Du monde ; Positions et dénominations des vents ; Des plantes

Par : Pseudo-Aristote
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  • Nombre de pages304
  • FormatePub
  • ISBN978-2-251-91055-0
  • EAN9782251910550
  • Date de parution09/11/2018
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLes Belles Lettres
  • Commentateur (texte)Michel Federspiel
  • Commentateur (texte)Jean-Pierre Levet
  • Commentateur (texte)Marie Cronier
  • PréfacierAude Cohen-Skalli

Résumé

Les trois opuscules réunis dans ce volume concernent les sciences de la terre. Le plus célèbre, Du monde, centré sur l'organisation du cosmos, se présente sous la forme d'une lettre à Alexandre, sans doute le roi de Macédoine. L'authenticité de ce texte a depuis longtemps été mise en cause par nombre de spécialistes, mais l'agitation savante ressurgie dans les années 1970 lui a fait gagner en notoriété.
Le traité sur les vents, bref fragment conservé de l'abondante littérature anémologique des Grecs, est lui aussi pseudo-aristotélicien. C'est le traité Des plantes qui a connu l'histoire la plus mouvementée, au grand amusement des philologues: il fut composé en grec, sans doute par le péripatéticien Nicolas de Damas (1er s. av. J.-C.). On l'a perdu sous cette forme, mais il fut traduit en syriaque, puis en arabe, puis en hébreu et en latin, puis en grec.
Cette version traduit le latin d'Alfred de Sareshel (XIIe-XIIIe s.), qui joua un rôle fondamental dans la diffusion de la pensée d'Aristote en Occident.
Les trois opuscules réunis dans ce volume concernent les sciences de la terre. Le plus célèbre, Du monde, centré sur l'organisation du cosmos, se présente sous la forme d'une lettre à Alexandre, sans doute le roi de Macédoine. L'authenticité de ce texte a depuis longtemps été mise en cause par nombre de spécialistes, mais l'agitation savante ressurgie dans les années 1970 lui a fait gagner en notoriété.
Le traité sur les vents, bref fragment conservé de l'abondante littérature anémologique des Grecs, est lui aussi pseudo-aristotélicien. C'est le traité Des plantes qui a connu l'histoire la plus mouvementée, au grand amusement des philologues: il fut composé en grec, sans doute par le péripatéticien Nicolas de Damas (1er s. av. J.-C.). On l'a perdu sous cette forme, mais il fut traduit en syriaque, puis en arabe, puis en hébreu et en latin, puis en grec.
Cette version traduit le latin d'Alfred de Sareshel (XIIe-XIIIe s.), qui joua un rôle fondamental dans la diffusion de la pensée d'Aristote en Occident.