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  • FormatEpub fixed layout
  • ISBN978-2-490501-55-7
  • EAN9782490501557
  • Date de parution19/07/2024
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurEDITIONS DU TYPHON
  • TraducteurBenjamin Kuntzer

Résumé

À son arrivée sur l'île de la Barbade, un jeune peintre est accueilli dans une saisissante demeure : Eltonsbrody. Bordée par la mer et entourée d'une végétation luxuriante, la maison semble sortie d'un songe. Mais peu à peu, la beauté s'effrite. Est-ce le hurlement du vent ou celui qui y rend le repos impossible ? Né en Guyane britannique, l'actuelle Guyana, Edgar Mittelholzer (1909-1965) est un auteur métis.
Découvert, après des années d'infortune, par Leonard Woolf, le mari de Virginia, Edgar Mittelholzer est le premier écrivain caribéen à avoir connu un succès en Europe. Mais rien n'apaise la haine de soi de celui qui se sent rejeté pour sa couleur de peau. De controverses en dépressions et face aux, déjà, prégnantes questions identitaires, il finit par se suicider en 1965. Né en Guyane britannique, l'actuelle Guyana, Edgar Mittelholzer (1909-1965) est un auteur métis.
Découvert, après des années d'infortune, par Leonard Woolf, le mari de Virginia, Edgar Mittelholzer est le premier écrivain caribéen à avoir connu un succès en Europe. Mais rien n'apaise la haine de soi de celui qui se sent rejeté pour sa couleur de peau. De controverses en dépressions et face aux, déjà, prégnantes questions identitaires, il finit par se suicider en 1965.
À son arrivée sur l'île de la Barbade, un jeune peintre est accueilli dans une saisissante demeure : Eltonsbrody. Bordée par la mer et entourée d'une végétation luxuriante, la maison semble sortie d'un songe. Mais peu à peu, la beauté s'effrite. Est-ce le hurlement du vent ou celui qui y rend le repos impossible ? Né en Guyane britannique, l'actuelle Guyana, Edgar Mittelholzer (1909-1965) est un auteur métis.
Découvert, après des années d'infortune, par Leonard Woolf, le mari de Virginia, Edgar Mittelholzer est le premier écrivain caribéen à avoir connu un succès en Europe. Mais rien n'apaise la haine de soi de celui qui se sent rejeté pour sa couleur de peau. De controverses en dépressions et face aux, déjà, prégnantes questions identitaires, il finit par se suicider en 1965. Né en Guyane britannique, l'actuelle Guyana, Edgar Mittelholzer (1909-1965) est un auteur métis.
Découvert, après des années d'infortune, par Leonard Woolf, le mari de Virginia, Edgar Mittelholzer est le premier écrivain caribéen à avoir connu un succès en Europe. Mais rien n'apaise la haine de soi de celui qui se sent rejeté pour sa couleur de peau. De controverses en dépressions et face aux, déjà, prégnantes questions identitaires, il finit par se suicider en 1965.

