Déconstruire la Belgique ?. Pour lui assurer un avenir ?
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- Nombre de pages138
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-8031-0425-3
- EAN9782803104253
- Date de parution20/10/2014
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurAcadémie royale de Belgique
Résumé
La Belgique existe depuis 1830, mais a-t-elle jamais donné corps à une Nation ? Au XIXe siècle peut-être, et encore était-ce essentiellement le fait d'une bourgeoisie, d'une classe moyenne, dont la langue maternelle, ou de culture, ou d'ascension sociale était le français.
En revanche, comment sous-estimer ou ignorer l'existence précoce d'une sensibilité flamande à fleur de peau, le Mouvement flamand ? Des questions se posent également à propos des francophones.
Sont-ils vraiment les derniers « Belges » ? Y a-t-il des liens privilégiés entre Bruxelles et la Wallonie ? Quel est leur avenir ? Encore convient-il pour jauger correctement les enjeux de ne pas confondre nationalisme et patriotisme. La fabrication d'une identité belge a échoué. Que d'efforts pourtant ! À cet égard, la contribution des historiens et des hommes de lettres a été considérable. Ils volèrent souvent au secours de l'« entreprise Belgique » avec talent mais sans guère de succès.
La question se pose évidemment du pourquoi... Déconstruire la Belgique pour mieux la comprendre et peut-être lui réserver un avenir, telle est l'ambition de ce petit livre. Mais une seule conclusion ne souffre aucun doute : le nationalisme flamand, lui, existe. Historien, chercheur et docteur en Philosophie et Lettres, Hervé Hasquin enseigna à l'Université libre de Bruxelles à partir de 1970 ; il en fut le recteur (1982-1986) et le président du Conseil d'administration (1986-1995).
Parallèlement, il mena une carrière politique (sénateur, député, ministre) entre 1987 et 2007. Il a présidé l'Institut d'étude des religions et de la laïcité de l'ULB pendant de très nombreuses années, ainsi que le Centre de l'égalité des chances et la lutte contre le racisme (2008-2011). Il a été élu Secrétaire perpétuel de l'Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique à la fin de l'année 2007.
Sont-ils vraiment les derniers « Belges » ? Y a-t-il des liens privilégiés entre Bruxelles et la Wallonie ? Quel est leur avenir ? Encore convient-il pour jauger correctement les enjeux de ne pas confondre nationalisme et patriotisme. La fabrication d'une identité belge a échoué. Que d'efforts pourtant ! À cet égard, la contribution des historiens et des hommes de lettres a été considérable. Ils volèrent souvent au secours de l'« entreprise Belgique » avec talent mais sans guère de succès.
La question se pose évidemment du pourquoi... Déconstruire la Belgique pour mieux la comprendre et peut-être lui réserver un avenir, telle est l'ambition de ce petit livre. Mais une seule conclusion ne souffre aucun doute : le nationalisme flamand, lui, existe. Historien, chercheur et docteur en Philosophie et Lettres, Hervé Hasquin enseigna à l'Université libre de Bruxelles à partir de 1970 ; il en fut le recteur (1982-1986) et le président du Conseil d'administration (1986-1995).
Parallèlement, il mena une carrière politique (sénateur, député, ministre) entre 1987 et 2007. Il a présidé l'Institut d'étude des religions et de la laïcité de l'ULB pendant de très nombreuses années, ainsi que le Centre de l'égalité des chances et la lutte contre le racisme (2008-2011). Il a été élu Secrétaire perpétuel de l'Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique à la fin de l'année 2007.
La Belgique existe depuis 1830, mais a-t-elle jamais donné corps à une Nation ? Au XIXe siècle peut-être, et encore était-ce essentiellement le fait d'une bourgeoisie, d'une classe moyenne, dont la langue maternelle, ou de culture, ou d'ascension sociale était le français.
En revanche, comment sous-estimer ou ignorer l'existence précoce d'une sensibilité flamande à fleur de peau, le Mouvement flamand ? Des questions se posent également à propos des francophones.
Sont-ils vraiment les derniers « Belges » ? Y a-t-il des liens privilégiés entre Bruxelles et la Wallonie ? Quel est leur avenir ? Encore convient-il pour jauger correctement les enjeux de ne pas confondre nationalisme et patriotisme. La fabrication d'une identité belge a échoué. Que d'efforts pourtant ! À cet égard, la contribution des historiens et des hommes de lettres a été considérable. Ils volèrent souvent au secours de l'« entreprise Belgique » avec talent mais sans guère de succès.
La question se pose évidemment du pourquoi... Déconstruire la Belgique pour mieux la comprendre et peut-être lui réserver un avenir, telle est l'ambition de ce petit livre. Mais une seule conclusion ne souffre aucun doute : le nationalisme flamand, lui, existe. Historien, chercheur et docteur en Philosophie et Lettres, Hervé Hasquin enseigna à l'Université libre de Bruxelles à partir de 1970 ; il en fut le recteur (1982-1986) et le président du Conseil d'administration (1986-1995).
Parallèlement, il mena une carrière politique (sénateur, député, ministre) entre 1987 et 2007. Il a présidé l'Institut d'étude des religions et de la laïcité de l'ULB pendant de très nombreuses années, ainsi que le Centre de l'égalité des chances et la lutte contre le racisme (2008-2011). Il a été élu Secrétaire perpétuel de l'Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique à la fin de l'année 2007.
Sont-ils vraiment les derniers « Belges » ? Y a-t-il des liens privilégiés entre Bruxelles et la Wallonie ? Quel est leur avenir ? Encore convient-il pour jauger correctement les enjeux de ne pas confondre nationalisme et patriotisme. La fabrication d'une identité belge a échoué. Que d'efforts pourtant ! À cet égard, la contribution des historiens et des hommes de lettres a été considérable. Ils volèrent souvent au secours de l'« entreprise Belgique » avec talent mais sans guère de succès.
La question se pose évidemment du pourquoi... Déconstruire la Belgique pour mieux la comprendre et peut-être lui réserver un avenir, telle est l'ambition de ce petit livre. Mais une seule conclusion ne souffre aucun doute : le nationalisme flamand, lui, existe. Historien, chercheur et docteur en Philosophie et Lettres, Hervé Hasquin enseigna à l'Université libre de Bruxelles à partir de 1970 ; il en fut le recteur (1982-1986) et le président du Conseil d'administration (1986-1995).
Parallèlement, il mena une carrière politique (sénateur, député, ministre) entre 1987 et 2007. Il a présidé l'Institut d'étude des religions et de la laïcité de l'ULB pendant de très nombreuses années, ainsi que le Centre de l'égalité des chances et la lutte contre le racisme (2008-2011). Il a été élu Secrétaire perpétuel de l'Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique à la fin de l'année 2007.