Dans quel monde vivons-nous ?. Phénoménologie de la pandémie
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- Nombre de pages206
- FormatePub
- ISBN978-2-08-042659-8
- EAN9782080426598
- Date de parution18/10/2023
- Protection num.Adobe DRM
- Taille717 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFlammarion
- TraducteurChristophe Jaquet
Résumé
Il est impossible de reléguer la pandémie de Covid-19 à un passé définitivement révolu, tant cet épisode se révèle porteur d'indispensables enseignements. Dans quel monde vivons-nous désormais ? Tenter de définir le monde tel que nous en avons fait l'expérience à l'heure de la pandémie, c'est aboutir à un paradoxe radical.
D'une part, le mode même de propagation de la maladie à l'échelle planétaire rend plus patente que jamais notre interdépendance : par le toucher, par la respiration, par la plus élémentaire cohabitation à travers l'espace, nous mettons notre vie et celle d'autrui en jeu.
D'autre part, jamais les inégalités sociales n'ont été aussi flagrantes. Ce sont les personnes les plus vulnérables qui font les frais de la pandémie dans une indifférence totale : leurs vies mêmes sont-elles vivables ? Leurs morts mêmes sont-elles pleurables ? Partageons-nous bien un seul et même monde ? Mobilisant les concepts élaborés par Max Scheler, Edmund Husserl ou Maurice Merleau-Ponty, mais également les apports des pensées féministe, queer et antiraciste, ce premier grand essai philosophique sur la pandémie, par l'un des esprits les plus pénétrants du siècle, met à nu les limites de l'individualité et la violence du capitalisme contemporain, et s'attelle à la question incontournable : comment reconstruire un monde habitable par tous ?
D'autre part, jamais les inégalités sociales n'ont été aussi flagrantes. Ce sont les personnes les plus vulnérables qui font les frais de la pandémie dans une indifférence totale : leurs vies mêmes sont-elles vivables ? Leurs morts mêmes sont-elles pleurables ? Partageons-nous bien un seul et même monde ? Mobilisant les concepts élaborés par Max Scheler, Edmund Husserl ou Maurice Merleau-Ponty, mais également les apports des pensées féministe, queer et antiraciste, ce premier grand essai philosophique sur la pandémie, par l'un des esprits les plus pénétrants du siècle, met à nu les limites de l'individualité et la violence du capitalisme contemporain, et s'attelle à la question incontournable : comment reconstruire un monde habitable par tous ?
Il est impossible de reléguer la pandémie de Covid-19 à un passé définitivement révolu, tant cet épisode se révèle porteur d'indispensables enseignements. Dans quel monde vivons-nous désormais ? Tenter de définir le monde tel que nous en avons fait l'expérience à l'heure de la pandémie, c'est aboutir à un paradoxe radical.
D'une part, le mode même de propagation de la maladie à l'échelle planétaire rend plus patente que jamais notre interdépendance : par le toucher, par la respiration, par la plus élémentaire cohabitation à travers l'espace, nous mettons notre vie et celle d'autrui en jeu.
D'autre part, jamais les inégalités sociales n'ont été aussi flagrantes. Ce sont les personnes les plus vulnérables qui font les frais de la pandémie dans une indifférence totale : leurs vies mêmes sont-elles vivables ? Leurs morts mêmes sont-elles pleurables ? Partageons-nous bien un seul et même monde ? Mobilisant les concepts élaborés par Max Scheler, Edmund Husserl ou Maurice Merleau-Ponty, mais également les apports des pensées féministe, queer et antiraciste, ce premier grand essai philosophique sur la pandémie, par l'un des esprits les plus pénétrants du siècle, met à nu les limites de l'individualité et la violence du capitalisme contemporain, et s'attelle à la question incontournable : comment reconstruire un monde habitable par tous ?
D'autre part, jamais les inégalités sociales n'ont été aussi flagrantes. Ce sont les personnes les plus vulnérables qui font les frais de la pandémie dans une indifférence totale : leurs vies mêmes sont-elles vivables ? Leurs morts mêmes sont-elles pleurables ? Partageons-nous bien un seul et même monde ? Mobilisant les concepts élaborés par Max Scheler, Edmund Husserl ou Maurice Merleau-Ponty, mais également les apports des pensées féministe, queer et antiraciste, ce premier grand essai philosophique sur la pandémie, par l'un des esprits les plus pénétrants du siècle, met à nu les limites de l'individualité et la violence du capitalisme contemporain, et s'attelle à la question incontournable : comment reconstruire un monde habitable par tous ?