De la pudeur à l'amour. Philosophie et théologie de la pudeur
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- FormatePub
- ISBN978-2-204-11162-1
- EAN9782204111621
- Date de parution17/06/2016
- Protection num.Adobe DRM
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions du Cerf
Résumé
Ulysse, devant la belle Nausicaa, a une réaction pour le moins étrange : « il cassa dans la dense verdure un rameau bien feuillu qu'il donnerait pour voile à sa virilité... » À travers cette réaction apparemment anodine, Homère lève un voile sur le mystère de la sexualité humaine. Mystère de la personne qui refuse d'être considérée comme un objet, d'être « captée » par l'autre, d'être violée dans son intimité et qui donc se protège.
La pudeur ne trahit-elle pas une dimension métaphysique de la personne ? C'est la thèse que défend ici avec brio Inès Pélissié du Rausas. Poursuivant l'observation de la pudeur et de la sexualité chez les peuplades primitives et les tribus océaniques, comme dans la Bible, la littérature classique et l'histoire de la philosophie, l'auteur dégage une constante, une certitude quasi-scientifique : l'homme a un besoin infini d'être respecté, d'aimer et d'être aimé comme une personne.
C'est donc à une théologie de la pudeur que nous invite cet appel du coeur humain, en la révélant comme un écho lointain des origines où le corps était, en toute simplicité et vérité, le témoin fidèle de l'amour authentique entre les personnes. Qui le comblera dans son désir ? La question reste ouverte.
La pudeur ne trahit-elle pas une dimension métaphysique de la personne ? C'est la thèse que défend ici avec brio Inès Pélissié du Rausas. Poursuivant l'observation de la pudeur et de la sexualité chez les peuplades primitives et les tribus océaniques, comme dans la Bible, la littérature classique et l'histoire de la philosophie, l'auteur dégage une constante, une certitude quasi-scientifique : l'homme a un besoin infini d'être respecté, d'aimer et d'être aimé comme une personne.
C'est donc à une théologie de la pudeur que nous invite cet appel du coeur humain, en la révélant comme un écho lointain des origines où le corps était, en toute simplicité et vérité, le témoin fidèle de l'amour authentique entre les personnes. Qui le comblera dans son désir ? La question reste ouverte.
Ulysse, devant la belle Nausicaa, a une réaction pour le moins étrange : « il cassa dans la dense verdure un rameau bien feuillu qu'il donnerait pour voile à sa virilité... » À travers cette réaction apparemment anodine, Homère lève un voile sur le mystère de la sexualité humaine. Mystère de la personne qui refuse d'être considérée comme un objet, d'être « captée » par l'autre, d'être violée dans son intimité et qui donc se protège.
La pudeur ne trahit-elle pas une dimension métaphysique de la personne ? C'est la thèse que défend ici avec brio Inès Pélissié du Rausas. Poursuivant l'observation de la pudeur et de la sexualité chez les peuplades primitives et les tribus océaniques, comme dans la Bible, la littérature classique et l'histoire de la philosophie, l'auteur dégage une constante, une certitude quasi-scientifique : l'homme a un besoin infini d'être respecté, d'aimer et d'être aimé comme une personne.
C'est donc à une théologie de la pudeur que nous invite cet appel du coeur humain, en la révélant comme un écho lointain des origines où le corps était, en toute simplicité et vérité, le témoin fidèle de l'amour authentique entre les personnes. Qui le comblera dans son désir ? La question reste ouverte.
La pudeur ne trahit-elle pas une dimension métaphysique de la personne ? C'est la thèse que défend ici avec brio Inès Pélissié du Rausas. Poursuivant l'observation de la pudeur et de la sexualité chez les peuplades primitives et les tribus océaniques, comme dans la Bible, la littérature classique et l'histoire de la philosophie, l'auteur dégage une constante, une certitude quasi-scientifique : l'homme a un besoin infini d'être respecté, d'aimer et d'être aimé comme une personne.
C'est donc à une théologie de la pudeur que nous invite cet appel du coeur humain, en la révélant comme un écho lointain des origines où le corps était, en toute simplicité et vérité, le témoin fidèle de l'amour authentique entre les personnes. Qui le comblera dans son désir ? La question reste ouverte.