semble avoir affectionné les recueils et florilèges de tous genres, ensembles souvent jugés disparates et aléatoires. Il y a toutefois lieu de se demander si ces textes ne répondent pas à certaines visées qui en orientent le déploiement ou, en termes rhétoriques, la disposition. Les articles de ce numéro étudient diverses manifestations du recueil (poétique, narratif, épistolaire), de façon à saisir les rapports qui se dessinent entre le simple et le multiple dans ce cadre qui rassemble et harmonise les manifestations du singulier.