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  • Nombre de pages201
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8180-1693-0
  • EAN9782818016930
  • Date de parution04/10/2012
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille205 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurP.O.L

Résumé

'Ça se déroulait toujours de la même manière. Une voix appelait sur mon cellulaire, tard le soir ou tôt le matin. Elle demandait à me rencontrer en tête-à-tête. Et donnait la phrase rituelle : En souvenir d'André. Je me rendais à l'adresse indiquée et là, je rencontrais un homme, parfois seul, parfois avec une autre personne, de son âge ou plus jeune. On ne faisait pas de présentations. Ils connaissaient mon nom, ils m'avaient donné leur prénom.
Lorsque le malade souffrait trop, l'autre personne était là pour m'expliquer. Je l'arrêtais très vite. Je vais d'abord m'occuper de la douleur.'
'Ça se déroulait toujours de la même manière. Une voix appelait sur mon cellulaire, tard le soir ou tôt le matin. Elle demandait à me rencontrer en tête-à-tête. Et donnait la phrase rituelle : En souvenir d'André. Je me rendais à l'adresse indiquée et là, je rencontrais un homme, parfois seul, parfois avec une autre personne, de son âge ou plus jeune. On ne faisait pas de présentations. Ils connaissaient mon nom, ils m'avaient donné leur prénom.
Lorsque le malade souffrait trop, l'autre personne était là pour m'expliquer. Je l'arrêtais très vite. Je vais d'abord m'occuper de la douleur.'

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Trop court! Trop vite lu!
Subjuguée par le Choeur des femmes, son précédent roman, je me suis précipitée sur le petit nouveau de Martin Winckler En souvenir d'André. Un roman sur la douleur, le recherche de l'apaisement en fin de vie, ne pas souffrir. Un roman passionnant, poignant qui m'a pris aux tripes et avec toujours autant d'envie de connaître le "mystère" des personnages et de leur vie. Trop vite lu, on voudrait qu'il ne s'arrête pas... Très émouvant et captivant
Subjuguée par le Choeur des femmes, son précédent roman, je me suis précipitée sur le petit nouveau de Martin Winckler En souvenir d'André. Un roman sur la douleur, le recherche de l'apaisement en fin de vie, ne pas souffrir. Un roman passionnant, poignant qui m'a pris aux tripes et avec toujours autant d'envie de connaître le "mystère" des personnages et de leur vie. Trop vite lu, on voudrait qu'il ne s'arrête pas... Très émouvant et captivant
  • Emouvant
  • XXIe siècle
  • douleur
  • médecine
  • Bouleversant
  • Vibrant
  • fin de vie
  • euthanasie

