Essai sur le mérite et la vertu - E-book - PDF

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Denis Diderot et Anthony Ashley-Cooper - Essai sur le mérite et la vertu.
Essai sur le mérite et la vertu est une oeuvre écrite Denis Diderot. L'Essai sur le mérite et la vertu peut-être considéré comme le premier texte... Lire la suite
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Résumé

Essai sur le mérite et la vertu est une oeuvre écrite Denis Diderot. L'Essai sur le mérite et la vertu peut-être considéré comme le premier texte anglais qui reconnait à l'homme un sens moral naturel. De ce fait, depuis ce texte l'homme est en mesure d'être vertueux sans être catholique.

Caractéristiques

  • Date de parution
    08/09/2022
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-322-44917-0
  • EAN
    9782322449170
  • Format
    PDF
  • Nb. de pages
    192 pages
  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages
      192
    • Taille
      4 860 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos des auteurs

Denis Diderot est un écrivain, philosophe et encyclopédiste français des Lumières, à la fois romancier, dramaturge, conteur, essayiste, encyclopédiste, dialoguiste, critique d'art, critique littéraire et traducteur. Anthony Ashley-Cooper (26 février 1671 - 4 février 1713), 3e comte de Shaftesbury, est un philosophe, écrivain et homme politique anglais. Shaftesbury est né le 26 février 1671 à Exeter House à Londres.
John Locke assista à sa naissance, en sa qualité d'assistant médical de la famille Ashley. Shaftesbury est en effet le petit-fils d'Anthony Ashley-Cooper (1er comte de Shaftesbury), au service duquel Locke était alors. À l'âge de trois ans, le futur Troisième Comte fut confié à la garde formelle de son grand-père. Locke se vit alors confier la direction de son éducation, selon les principes énoncés dans les Quelques pensées sur l'éducation.
La méthode d'enseignement du latin et du grec fut poursuivie avec un tel succès par son instructrice, Elizabeth Birch, qu'à l'âge de onze ans, Ashley pouvait lire ces langues avec facilité. En novembre 1683, quelques mois après la mort du premier comte, son père l'envoya au collège Winchester. Timide et moqué à cause de son grand-père, sa scolarité ne fut pas des plus brillantes. Il quitta Winchester en 1686 pour voyager. En 1689, un an après la Glorieuse Révolution, Lord Ashley retourna en Angleterre et, pendant près de cinq ans, il semble avoir mené une vie calme et studieuse. Élu au parlement pour l'arrondissement de Poole, il se distingua bientôt par un discours en faveur d'un projet de loi prévoyant qu'une personne accusée ou soupçonnée de trahison puisse recevoir l'assistance d'un avocat.
Membre du parti Whig, Ashley n'était pas du genre à se plier à une discipline de parti. Sa mauvaise santé - il souffrait d'asthme - le força à se retirer du parlement en 1698. Pour échapper à la pollution londonienne, il achète alors une propriété à Little Chelsea, et séjourne aux Pays-Bas où il fait la connaissance de Jean Le Clerc, Pierre Bayle, Benjamin Furly (marchand quaker anglais chez qui Locke avait résidé pendant son séjour à Rotterdam) et probablement Limborch et le reste du cercle littéraire dont Locke avait été un membre chéri et honoré neuf ou dix ans auparavant. Après une absence de plus d'un an, Ashley revint en Angleterre et succéda à son père en tant que comte de Shaftesbury.
Il prit une part active, du côté whig, aux élections générales de 1700-1701, et encore, avec plus de succès, aux élections d'automne de 1701. Guillaume III lui offrit un poste de secrétaire d'État, que la détérioration de sa santé le contraint à décliner.

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