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  • FormatMP3
  • ISBN978-2-07-277738-7
  • EAN9782072777387
  • Date de parution04/04/2018
  • Protection num.pas de protection
  • Taille644 Mo
  • Infos supplémentairesaudio
  • ÉditeurGallimard Audio

Résumé

Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave. Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois.
Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers. Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?
Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave. Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois.
Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers. Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
Jamais titre n’a été aussi bien porté !
Théo sort de prison. Il y a dix neuf mois il s’est battu avec son frère le laissant gravement handicapé. Il part s’isoler à la campagne et peu à peu la rancœur qui l’anime s’apaise. Durant une de ses randonnées quotidiennes il croise le chemin de deux vieillards. Ceux-ci vont séquestrer Théo et faire de lui leur esclave…Il va alors lutter de toutes ses forces pour survivre physiquement et psychologiquement à ses bourreaux. Imaginer que ce roman aurait pu être un fait divers le rend encore plus terrifiant. On souffre avec Théo mais Sandrine Collette avec sa plume délicate utilise l’art de la suggestion pour éviter tout aspect scabreux. Astucieux et génial !
Théo sort de prison. Il y a dix neuf mois il s’est battu avec son frère le laissant gravement handicapé. Il part s’isoler à la campagne et peu à peu la rancœur qui l’anime s’apaise. Durant une de ses randonnées quotidiennes il croise le chemin de deux vieillards. Ceux-ci vont séquestrer Théo et faire de lui leur esclave…Il va alors lutter de toutes ses forces pour survivre physiquement et psychologiquement à ses bourreaux. Imaginer que ce roman aurait pu être un fait divers le rend encore plus terrifiant. On souffre avec Théo mais Sandrine Collette avec sa plume délicate utilise l’art de la suggestion pour éviter tout aspect scabreux. Astucieux et génial !
Mathilde Le GuayDecitre Part-Dieu
5/5
"y a toujours plus profond que le fond.." (Mano Solo)
"révoltant", en mots clés, j'ai mis. Se révolter contre quoi? La folie cachée jusque dans les coeurs des p'tits vieux, la haine fratricide, l'absence totale de concession aux bons sentiments et au bon vieux sens commun à laquelle nous condamne Mme collette? Révulsant, serait plus approprié mais il n'est pas prévu par la liste. Vertigineusement cruel? Pas de mot-clés, d'ailleurs pas de clé à ses "Noeuds d'Aciers"-là pour la lecture duquel des nerfs d'aciers sont requis. Car c'est aux confins de la déshumanisation que nous amène son auteur, au motif d'accompagner un dûr, Théo, qui n'a jamais eu de chance dans la vie au point d'avoir malencontreusement fait de son frère un légume pour cause d'adultère, à sa sortie de 19 mois de prison pour cet acte, sur des sentiers de promenade où il pensait naivement abandonner son désastreux passé avant d'aller retrouver sa belle... A t-il mérité ça? Mais au fait, "ça", comment est-ce possible? Et c'est plausible comme une histoire vraie : en un lieu ignoré de la civilisation tout ce qu'il pourrait y avoir de plus familier (un trou paumé en moyenne montagne) se rejoue le drame nu et éternel, de la domination absolue de l'homme sur l'homme...Dans ce véritable chef d'oeuvre, la tension suit la courbe exponentielle de la déchéance de Théo ; les pensées et émotions du lecteur font de même en intensité. Un conte philosophique noirissime, implacable.
"révoltant", en mots clés, j'ai mis. Se révolter contre quoi? La folie cachée jusque dans les coeurs des p'tits vieux, la haine fratricide, l'absence totale de concession aux bons sentiments et au bon vieux sens commun à laquelle nous condamne Mme collette? Révulsant, serait plus approprié mais il n'est pas prévu par la liste. Vertigineusement cruel? Pas de mot-clés, d'ailleurs pas de clé à ses "Noeuds d'Aciers"-là pour la lecture duquel des nerfs d'aciers sont requis. Car c'est aux confins de la déshumanisation que nous amène son auteur, au motif d'accompagner un dûr, Théo, qui n'a jamais eu de chance dans la vie au point d'avoir malencontreusement fait de son frère un légume pour cause d'adultère, à sa sortie de 19 mois de prison pour cet acte, sur des sentiers de promenade où il pensait naivement abandonner son désastreux passé avant d'aller retrouver sa belle... A t-il mérité ça? Mais au fait, "ça", comment est-ce possible? Et c'est plausible comme une histoire vraie : en un lieu ignoré de la civilisation tout ce qu'il pourrait y avoir de plus familier (un trou paumé en moyenne montagne) se rejoue le drame nu et éternel, de la domination absolue de l'homme sur l'homme...Dans ce véritable chef d'oeuvre, la tension suit la courbe exponentielle de la déchéance de Théo ; les pensées et émotions du lecteur font de même en intensité. Un conte philosophique noirissime, implacable.
