DE LA CLINIQUE A L'ETHIQUE. Réflexions sur la pratique du soin
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- Nombre de pages240
- FormatPDF
- ISBN2-296-38459-5
- EAN9782296384590
- Date de parution01/04/1999
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille120 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le discours éthique est à la mode, nourri de craintes et de plaintes, de précautions vertueuses, de pétitions de principes. Dans le champ médical, il apparaît comme réservé aux questions touchant à la maîtrise de la vie, aux cas difficiles excédant les régulations coutumières, aux soignants spécialistes de soins particuliers (procréation, greffes... ).
Peut-on parler d'une éthique de la pratique quotidienne d'un soin à donner, d'un geste à faire, d'un mot à dire, au chevet d'un malade, dans une consultation pour un trouble banal, un acte de soin infirmier habituel, un exercice rééducatif ordinaire, d'une éthique de la clinique partageable par tous les soignants ?
Dans le champ clinique, le discours psychologique est proposé pour comprendre ce qui advient, venu de l'autre ou de soi, dans la relation singulière initiée par une souffrance et une demande de soin.
Est-il un appui suffisant ? L'auteur ne prétend donner ni réponse, ni modèle. A partir de l'analyse des cadres convenus, thérapeutique, déontologique, juridique, éthique, il invite au questionnement des discours, des théories et des pratiques, à une réflexion sur le " bon pour la vie " et le " bien pour l'homme ". Il appelle les intervenants dans le champ du soin, soignants, mais aussi gestionnaires, législateurs, juristes, à penser ensemble une visée éthique du soin de l'humain, à l'intégrer dans un " vivre ensemble " fondé sur la possibilité d'une conscience interrogative, réflexive et critique.
Est-il un appui suffisant ? L'auteur ne prétend donner ni réponse, ni modèle. A partir de l'analyse des cadres convenus, thérapeutique, déontologique, juridique, éthique, il invite au questionnement des discours, des théories et des pratiques, à une réflexion sur le " bon pour la vie " et le " bien pour l'homme ". Il appelle les intervenants dans le champ du soin, soignants, mais aussi gestionnaires, législateurs, juristes, à penser ensemble une visée éthique du soin de l'humain, à l'intégrer dans un " vivre ensemble " fondé sur la possibilité d'une conscience interrogative, réflexive et critique.
Le discours éthique est à la mode, nourri de craintes et de plaintes, de précautions vertueuses, de pétitions de principes. Dans le champ médical, il apparaît comme réservé aux questions touchant à la maîtrise de la vie, aux cas difficiles excédant les régulations coutumières, aux soignants spécialistes de soins particuliers (procréation, greffes... ).
Peut-on parler d'une éthique de la pratique quotidienne d'un soin à donner, d'un geste à faire, d'un mot à dire, au chevet d'un malade, dans une consultation pour un trouble banal, un acte de soin infirmier habituel, un exercice rééducatif ordinaire, d'une éthique de la clinique partageable par tous les soignants ?
Dans le champ clinique, le discours psychologique est proposé pour comprendre ce qui advient, venu de l'autre ou de soi, dans la relation singulière initiée par une souffrance et une demande de soin.
Est-il un appui suffisant ? L'auteur ne prétend donner ni réponse, ni modèle. A partir de l'analyse des cadres convenus, thérapeutique, déontologique, juridique, éthique, il invite au questionnement des discours, des théories et des pratiques, à une réflexion sur le " bon pour la vie " et le " bien pour l'homme ". Il appelle les intervenants dans le champ du soin, soignants, mais aussi gestionnaires, législateurs, juristes, à penser ensemble une visée éthique du soin de l'humain, à l'intégrer dans un " vivre ensemble " fondé sur la possibilité d'une conscience interrogative, réflexive et critique.
Est-il un appui suffisant ? L'auteur ne prétend donner ni réponse, ni modèle. A partir de l'analyse des cadres convenus, thérapeutique, déontologique, juridique, éthique, il invite au questionnement des discours, des théories et des pratiques, à une réflexion sur le " bon pour la vie " et le " bien pour l'homme ". Il appelle les intervenants dans le champ du soin, soignants, mais aussi gestionnaires, législateurs, juristes, à penser ensemble une visée éthique du soin de l'humain, à l'intégrer dans un " vivre ensemble " fondé sur la possibilité d'une conscience interrogative, réflexive et critique.