Entretien avec Karl Marx

Par : Henri Pena-Ruiz

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  • Nombre de pages112
  • FormatePub
  • ISBN978-2-259-21838-2
  • EAN9782259218382
  • Date de parution29/03/2012
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurPlon

Résumé

"Bonjour, Monsieur Marx. Je ne peux vous cacher mon émotion. Vous représentez beaucoup pour ceux qui se révoltent contre le monde comme il va. Aujourd'hui le capitalisme fait rage, l'argent roi règne. Comment caractériser le genre de relations qu'il instaure entre les hommes ?" Premiers jours de janvier 1882. Maitland Park Road, quartier de Londres, j'arrive enfin chez lui. Désormais, Karl Marx est seul.
Il n'a que 63 ans, mais tous ceux qui l'ont rencontré dernièrement le décrivent comme à bout de forces. Il continue cependant à travailler, à revoir ses manuscrits pour son grand oeuvre : Le Capital, le chef d'oeuvre inachevé. Je m'assieds en face de lui. Notre premier entretien commence. Il sourit parfois, s'indigne souvent des injustices qu'il évoque et de l'hypocrisie qui les recouvre. Une photo de son ami de toujours, Friedrich Engels, est là, sur la cheminée, derrière lui.
Pour de nombreuses questions, je vais avoir le sentiment de m'adresser à eux deux. D'ailleurs, Karl Marx se tourne régulièrement vers l'image de son ami, comme pour mieux solliciter son acquiescement. Les deux penseurs ont voulu dire tout haut la vérité d'un monde à dépasser et celle d'un monde à inventer.
"Bonjour, Monsieur Marx. Je ne peux vous cacher mon émotion. Vous représentez beaucoup pour ceux qui se révoltent contre le monde comme il va. Aujourd'hui le capitalisme fait rage, l'argent roi règne. Comment caractériser le genre de relations qu'il instaure entre les hommes ?" Premiers jours de janvier 1882. Maitland Park Road, quartier de Londres, j'arrive enfin chez lui. Désormais, Karl Marx est seul.
Il n'a que 63 ans, mais tous ceux qui l'ont rencontré dernièrement le décrivent comme à bout de forces. Il continue cependant à travailler, à revoir ses manuscrits pour son grand oeuvre : Le Capital, le chef d'oeuvre inachevé. Je m'assieds en face de lui. Notre premier entretien commence. Il sourit parfois, s'indigne souvent des injustices qu'il évoque et de l'hypocrisie qui les recouvre. Une photo de son ami de toujours, Friedrich Engels, est là, sur la cheminée, derrière lui.
Pour de nombreuses questions, je vais avoir le sentiment de m'adresser à eux deux. D'ailleurs, Karl Marx se tourne régulièrement vers l'image de son ami, comme pour mieux solliciter son acquiescement. Les deux penseurs ont voulu dire tout haut la vérité d'un monde à dépasser et celle d'un monde à inventer.