Josef Schovanec est un écrivain, un philosophe mais aussi un militant pour la dignité des personnes avec autisme. Né en 1981 dans le Val-de-Marne, Il est diagnostiqué autiste seulement à l’âge de 22 ans. Il est également docteur et chercheur en philosophie et sciences sociales. Parmi ses écrits, vous pouvez vous procurer : De l'amour en Autistan, Je suis à l'est !, Voyages en Autistan. Chroniques des "Carnets du monde", et Eloge du voyage à l'usage des autistes et de ceux qui ne le sont pas assez.
De l'amour en Autistan
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- Nombre de pages163
- FormatePub
- ISBN978-2-259-24885-3
- EAN9782259248853
- Date de parution09/11/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurPlon
Résumé
Josef Schovanec nous entraîne dans un nouveau voyage, peut-être le plus surprenant et déroutant qui soit pour une personne autiste : l'amour !
Sonia était l'une de ces petites filles promises à la bulle. Sa bulle, ou plutôt son bureau au sein de la plus prestigieuse des universités américaines, est devenu un univers, meublé de chiffres, de graphes et savants calculs. De l'autre côté de la mer, Gabriel attend son repas, debout dans la file d'attente de la soupe populaire, sac de couchage sur le dos en prévision de la nuit glaciale qu'il passera sur un trottoir.
Il réfléchit lui aussi aux formules entamées alors qu'il enseignait à Polytechnique. Et surtout aux échanges qu'il a eus avec Sonia. Les démonstrations de Sonia étaient belles. Et plus il y réfléchit, moins il trouve le repos dans l'hôtel mille étoiles qui l'héberge. François-Régis, lui, n'est pas affligé de ces maux. Ou plutôt, il ne l'est plus. Il était lui aussi un de ces enfants de la Lune, adolescent écrivant des dictionnaires de vieux chinois-chinois.
Il a vendu sa part d'étoile contre une belle maison et un bon train de vie. Avec toutes les apparences de la normalité, plus ou moins forcée. Celle qu'il rencontrera ne sera pas autiste. Mais elle l'entraînera plus loin que la Chine. D'ordinaire, les histoires d'amour, sujet inépuisable, sont nécessairement autobiographiques. Elles rapportent, sous des angles divers, le passé de l'auteur. Et se ressemblent étrangement.
Ici, pour une fois, l'auteur parle d'amour comme cet aveugle de naissance qui décrivit mieux que nul autre la couleur rouge. Il rapporte et tisse cent faits réels, surprenants, déroutants, qui tracent un autre monde. Et nous incitent au voyage sur les routes lointaines d'Autistan.
Il réfléchit lui aussi aux formules entamées alors qu'il enseignait à Polytechnique. Et surtout aux échanges qu'il a eus avec Sonia. Les démonstrations de Sonia étaient belles. Et plus il y réfléchit, moins il trouve le repos dans l'hôtel mille étoiles qui l'héberge. François-Régis, lui, n'est pas affligé de ces maux. Ou plutôt, il ne l'est plus. Il était lui aussi un de ces enfants de la Lune, adolescent écrivant des dictionnaires de vieux chinois-chinois.
Il a vendu sa part d'étoile contre une belle maison et un bon train de vie. Avec toutes les apparences de la normalité, plus ou moins forcée. Celle qu'il rencontrera ne sera pas autiste. Mais elle l'entraînera plus loin que la Chine. D'ordinaire, les histoires d'amour, sujet inépuisable, sont nécessairement autobiographiques. Elles rapportent, sous des angles divers, le passé de l'auteur. Et se ressemblent étrangement.
Ici, pour une fois, l'auteur parle d'amour comme cet aveugle de naissance qui décrivit mieux que nul autre la couleur rouge. Il rapporte et tisse cent faits réels, surprenants, déroutants, qui tracent un autre monde. Et nous incitent au voyage sur les routes lointaines d'Autistan.
Josef Schovanec nous entraîne dans un nouveau voyage, peut-être le plus surprenant et déroutant qui soit pour une personne autiste : l'amour !
Sonia était l'une de ces petites filles promises à la bulle. Sa bulle, ou plutôt son bureau au sein de la plus prestigieuse des universités américaines, est devenu un univers, meublé de chiffres, de graphes et savants calculs. De l'autre côté de la mer, Gabriel attend son repas, debout dans la file d'attente de la soupe populaire, sac de couchage sur le dos en prévision de la nuit glaciale qu'il passera sur un trottoir.
Il réfléchit lui aussi aux formules entamées alors qu'il enseignait à Polytechnique. Et surtout aux échanges qu'il a eus avec Sonia. Les démonstrations de Sonia étaient belles. Et plus il y réfléchit, moins il trouve le repos dans l'hôtel mille étoiles qui l'héberge. François-Régis, lui, n'est pas affligé de ces maux. Ou plutôt, il ne l'est plus. Il était lui aussi un de ces enfants de la Lune, adolescent écrivant des dictionnaires de vieux chinois-chinois.
Il a vendu sa part d'étoile contre une belle maison et un bon train de vie. Avec toutes les apparences de la normalité, plus ou moins forcée. Celle qu'il rencontrera ne sera pas autiste. Mais elle l'entraînera plus loin que la Chine. D'ordinaire, les histoires d'amour, sujet inépuisable, sont nécessairement autobiographiques. Elles rapportent, sous des angles divers, le passé de l'auteur. Et se ressemblent étrangement.
Ici, pour une fois, l'auteur parle d'amour comme cet aveugle de naissance qui décrivit mieux que nul autre la couleur rouge. Il rapporte et tisse cent faits réels, surprenants, déroutants, qui tracent un autre monde. Et nous incitent au voyage sur les routes lointaines d'Autistan.
Il réfléchit lui aussi aux formules entamées alors qu'il enseignait à Polytechnique. Et surtout aux échanges qu'il a eus avec Sonia. Les démonstrations de Sonia étaient belles. Et plus il y réfléchit, moins il trouve le repos dans l'hôtel mille étoiles qui l'héberge. François-Régis, lui, n'est pas affligé de ces maux. Ou plutôt, il ne l'est plus. Il était lui aussi un de ces enfants de la Lune, adolescent écrivant des dictionnaires de vieux chinois-chinois.
Il a vendu sa part d'étoile contre une belle maison et un bon train de vie. Avec toutes les apparences de la normalité, plus ou moins forcée. Celle qu'il rencontrera ne sera pas autiste. Mais elle l'entraînera plus loin que la Chine. D'ordinaire, les histoires d'amour, sujet inépuisable, sont nécessairement autobiographiques. Elles rapportent, sous des angles divers, le passé de l'auteur. Et se ressemblent étrangement.
Ici, pour une fois, l'auteur parle d'amour comme cet aveugle de naissance qui décrivit mieux que nul autre la couleur rouge. Il rapporte et tisse cent faits réels, surprenants, déroutants, qui tracent un autre monde. Et nous incitent au voyage sur les routes lointaines d'Autistan.