Indifférence, mépris, jalousie, haine prennent tour à tour le masque de l'amour. Différentes relations vont se déployer dans ces lignes, en implosion et en explosion, éprouvant une fois de plus le lecteur.
Relations entre amants, vies de couple en construction, en décomposition ou en pleine illusion. Relations entre mari et femme, où la tension est habillement dosée et distillée, offrant un poison implacable. Relation parent-enfant offrant comme solution la fuite - y compris dans la drogue -, ou bien de devenir otage de l'amour que l'on porte à ses géniteurs, faisant de nous un
yoyo où chaque va-et-vient est comme un rasoir en plein coeur. Relation frère-soeur où l'égoïsme sert de meilleur défense, et où on pratique l'amour vache comme solution de survie.
Relation mère-fille, où le suicide de la première, traumatisant, va déteindre sur une vie entière et devenir comme une malédiction. On craint qu'elle puisse se transmettre comme on transmet un gène. L'amour est ici une gueule bouffie par l'habitude, la fatigue ou la maladie.
David Van, avec une sensibilité à fleur de peau, nous plonge dans l'enfer de la famille ; un enfer situé en Alaska : froideur métallique de la glace, paysages de plomb où l'hiver est de plus en plus conquérant, donnant l'impression qu'il va tout balayer sur son passage.
Sur les rives d’un lac glaciaire au cœur de l'Alaska
Indifférence, mépris, jalousie, haine prennent tour à tour le masque de l'amour. Différentes relations vont se déployer dans ces lignes, en implosion et en explosion, éprouvant une fois de plus le lecteur.
Relations entre amants, vies de couple en construction, en décomposition ou en pleine illusion. Relations entre mari et femme, où la tension est habillement dosée et distillée, offrant un poison implacable. Relation parent-enfant offrant comme solution la fuite - y compris dans la drogue -, ou bien de devenir otage de l'amour que l'on porte à ses géniteurs, faisant de nous un yoyo où chaque va-et-vient est comme un rasoir en plein coeur. Relation frère-soeur où l'égoïsme sert de meilleur défense, et où on pratique l'amour vache comme solution de survie.
Relation mère-fille, où le suicide de la première, traumatisant, va déteindre sur une vie entière et devenir comme une malédiction. On craint qu'elle puisse se transmettre comme on transmet un gène. L'amour est ici une gueule bouffie par l'habitude, la fatigue ou la maladie.
David Van, avec une sensibilité à fleur de peau, nous plonge dans l'enfer de la famille ; un enfer situé en Alaska : froideur métallique de la glace, paysages de plomb où l'hiver est de plus en plus conquérant, donnant l'impression qu'il va tout balayer sur son passage.