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.3/5
sur 10 notes dont 6 avis lecteurs
Alléger l'âme et le corps
J’avais lu, il y a très longtemps, La maladie de Sachs de cet écrivain médecin et je n’ai donc pas hésité à me plonger dans les souvenirs d’Emmanuel. Emmanuel est ce vieux médecin, condamné par un cancer invasif, qui raconte sa vie et sa mission à un jeune homme sans doute un membre de l’Unité de la Douleur. Après avoir assisté à la déchéance de son père en fin de vie, à la mort de sa mère et à la souffrance de ses patients devant l’indifférence et l’hypocrisie des autres médecins, Emmanuel s’est décidé à alléger la souffrance des malades incurables qui ne pouvaient plus résister à la douleur physique ou morale. "Celle ou celui qui ne souffre pas physiquement ou moralement ne demande pas à mourir." Si ce roman est au cœur du débat très controversé de l’euthanasie, c’est aussi et surtout une succession de vies d’hommes et de femmes à l’âme bien lourde. Un médecin comme Emmanuel est là pour soulager la douleur physique mais surtout pour écouter le dernier témoignage d’un être en souffrance. Afin de mieux aborder la mort, l’homme a besoin d’alléger son cœur et de transmettre ce qui doit l’être. " Mais nous n’avons que ça, finalement. Des histoires. Pour nous aider à vivre, pour nous préparer à mourir." " Les derniers moments d’un homme sont sublimes." Ces confessions d’André, puis du chirurgien au cœur brisé, de Louise sont poignantes. Emmanuel les recueille et les note avec respect et discrétion. Puis, il viendra à parler de Nora, la seule femme qu’il a aimée. Emmanuel a sûrement, lui aussi, besoin de se confier afin de croiser la mort plus sereinement. En regardant dernièrement le film Amour d’Haneke, je fus marquée par cette douleur ressentie par un être malade, diminué et par son entourage. Le roman de Martin Winckler illustre cette même douleur et ne peut que nous faire réfléchir sur ce vaste débat d’une fin de vie en toute dignité.
J’avais lu, il y a très longtemps, La maladie de Sachs de cet écrivain médecin et je n’ai donc pas hésité à me plonger dans les souvenirs d’Emmanuel. Emmanuel est ce vieux médecin, condamné par un cancer invasif, qui raconte sa vie et sa mission à un jeune homme sans doute un membre de l’Unité de la Douleur. Après avoir assisté à la déchéance de son père en fin de vie, à la mort de sa mère et à la souffrance de ses patients devant l’indifférence et l’hypocrisie des autres médecins, Emmanuel s’est décidé à alléger la souffrance des malades incurables qui ne pouvaient plus résister à la douleur physique ou morale. "Celle ou celui qui ne souffre pas physiquement ou moralement ne demande pas à mourir." Si ce roman est au cœur du débat très controversé de l’euthanasie, c’est aussi et surtout une succession de vies d’hommes et de femmes à l’âme bien lourde. Un médecin comme Emmanuel est là pour soulager la douleur physique mais surtout pour écouter le dernier témoignage d’un être en souffrance. Afin de mieux aborder la mort, l’homme a besoin d’alléger son cœur et de transmettre ce qui doit l’être. " Mais nous n’avons que ça, finalement. Des histoires. Pour nous aider à vivre, pour nous préparer à mourir." " Les derniers moments d’un homme sont sublimes." Ces confessions d’André, puis du chirurgien au cœur brisé, de Louise sont poignantes. Emmanuel les recueille et les note avec respect et discrétion. Puis, il viendra à parler de Nora, la seule femme qu’il a aimée. Emmanuel a sûrement, lui aussi, besoin de se confier afin de croiser la mort plus sereinement. En regardant dernièrement le film Amour d’Haneke, je fus marquée par cette douleur ressentie par un être malade, diminué et par son entourage. Le roman de Martin Winckler illustre cette même douleur et ne peut que nous faire réfléchir sur ce vaste débat d’une fin de vie en toute dignité.
  • Vibrant
  • euthanasie
Entre vie et mort sans jugement
C’est un témoignage romancé. L’auteur se met dans la peau d’un médecin qui aurait aidé des patients qui le souhaitaient à mettre un terme à leur vie qui n’est que souffrance. Ce livre n’est jamais décourageant. Ce débat sur l’euthanasie ne semble salutaire parce qu’il nous montre le choix du point de vue du patient. Très beau texte, bien écrit. Martin Winkler, sans nous juger, sans nous culpabiliser, nous renvoie à notre condition d’humain mortel.
C’est un témoignage romancé. L’auteur se met dans la peau d’un médecin qui aurait aidé des patients qui le souhaitaient à mettre un terme à leur vie qui n’est que souffrance. Ce livre n’est jamais décourageant. Ce débat sur l’euthanasie ne semble salutaire parce qu’il nous montre le choix du point de vue du patient. Très beau texte, bien écrit. Martin Winkler, sans nous juger, sans nous culpabiliser, nous renvoie à notre condition d’humain mortel.
  • euthanasie
Critique d'un lecteur
J'ai bien aimé ce livre parce que, sous forme de roman, l'auteur aborde un sujet grave : l'euthanasie D'un bout à l'autre du livre, le médecin essaie de se mettre, avec beaucoup d'humilité, dans la peau du patient en fin de vie. On y trouve ses propres interrogations et les doutes du praticien. Même si le sujet est pathétique, j'ai lu ce livre d'une traite, avec plaisir et sans angoisse.
J'ai bien aimé ce livre parce que, sous forme de roman, l'auteur aborde un sujet grave : l'euthanasie D'un bout à l'autre du livre, le médecin essaie de se mettre, avec beaucoup d'humilité, dans la peau du patient en fin de vie. On y trouve ses propres interrogations et les doutes du praticien. Même si le sujet est pathétique, j'ai lu ce livre d'une traite, avec plaisir et sans angoisse.
Martin Winckler
Martin Winckler est l'auteur d'une quarantaine de livres parmi lesquels La maladie de Sachs (POL, 1998) et Le Choeur des femmes (POL, 2009). Après Mort in Vitro (2003) et Camisoles (2006), Les Invisibles est son troisième roman au Fleuve Noir.
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