Dante, Shakespeare, et la musique
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-38469-209-5
- EAN9782384692095
- Date de parution23/08/2023
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurEditions Homme et Litterature
Résumé
Ce livre permet de saisir ce qu'il y a de musical ou de musique dans l'ouvre et le génie de Shakespeare et Dante.
Les drames de Shakespeare sont pleins de musique ; qu'on veuille extraire ces trésors de la mine, rien de plus naturel selon Henri B. de Bury.
Shakespeare a peut-être plus souvent que Dante inspiré la musique. La musique, plusieurs du moins l'ont ainsi définie, est l'art du sentiment.
Et le sentiment, encore plus que l'idée, forme le royaume de Shakespeare, son royaume immense en étendue comme en profondeur. Entre la poésie et la musique l'union est tellement profonde, intime et naturelle, qu'il semble impossible que l'une des deux aille sans que l'autre la suive. Là où la poésie a passé, les rameaux qu'elle a courbés ne se relèvent pas, les brins d'herbe gardent le pli qu'elle leur a fait prendre ; car les rameaux et les brins d'herbe savent qu'il doit venir tôt ou tard une nymphe aussi blanche et légère dont les pieds délicats suivront la même trace.
Et le sentiment, encore plus que l'idée, forme le royaume de Shakespeare, son royaume immense en étendue comme en profondeur. Entre la poésie et la musique l'union est tellement profonde, intime et naturelle, qu'il semble impossible que l'une des deux aille sans que l'autre la suive. Là où la poésie a passé, les rameaux qu'elle a courbés ne se relèvent pas, les brins d'herbe gardent le pli qu'elle leur a fait prendre ; car les rameaux et les brins d'herbe savent qu'il doit venir tôt ou tard une nymphe aussi blanche et légère dont les pieds délicats suivront la même trace.
Ce livre permet de saisir ce qu'il y a de musical ou de musique dans l'ouvre et le génie de Shakespeare et Dante.
Les drames de Shakespeare sont pleins de musique ; qu'on veuille extraire ces trésors de la mine, rien de plus naturel selon Henri B. de Bury.
Shakespeare a peut-être plus souvent que Dante inspiré la musique. La musique, plusieurs du moins l'ont ainsi définie, est l'art du sentiment.
Et le sentiment, encore plus que l'idée, forme le royaume de Shakespeare, son royaume immense en étendue comme en profondeur. Entre la poésie et la musique l'union est tellement profonde, intime et naturelle, qu'il semble impossible que l'une des deux aille sans que l'autre la suive. Là où la poésie a passé, les rameaux qu'elle a courbés ne se relèvent pas, les brins d'herbe gardent le pli qu'elle leur a fait prendre ; car les rameaux et les brins d'herbe savent qu'il doit venir tôt ou tard une nymphe aussi blanche et légère dont les pieds délicats suivront la même trace.
Et le sentiment, encore plus que l'idée, forme le royaume de Shakespeare, son royaume immense en étendue comme en profondeur. Entre la poésie et la musique l'union est tellement profonde, intime et naturelle, qu'il semble impossible que l'une des deux aille sans que l'autre la suive. Là où la poésie a passé, les rameaux qu'elle a courbés ne se relèvent pas, les brins d'herbe gardent le pli qu'elle leur a fait prendre ; car les rameaux et les brins d'herbe savent qu'il doit venir tôt ou tard une nymphe aussi blanche et légère dont les pieds délicats suivront la même trace.