De la démocratisation de la société à celle des formes de connaissance. Vers une ouverture de la forme scolaire aux savoirs socioculturels ?
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- Nombre de pages426
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-19527-1
- EAN9782296195271
- Date de parution01/04/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille16 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierPierre Dasen
Résumé
En devenant hégémonique, uniforme et exclusif, le modèle occidental de la forme scolaire contribue à maintenir une partie des élèves en échec, notamment ceux qui en sont socialement et culturellement éloignés. L'auteur nous invite à questionner la pertinence des grands renfermements séparant le temps des études de celui de la production, l'école de la société, les discours savants des pratiques sociales.
A partir de recherches de terrain en Amérique latine, en Afrique subsaharienne, en Océanie et dans l'Océan indien et d'études comparatives dans les Amériques et en Europe sur les différentes formes de rapport aux savoirs, qu'ils soient sociaux, culturels ou scolaires, il dévoile comment ils se sont confrontés ou ignorés et quelles dialectiques ont pu en résulter selon les situations et les contextes sociohistoriques.
Olivier Meunier décrit et compare plusieurs modèles d'éducation qui valorisent la diversité des formes de connaissance, qu'il s'agisse d'éducation bilingue interculturelle à destination des populations indiennes de l'Amazonie, de l'orientation multiculturelle en Amérique du Nord ou des approches interculturelles dans le cadre de la construction européenne. Son hypothèse est que la démocratisation de l'école passe par celle des savoirs et notamment la reconnaissance de leur diversité historiquement et culturellement constituée.
Il propose à la fois de déconstruire la hiérarchisation des savoirs scolaires pour démocratiser les formes de connaissance et de les enrichir par des savoirs socioculturels afin de leur donner plus de sens, ce qui peut être également un moyen pour augmenter la désirabilité de la forme scolaire chez les élèves qui en sont les plus éloignés.
A partir de recherches de terrain en Amérique latine, en Afrique subsaharienne, en Océanie et dans l'Océan indien et d'études comparatives dans les Amériques et en Europe sur les différentes formes de rapport aux savoirs, qu'ils soient sociaux, culturels ou scolaires, il dévoile comment ils se sont confrontés ou ignorés et quelles dialectiques ont pu en résulter selon les situations et les contextes sociohistoriques.
Olivier Meunier décrit et compare plusieurs modèles d'éducation qui valorisent la diversité des formes de connaissance, qu'il s'agisse d'éducation bilingue interculturelle à destination des populations indiennes de l'Amazonie, de l'orientation multiculturelle en Amérique du Nord ou des approches interculturelles dans le cadre de la construction européenne. Son hypothèse est que la démocratisation de l'école passe par celle des savoirs et notamment la reconnaissance de leur diversité historiquement et culturellement constituée.
Il propose à la fois de déconstruire la hiérarchisation des savoirs scolaires pour démocratiser les formes de connaissance et de les enrichir par des savoirs socioculturels afin de leur donner plus de sens, ce qui peut être également un moyen pour augmenter la désirabilité de la forme scolaire chez les élèves qui en sont les plus éloignés.
En devenant hégémonique, uniforme et exclusif, le modèle occidental de la forme scolaire contribue à maintenir une partie des élèves en échec, notamment ceux qui en sont socialement et culturellement éloignés. L'auteur nous invite à questionner la pertinence des grands renfermements séparant le temps des études de celui de la production, l'école de la société, les discours savants des pratiques sociales.
A partir de recherches de terrain en Amérique latine, en Afrique subsaharienne, en Océanie et dans l'Océan indien et d'études comparatives dans les Amériques et en Europe sur les différentes formes de rapport aux savoirs, qu'ils soient sociaux, culturels ou scolaires, il dévoile comment ils se sont confrontés ou ignorés et quelles dialectiques ont pu en résulter selon les situations et les contextes sociohistoriques.
Olivier Meunier décrit et compare plusieurs modèles d'éducation qui valorisent la diversité des formes de connaissance, qu'il s'agisse d'éducation bilingue interculturelle à destination des populations indiennes de l'Amazonie, de l'orientation multiculturelle en Amérique du Nord ou des approches interculturelles dans le cadre de la construction européenne. Son hypothèse est que la démocratisation de l'école passe par celle des savoirs et notamment la reconnaissance de leur diversité historiquement et culturellement constituée.
Il propose à la fois de déconstruire la hiérarchisation des savoirs scolaires pour démocratiser les formes de connaissance et de les enrichir par des savoirs socioculturels afin de leur donner plus de sens, ce qui peut être également un moyen pour augmenter la désirabilité de la forme scolaire chez les élèves qui en sont les plus éloignés.
A partir de recherches de terrain en Amérique latine, en Afrique subsaharienne, en Océanie et dans l'Océan indien et d'études comparatives dans les Amériques et en Europe sur les différentes formes de rapport aux savoirs, qu'ils soient sociaux, culturels ou scolaires, il dévoile comment ils se sont confrontés ou ignorés et quelles dialectiques ont pu en résulter selon les situations et les contextes sociohistoriques.
Olivier Meunier décrit et compare plusieurs modèles d'éducation qui valorisent la diversité des formes de connaissance, qu'il s'agisse d'éducation bilingue interculturelle à destination des populations indiennes de l'Amazonie, de l'orientation multiculturelle en Amérique du Nord ou des approches interculturelles dans le cadre de la construction européenne. Son hypothèse est que la démocratisation de l'école passe par celle des savoirs et notamment la reconnaissance de leur diversité historiquement et culturellement constituée.
Il propose à la fois de déconstruire la hiérarchisation des savoirs scolaires pour démocratiser les formes de connaissance et de les enrichir par des savoirs socioculturels afin de leur donner plus de sens, ce qui peut être également un moyen pour augmenter la désirabilité de la forme scolaire chez les élèves qui en sont les plus éloignés.