Devenir des machines. 400 ans de soumission de l'homme à la machine
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- Nombre de pages377
- FormatePub
- ISBN978-2-315-02282-3
- EAN9782315022823
- Date de parution23/01/2025
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurMax Milo
Résumé
Le monde moderne, depuis quatre siècles, est dominé par la machinerie. Il naît avec la production capitaliste. Elle va rapidement entrer en symbiose avec le développement capitaliste qui trouve dans la mécanique, son moteur. Calcul, prédictibilité, pouvoir d'abstraction, les catégories de la science moderne sont adéquates à ce nouveau mode de production qui va envahir la planète. Or, toutes les tendances qui conduisent à l'élimination de la vie au profit du mécanique conduisent à une réification générale de la vie humaine et une perte de notre être-au-monde.
Faire de la nature une simple matière première, remplacer les processus vitaux par des procédures mécaniques, tout cela conduit à traiter les humains comme des choses, pour en faire des êtres prédictibles. S'impose donc la nécessité de penser une résistance à ce mouvement. L'involution du grand mouvement des Lumières vers la formation d'une cage d'acier technoscientifique pose la tâche de retrouver le sens de la nature et de la vie, de repenser l'enracinement au-delà de ce qu'avait esquissé Simone Weil, de refaire de la nature une sphère de résonance.
Faire de la nature une simple matière première, remplacer les processus vitaux par des procédures mécaniques, tout cela conduit à traiter les humains comme des choses, pour en faire des êtres prédictibles. S'impose donc la nécessité de penser une résistance à ce mouvement. L'involution du grand mouvement des Lumières vers la formation d'une cage d'acier technoscientifique pose la tâche de retrouver le sens de la nature et de la vie, de repenser l'enracinement au-delà de ce qu'avait esquissé Simone Weil, de refaire de la nature une sphère de résonance.
Le monde moderne, depuis quatre siècles, est dominé par la machinerie. Il naît avec la production capitaliste. Elle va rapidement entrer en symbiose avec le développement capitaliste qui trouve dans la mécanique, son moteur. Calcul, prédictibilité, pouvoir d'abstraction, les catégories de la science moderne sont adéquates à ce nouveau mode de production qui va envahir la planète. Or, toutes les tendances qui conduisent à l'élimination de la vie au profit du mécanique conduisent à une réification générale de la vie humaine et une perte de notre être-au-monde.
Faire de la nature une simple matière première, remplacer les processus vitaux par des procédures mécaniques, tout cela conduit à traiter les humains comme des choses, pour en faire des êtres prédictibles. S'impose donc la nécessité de penser une résistance à ce mouvement. L'involution du grand mouvement des Lumières vers la formation d'une cage d'acier technoscientifique pose la tâche de retrouver le sens de la nature et de la vie, de repenser l'enracinement au-delà de ce qu'avait esquissé Simone Weil, de refaire de la nature une sphère de résonance.
Faire de la nature une simple matière première, remplacer les processus vitaux par des procédures mécaniques, tout cela conduit à traiter les humains comme des choses, pour en faire des êtres prédictibles. S'impose donc la nécessité de penser une résistance à ce mouvement. L'involution du grand mouvement des Lumières vers la formation d'une cage d'acier technoscientifique pose la tâche de retrouver le sens de la nature et de la vie, de repenser l'enracinement au-delà de ce qu'avait esquissé Simone Weil, de refaire de la nature une sphère de résonance.