Mémoire sur l'esclavage des nègres. Suivi d'autres textes dont les notes du baron de Vastey
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- Nombre de pages171
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.302 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-343-16123-5
- EAN9782343161235
- Date de parution13/11/2018
- CollectionAutrement mêmes
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierCarminella Biondi
- PréfacierRoger Little
Résumé
Février 1788 : en France la Société des Amis des Noirs voit le jour, à l'imitation de la Société anglaise analogue et de nombreuses sociétés américaines. Les écrits contre la traite et l'esclavage colonial se multiplient et ont inévitablement comme conséquence une mise en question des colonies. Un grand fonctionnaire de la Marine, intendant au port de Toulon et colon à Saint-Domingue, Pierre Victor Malouet, est convaincu qu'il est de son devoir d'intervenir dans le débat, qu'il juge animé de bonnes intentions, mais fondé sur la méconnaissance des faits.
Il reconnaît la négativité de l'esclavage et de la traite des noirs sur le plan des principes, mais il est d'avis que c'est le seul moyen qui permette la survie des colonies. Il demande donc qu'elles soient réformées, à commencer par la gestion de la main-d'oeuvre servile, en faveur d'un esclavage qu'il définit " modéré ", mais que soient sauvegardées les bases sur lesquelles elles se fondent, y compris la " malheureuse institution ".
Il reconnaît la négativité de l'esclavage et de la traite des noirs sur le plan des principes, mais il est d'avis que c'est le seul moyen qui permette la survie des colonies. Il demande donc qu'elles soient réformées, à commencer par la gestion de la main-d'oeuvre servile, en faveur d'un esclavage qu'il définit " modéré ", mais que soient sauvegardées les bases sur lesquelles elles se fondent, y compris la " malheureuse institution ".
Février 1788 : en France la Société des Amis des Noirs voit le jour, à l'imitation de la Société anglaise analogue et de nombreuses sociétés américaines. Les écrits contre la traite et l'esclavage colonial se multiplient et ont inévitablement comme conséquence une mise en question des colonies. Un grand fonctionnaire de la Marine, intendant au port de Toulon et colon à Saint-Domingue, Pierre Victor Malouet, est convaincu qu'il est de son devoir d'intervenir dans le débat, qu'il juge animé de bonnes intentions, mais fondé sur la méconnaissance des faits.
Il reconnaît la négativité de l'esclavage et de la traite des noirs sur le plan des principes, mais il est d'avis que c'est le seul moyen qui permette la survie des colonies. Il demande donc qu'elles soient réformées, à commencer par la gestion de la main-d'oeuvre servile, en faveur d'un esclavage qu'il définit " modéré ", mais que soient sauvegardées les bases sur lesquelles elles se fondent, y compris la " malheureuse institution ".
Il reconnaît la négativité de l'esclavage et de la traite des noirs sur le plan des principes, mais il est d'avis que c'est le seul moyen qui permette la survie des colonies. Il demande donc qu'elles soient réformées, à commencer par la gestion de la main-d'oeuvre servile, en faveur d'un esclavage qu'il définit " modéré ", mais que soient sauvegardées les bases sur lesquelles elles se fondent, y compris la " malheureuse institution ".