  • Révoltant

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.9/5
sur 27 notes dont 18 avis lecteurs
Sur la frontière entre l'humanité et l'animalité
Après dix-neuf mois passés dans le huis clos violent de la prison, Théo Béranger n’a qu’une envie : s’enterrer au calme, loin de l’enfer des autres, avant, peut-être, d’aller rejoindre sa femme, un jour. Réfugié dans un coin perdu de moyenne montagne couverte d’une forêt sombre, il tombe entre les griffes d’une femme et de ses deux frères déments, qui le séquestrent et le réduisent en esclavage dans des conditions inhumaines. Parviendra-t-il à leur échapper, ou rejoindra-t-il ses prédécesseurs, quelques pieds sous terre ? Premier roman de Sandrine Collette, et déjà, se dessinent les obsessions, qui, encore et toujours, ne cessent de parcourir son œuvre, à la croisée de l’humanité et de la bestialité. Si le début fourvoie notre peur en la focalisant contre Théo, homme violent, repris de justice et introduit dans le récit par les mots peu flatteurs d’un médecin psychiatre abasourdi, l’on réalise bientôt que, derrière le salaud décrit par les experts, se cache un homme placé sans recours sur les raccourcis tracés vers le malheur par la maltraitance et la brutalité subies dès l’enfance. Aussi terribles que ses actes puissent paraître, c’est le contraste avec encore plus noir que lui qui va finalement nous le rendre à nouveau humain - lui que ses bourreaux ont réduit à la condition d’animal domestique -, tout en posant de plus belle la troublante question de ce qui transforme un jour un homme en bête sauvage, sans plus de raison, de coeur, ni de sens moral. Car, monstres déséquilibrés et dangereux, les frères et la sœur Mignon nous emmènent en même temps que Théo au plus inimaginable de l’abjection et de la sauvagerie, dans ce qui ne peut plus paraître que le tréfonds d’une folie pure où s’est dissoute toute trace d’humanité. Chacun pourra librement imaginer la somme d’horreur vécue qu’il aura fallu emmagasiner chez ces êtres pour les réduire à une telle démence, à moins qu’elle ne soit simplement le fruit d’une consanguinité suggérée par les mœurs du trio, sur ce versant enclavé et arriéré de montagne. Comme elle sait si bien le faire, Sandrine Collette happe son lecteur dans un récit addictif, aussi noir qu’efficace, qui pourrait écoeurer de tant d’abjecte violence s’il ne posait déjà avec acuité la question, qui hante l’auteur de livre en livre, de « la frontière entre l’humanité et l’animalité ».
Après dix-neuf mois passés dans le huis clos violent de la prison, Théo Béranger n’a qu’une envie : s’enterrer au calme, loin de l’enfer des autres, avant, peut-être, d’aller rejoindre sa femme, un jour. Réfugié dans un coin perdu de moyenne montagne couverte d’une forêt sombre, il tombe entre les griffes d’une femme et de ses deux frères déments, qui le séquestrent et le réduisent en esclavage dans des conditions inhumaines. Parviendra-t-il à leur échapper, ou rejoindra-t-il ses prédécesseurs, quelques pieds sous terre ? Premier roman de Sandrine Collette, et déjà, se dessinent les obsessions, qui, encore et toujours, ne cessent de parcourir son œuvre, à la croisée de l’humanité et de la bestialité. Si le début fourvoie notre peur en la focalisant contre Théo, homme violent, repris de justice et introduit dans le récit par les mots peu flatteurs d’un médecin psychiatre abasourdi, l’on réalise bientôt que, derrière le salaud décrit par les experts, se cache un homme placé sans recours sur les raccourcis tracés vers le malheur par la maltraitance et la brutalité subies dès l’enfance. Aussi terribles que ses actes puissent paraître, c’est le contraste avec encore plus noir que lui qui va finalement nous le rendre à nouveau humain - lui que ses bourreaux ont réduit à la condition d’animal domestique -, tout en posant de plus belle la troublante question de ce qui transforme un jour un homme en bête sauvage, sans plus de raison, de coeur, ni de sens moral. Car, monstres déséquilibrés et dangereux, les frères et la sœur Mignon nous emmènent en même temps que Théo au plus inimaginable de l’abjection et de la sauvagerie, dans ce qui ne peut plus paraître que le tréfonds d’une folie pure où s’est dissoute toute trace d’humanité. Chacun pourra librement imaginer la somme d’horreur vécue qu’il aura fallu emmagasiner chez ces êtres pour les réduire à une telle démence, à moins qu’elle ne soit simplement le fruit d’une consanguinité suggérée par les mœurs du trio, sur ce versant enclavé et arriéré de montagne. Comme elle sait si bien le faire, Sandrine Collette happe son lecteur dans un récit addictif, aussi noir qu’efficace, qui pourrait écoeurer de tant d’abjecte violence s’il ne posait déjà avec acuité la question, qui hante l’auteur de livre en livre, de « la frontière entre l’humanité et l’animalité ».
Un "captivity thriller" à couper le souffle !