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Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
DilamarDecitre Bellecour
3/5
Du gothique
Pour les amateurs du gothique, ce court roman, mené de main de maître, ne décevra pas. Tout est là : mystère et tension, frissons (ah ce vent surnaturel !), frayeur. Mais le plus intéressant, à notre avis, est le face-à-face entre Mr Woodsley, le narrateur, et Mrs Scaife, dame surprenante qui l'accueille dans sa maison. Nous n'en dirons pas plus, sinon ceci : Mrs Scaife est un personnage savoureux, haut en couleur, complexe, qu'on aimerait connaître – mais avec qui on n'aimerait surtout pas vivre… Allez, je vous laisse vous promener à Eltonsbrody !
Pour les amateurs du gothique, ce court roman, mené de main de maître, ne décevra pas. Tout est là : mystère et tension, frissons (ah ce vent surnaturel !), frayeur. Mais le plus intéressant, à notre avis, est le face-à-face entre Mr Woodsley, le narrateur, et Mrs Scaife, dame surprenante qui l'accueille dans sa maison. Nous n'en dirons pas plus, sinon ceci : Mrs Scaife est un personnage savoureux, haut en couleur, complexe, qu'on aimerait connaître – mais avec qui on n'aimerait surtout pas vivre… Allez, je vous laisse vous promener à Eltonsbrody !
fabien b. - 1Decitre Grenoble
4/5
Eltonsbrody
Où as-tu mis les pieds monsieur Woodsley ? Encore une très belle publication chez Les éditions du typhon ça s'appelle Eltonsbrody, c'est écrit par Edgar Mittelholzer (traduit par Benjamin Kuntzer) et c'est à se faire frémir d'urgence ! Île de la Barbade. Un homme, peintre, se rend à Bridgetown, les hôtels affichent comble, c’est ainsi que l’on se retrouve accueilli par une vieille dame dans sa demeure ancienne Eltonsbrody… Les abords bienveillants et le charme saisissant du lieu vont très vite s’effriter au profit d’une ambiance, disons… macabre, tout au moins étrange. Au rang des personnages principaux : Le vent. Cette force rageuse qui souffle fort, qui s’enroule aux chevilles, se cheville aux murs, se glisse sous les portes et fait craquer tous les meubles et les planchers de bois. Le vent est une présence intemporelle et charnelle. Il est le corps tanguant de l’île. La vieille dame est une hôtesse des plus intrigantes. Folle ?, peut-être, fantasque ?assurément. Qui de mieux pour parler de Mrs Scaife que Mrs Scaife elle-même ? : « [Mes parents] ne saisissaient pas que j’étais née pour me repaître de tout ce qu’il y a d’horrible et de morbide, que la vue du sang, au lieu de provoquer chez moi de l’aversion, suscitait du ravissement, me propulsait dans des extases fébriles. Pourquoi devrais-je être condamnée au prétexte que je suis née avec l’amour du carnage ? Pourquoi devrais-je être considérée comme folle au prétexte que je peux percevoir la mort sur les gens ? » La mort rôde. Les objets semblent des présence troubles (les arbres casuarinas, le surtout scintillant de surnaturel, les outils chirurgicaux, les cercueils ici ou là). Tout y est en ambivalence : on se rit de la peur et l’on s’effraie d’un rire. La désinvolture flirte avec la folie. La mort est une marque et le mystère reste entier. Eltonsbrody est le royaume du lugubre et de la terreur douce, le royaume des diables qui rient sur les épaules, le royaume des secrets. Une ambiance génialement terrifique. Un roman glaçant et captivant de la première à la dernière page ! On s’y amuse tout autant que l’on craint de découvrir ce qui se cache dans les mots de la prochaine page. En un sens : jubilatoire !
Où as-tu mis les pieds monsieur Woodsley ? Encore une très belle publication chez Les éditions du typhon ça s'appelle Eltonsbrody, c'est écrit par Edgar Mittelholzer (traduit par Benjamin Kuntzer) et c'est à se faire frémir d'urgence ! Île de la Barbade. Un homme, peintre, se rend à Bridgetown, les hôtels affichent comble, c’est ainsi que l’on se retrouve accueilli par une vieille dame dans sa demeure ancienne Eltonsbrody… Les abords bienveillants et le charme saisissant du lieu vont très vite s’effriter au profit d’une ambiance, disons… macabre, tout au moins étrange. Au rang des personnages principaux : Le vent. Cette force rageuse qui souffle fort, qui s’enroule aux chevilles, se cheville aux murs, se glisse sous les portes et fait craquer tous les meubles et les planchers de bois. Le vent est une présence intemporelle et charnelle. Il est le corps tanguant de l’île. La vieille dame est une hôtesse des plus intrigantes. Folle ?, peut-être, fantasque ?assurément. Qui de mieux pour parler de Mrs Scaife que Mrs Scaife elle-même ? : « [Mes parents] ne saisissaient pas que j’étais née pour me repaître de tout ce qu’il y a d’horrible et de morbide, que la vue du sang, au lieu de provoquer chez moi de l’aversion, suscitait du ravissement, me propulsait dans des extases fébriles. Pourquoi devrais-je être condamnée au prétexte que je suis née avec l’amour du carnage ? Pourquoi devrais-je être considérée comme folle au prétexte que je peux percevoir la mort sur les gens ? » La mort rôde. Les objets semblent des présence troubles (les arbres casuarinas, le surtout scintillant de surnaturel, les outils chirurgicaux, les cercueils ici ou là). Tout y est en ambivalence : on se rit de la peur et l’on s’effraie d’un rire. La désinvolture flirte avec la folie. La mort est une marque et le mystère reste entier. Eltonsbrody est le royaume du lugubre et de la terreur douce, le royaume des diables qui rient sur les épaules, le royaume des secrets. Une ambiance génialement terrifique. Un roman glaçant et captivant de la première à la dernière page ! On s’y amuse tout autant que l’on craint de découvrir ce qui se cache dans les mots de la prochaine page. En un sens : jubilatoire !

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Ambiance gothique à la Barbade
Mystère, vieille dame excentrique, une demeure à la Barbade à l’ambiance gothique, un vent soufflant de manière incessante…bienvenue à Eltonsbrody. Mr Woodsley est en vacances sur l’île et va accepter l’hospitalité de la surprenante Mrs Scaife. Et c’est là que les évènements dérivent lentement vers l’horreur, le malsain, l’étrange, l’intriguant… Les échanges entre Woodsley et Mrs Scaife sont très directs, le malaise s’installe crescendo, les questions demeurent jusqu’à la fin. La forte personnalité de Mrs Scaife est hypnotisante, et elle nous interroge sur la part d’ombre de chacun, sur l’origine du Mal, peut-on naitre avec, le devient-on ? Un récit fantastique dans la pure tradition du gothique et des grands maitres du genre très réussit. Mittelholzer ne se prénomme pas Edgar, comme Edgar Allan Poe, pour rien. A découvrir pour tous les amateurs du genre !
Mystère, vieille dame excentrique, une demeure à la Barbade à l’ambiance gothique, un vent soufflant de manière incessante…bienvenue à Eltonsbrody. Mr Woodsley est en vacances sur l’île et va accepter l’hospitalité de la surprenante Mrs Scaife. Et c’est là que les évènements dérivent lentement vers l’horreur, le malsain, l’étrange, l’intriguant… Les échanges entre Woodsley et Mrs Scaife sont très directs, le malaise s’installe crescendo, les questions demeurent jusqu’à la fin. La forte personnalité de Mrs Scaife est hypnotisante, et elle nous interroge sur la part d’ombre de chacun, sur l’origine du Mal, peut-on naitre avec, le devient-on ? Un récit fantastique dans la pure tradition du gothique et des grands maitres du genre très réussit. Mittelholzer ne se prénomme pas Edgar, comme Edgar Allan Poe, pour rien. A découvrir pour tous les amateurs du genre !
Eltonsbrody
3.7/5
Edgar Mittelholzer
Poche
9,80 €