Entretiens avec Jean-Pierre Mocky
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- Nombre de pages172
- FormatePub
- ISBN2-402-23391-5
- EAN9782402233910
- Date de parution01/01/1989
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille45 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Edil...
Résumé
Avec autant de films à son palmarès qu'il a d'années de pratique cinématographique, Jean-Pierre Mocky représente, dans l'univers du cinéma français, une figure à part. On le dit "marginal", "franc-tireur" (ce qu'il récuse volontiers, avec une certaine véhémence) et on le sait anarchiste d'esprit, de point de vue et de style (ce qu'il conteste moins). En fait c'est un aventurier du film, un solitaire entêté et un cinéaste pour le moins singulier.
Il fallait faire parler cet homme de verbe qui s'explique volontiers sur lui-même, ses intentions, ses phobies, ses fidélités, ses manières de travailler. Cet homme s'exprime comme il filme, avec fougue et passion et nous propose à lire en filigrane sa vie à travers son ouvre mêlées. Ce "drôle de paroissien" se confesse en toute impudeur pour dire sa phobie de la bêtise, de la vulgarité d'esprit, de l'hypocrisie, en soulignant la permanence de ses cibles de prédilection : les hommes de pouvoir, les flics, les curés et toutes les institutions répressives, quelles qu'elles soient.
On découvrira, à cette occasion, les itinéraires capricieux qu'a empruntés sa carrière - belle révélation de ce que le cinéma reste un univers semé d'embûches et riche d'aventures. Les propos de Jean-Pierre Mocky ont été recueillis par Gaston Haustrate, critique et historien du cinéma, auteur d'un "Guide du cinéma" (Éd. Syros) et de deux monographies chez Edilig : "Arthur Penn" et "Bertrand Blier".
Il fallait faire parler cet homme de verbe qui s'explique volontiers sur lui-même, ses intentions, ses phobies, ses fidélités, ses manières de travailler. Cet homme s'exprime comme il filme, avec fougue et passion et nous propose à lire en filigrane sa vie à travers son ouvre mêlées. Ce "drôle de paroissien" se confesse en toute impudeur pour dire sa phobie de la bêtise, de la vulgarité d'esprit, de l'hypocrisie, en soulignant la permanence de ses cibles de prédilection : les hommes de pouvoir, les flics, les curés et toutes les institutions répressives, quelles qu'elles soient.
On découvrira, à cette occasion, les itinéraires capricieux qu'a empruntés sa carrière - belle révélation de ce que le cinéma reste un univers semé d'embûches et riche d'aventures. Les propos de Jean-Pierre Mocky ont été recueillis par Gaston Haustrate, critique et historien du cinéma, auteur d'un "Guide du cinéma" (Éd. Syros) et de deux monographies chez Edilig : "Arthur Penn" et "Bertrand Blier".
Avec autant de films à son palmarès qu'il a d'années de pratique cinématographique, Jean-Pierre Mocky représente, dans l'univers du cinéma français, une figure à part. On le dit "marginal", "franc-tireur" (ce qu'il récuse volontiers, avec une certaine véhémence) et on le sait anarchiste d'esprit, de point de vue et de style (ce qu'il conteste moins). En fait c'est un aventurier du film, un solitaire entêté et un cinéaste pour le moins singulier.
Il fallait faire parler cet homme de verbe qui s'explique volontiers sur lui-même, ses intentions, ses phobies, ses fidélités, ses manières de travailler. Cet homme s'exprime comme il filme, avec fougue et passion et nous propose à lire en filigrane sa vie à travers son ouvre mêlées. Ce "drôle de paroissien" se confesse en toute impudeur pour dire sa phobie de la bêtise, de la vulgarité d'esprit, de l'hypocrisie, en soulignant la permanence de ses cibles de prédilection : les hommes de pouvoir, les flics, les curés et toutes les institutions répressives, quelles qu'elles soient.
On découvrira, à cette occasion, les itinéraires capricieux qu'a empruntés sa carrière - belle révélation de ce que le cinéma reste un univers semé d'embûches et riche d'aventures. Les propos de Jean-Pierre Mocky ont été recueillis par Gaston Haustrate, critique et historien du cinéma, auteur d'un "Guide du cinéma" (Éd. Syros) et de deux monographies chez Edilig : "Arthur Penn" et "Bertrand Blier".
Il fallait faire parler cet homme de verbe qui s'explique volontiers sur lui-même, ses intentions, ses phobies, ses fidélités, ses manières de travailler. Cet homme s'exprime comme il filme, avec fougue et passion et nous propose à lire en filigrane sa vie à travers son ouvre mêlées. Ce "drôle de paroissien" se confesse en toute impudeur pour dire sa phobie de la bêtise, de la vulgarité d'esprit, de l'hypocrisie, en soulignant la permanence de ses cibles de prédilection : les hommes de pouvoir, les flics, les curés et toutes les institutions répressives, quelles qu'elles soient.
On découvrira, à cette occasion, les itinéraires capricieux qu'a empruntés sa carrière - belle révélation de ce que le cinéma reste un univers semé d'embûches et riche d'aventures. Les propos de Jean-Pierre Mocky ont été recueillis par Gaston Haustrate, critique et historien du cinéma, auteur d'un "Guide du cinéma" (Éd. Syros) et de deux monographies chez Edilig : "Arthur Penn" et "Bertrand Blier".