"Des nœuds d'acier" de Sandrine Collette, ouvre le bal à une auteure qui fait une entrée fracassante dans l'univers du polar français, du thriller angoissant et du policier haletant ! Son écriture crue et intransigeante, est immédiatement reconnaissable ; en harmonie totale avec tous ses autres chefs-d'oeuvres qu'il faut absolument lire ! En partant d'une histoire vraie, Sandrine Collette captive le lecteur dès le début, le tient à la gorge jusqu'à l'étouffement et ne le lâchera pas jusqu'à la dernière ligne ! Les émotions sont alors décuplées dans cette cave humide, les douleurs sont physiquement ressenties, autant que la fatigue, la faim, la soif, la coupure des chaînes, les pensées de Théo vers Lil, ou bien vers son frère ; mais aussi cette pseudo-amitié qui naît avec Luc et lui permet de tenir le coup. Comme toujours, Sandrine Collette fait aussi preuve de cruauté, avec tous ces faux-espoirs qui ravivent le prisonnier, autant que le lecteur qui espère de tout cœur qu'il pourra échapper aux vieux et s'enfuir ! Une immersion totale dans la tête et le calvaire de Théo, mais aussi dans la manière de fonctionner de ces deux frères déments et violents. Une fois encore, Sandrine Collette analyse la nature humaine, le pire dont elle est capable lorsque la folie se mêle à la maltraitance, mais aussi à la capacité pour le captif, d'endurer les sévices et de survivre. Un "captivity thriller" absolument addictif, forcément très violent et dont les souffrances exacerbées peuvent choquer les lecteurs les plus sensibles, mais le tour de force est à saluer et le témoignage, à dévorer absolument ! Une vraie leçon de vie qui ne laissera aucun lecteur indifférent ; oscillant sans cesse entre souffrance, cruauté, souvenirs mélancoliques, rébellion et courage - au-delà des limites du supportable et dont la fin arrachera forcément des larmes sincères au lecteur... Un monument du genre !
"Des nœuds d'acier" de Sandrine Collette, ouvre le bal à une auteure qui fait une entrée fracassante dans l'univers du polar français, du thriller angoissant et du policier haletant ! Son écriture crue et intransigeante, est immédiatement reconnaissable ; en harmonie totale avec tous ses autres chefs-d'oeuvres qu'il faut absolument lire ! En partant d'une histoire vraie, Sandrine Collette captive le lecteur dès le début, le tient à la gorge jusqu'à l'étouffement et ne le lâchera pas jusqu'à la dernière ligne ! Les émotions sont alors décuplées dans cette cave humide, les douleurs sont physiquement ressenties, autant que la fatigue, la faim, la soif, la coupure des chaînes, les pensées de Théo vers Lil, ou bien vers son frère ; mais aussi cette pseudo-amitié qui naît avec Luc et lui permet de tenir le coup. Comme toujours, Sandrine Collette fait aussi preuve de cruauté, avec tous ces faux-espoirs qui ravivent le prisonnier, autant que le lecteur qui espère de tout cœur qu'il pourra échapper aux vieux et s'enfuir ! Une immersion totale dans la tête et le calvaire de Théo, mais aussi dans la manière de fonctionner de ces deux frères déments et violents. Une fois encore, Sandrine Collette analyse la nature humaine, le pire dont elle est capable lorsque la folie se mêle à la maltraitance, mais aussi à la capacité pour le captif, d'endurer les sévices et de survivre. Un "captivity thriller" absolument addictif, forcément très violent et dont les souffrances exacerbées peuvent choquer les lecteurs les plus sensibles, mais le tour de force est à saluer et le témoignage, à dévorer absolument ! Une vraie leçon de vie qui ne laissera aucun lecteur indifférent ; oscillant sans cesse entre souffrance, cruauté, souvenirs mélancoliques, rébellion et courage - au-delà des limites du supportable et dont la fin arrachera forcément des larmes sincères au lecteur... Un monument du genre !
  • peur
  • prison
  • forêt
  • séquestration
  • Isolement
  • Thriller psychologique
  • angoisse
  • fous
  • captivité
  • histoire vraie
  • démence
  • polar français
  • Sandrine Collette
  • souffrances
  • maltraitance physique
  • 2012
  • Grand Prix Littérature Policière 2013
  • violences physiques
  • violences psychologiques
  • captif
  • vieillards
Et si l'enfer se cachait en pleine campagne française ?
Théo, quarante ans, fraîchement sorti de prison, se retrouve pris au piège. À la merci d'un trio de vieux paysans qui le séquestrent dans leur cave, il voit sa condition réduite à celle d'un misérable chien. C'est même comme ça qu'ils l'appellent... Le chien. Au fin don de la forêt personne ne l'entendra aboyer. Un roman hors du commun qui vous plongera dans les abysses de la noirceur humaine. Un récit court et poignant qui vous marquera au fer rouge.
Théo, quarante ans, fraîchement sorti de prison, se retrouve pris au piège. À la merci d'un trio de vieux paysans qui le séquestrent dans leur cave, il voit sa condition réduite à celle d'un misérable chien. C'est même comme ça qu'ils l'appellent... Le chien. Au fin don de la forêt personne ne l'entendra aboyer. Un roman hors du commun qui vous plongera dans les abysses de la noirceur humaine. Un récit court et poignant qui vous marquera au fer rouge.
  • suspens
  • esclavage
  • thriller
  • huit clos
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