Discours sur l'esclavage des nègres. Et autres textes sur l’esclavage

Par : Carminella Biondi
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  • Nombre de pages240
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-336-54106-8
  • EAN9782336541068
  • Date de parution29/05/2025
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille3 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Duval de Sanadon, dit Duval-Sanadon, en tant que colon et polémiste habile, a défendu de bonne foi la cause esclavagiste car il avait des atouts. Il était cultivé, connaissait bien les colonies et leur prix pour la mère-patrie, avait une idée positive du futur colonial et des projets pour une réorganisation de tout le système, destinés à améliorer la condition de vie des maîtres mais surtout des esclaves, bien conscient des aspects négatifs de l'esclavage, qu'il n'hésitait pas à reconnaître comme un « mal absolu », mais dont les colonies ne pouvaient pas se passer. « Je sens bien que toutes ces considérations politiques sont nulles aux yeux du philosophe, et que dans une âme sensible la voix de l'humanité souffrante doit faire taire les clameurs importunes de l'intérêt.
Eh bien ! joignons-nous à ces amis de l'homme opprimé ; embrassons un sentiment rejeté par la société dépravée, mais que dicte la nature [.]. Puisque l'esclavage est un mal, puisque semblable au mancenillier et l'arbre, et ses fruits, et jusqu'à ses feuilles sont tous un affreux poison, coupons-le dans sa racine, détruisons jusqu'aux faibles rejetons qui pourraient le reproduire un jour. » Duval-Sanadon, Discours sur l'esclavage des nègres
Duval de Sanadon, dit Duval-Sanadon, en tant que colon et polémiste habile, a défendu de bonne foi la cause esclavagiste car il avait des atouts. Il était cultivé, connaissait bien les colonies et leur prix pour la mère-patrie, avait une idée positive du futur colonial et des projets pour une réorganisation de tout le système, destinés à améliorer la condition de vie des maîtres mais surtout des esclaves, bien conscient des aspects négatifs de l'esclavage, qu'il n'hésitait pas à reconnaître comme un « mal absolu », mais dont les colonies ne pouvaient pas se passer. « Je sens bien que toutes ces considérations politiques sont nulles aux yeux du philosophe, et que dans une âme sensible la voix de l'humanité souffrante doit faire taire les clameurs importunes de l'intérêt.
Eh bien ! joignons-nous à ces amis de l'homme opprimé ; embrassons un sentiment rejeté par la société dépravée, mais que dicte la nature [.]. Puisque l'esclavage est un mal, puisque semblable au mancenillier et l'arbre, et ses fruits, et jusqu'à ses feuilles sont tous un affreux poison, coupons-le dans sa racine, détruisons jusqu'aux faibles rejetons qui pourraient le reproduire un jour. » Duval-Sanadon, Discours sur l'esclavage des nègres
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