Curiosités et anomalies du corps humain
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- FormatePub
- ISBN978-2-39009-372-5
- EAN9782390093725
- Date de parution13/11/2019
- Protection num.pas de protection
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurJourdan
Résumé
Découvrez des anecdotes surprenantes sur les différentes modes et pratiques de l'histoire, liées à des superstitions, à des mours ou simplement à l'air du temps. Le corps humain regorge de curiosités, d'anomalies et est l'objet de modes diverses, variées et parfois étonnantes. Dans cet ouvrage surprenant, Augustin Cabanès détaille l'Homme de la tête aux pieds et met en avant tantt les caractéristiques les plus amusantes de nos ancêtres, tantt les différentes superstitions ou les croyances les plus folles qui gravitaient autour de leur corps.
Les dents de Louis XIV, les cheveux de Marie-Antoinette, les hommes « sans cerveau », la mode des tatouages et leurs significations, les bossus célèbres, les gauchers connus, l'habitude des enfants de sucer leur pouce... Rien ne lui échappe ! Augustin Cabanès, docteur en médecine au XXe siècle, nous fait découvrir des nouvelles facettes de l'Histoire en déchiffrant les coutumes, les pratiques et les modes exercées par les femmes et les hommes sur leurs corps.
EXTRAIT Dans l'antiquité, on connaissait aussi les tatouages professionnels : les armuriers de Rome, dont le travail devait être exclusivement consacré à l'État, étaient marqués au bras ; il en était de même des fontainiers, chargés du service des eaux à Constantinople, qui furent assimilés à des soldats et tatoués de même. Il semblerait, d'après certains documents, que les Romains, dont l'organisation militaire était si parfaite, aient utilisé le tatouage pour l'immatriculation soldats.
Vers l'an 440, les conscrits, ou leurs remplaçants étaient marqués sur la main de plusieurs lettres, qui servaient à les faire reconnaître. Cette empreinte, loin d'entraîner quelque chose d'humiliant, était considérée comme un signe honorable, qu'on avait de l'orgueil à montrer. À PROPOS DE L'AUTEUR Augustin Cabanès (1862-1928), journaliste et médecin, docteur en médecine de la Faculté de médecine de Paris, est connu pour ses nombreux ouvrages (Grands Névropathes, Les énigmes de l'Histoire, Les Morts mystérieuses de l'Histoire) sur les mystères de l'Histoire, et de l'Histoire de la médecine, pour laquelle il se passionnait.
Il était Secrétaire de la Société médico-historique.
Les dents de Louis XIV, les cheveux de Marie-Antoinette, les hommes « sans cerveau », la mode des tatouages et leurs significations, les bossus célèbres, les gauchers connus, l'habitude des enfants de sucer leur pouce... Rien ne lui échappe ! Augustin Cabanès, docteur en médecine au XXe siècle, nous fait découvrir des nouvelles facettes de l'Histoire en déchiffrant les coutumes, les pratiques et les modes exercées par les femmes et les hommes sur leurs corps.
EXTRAIT Dans l'antiquité, on connaissait aussi les tatouages professionnels : les armuriers de Rome, dont le travail devait être exclusivement consacré à l'État, étaient marqués au bras ; il en était de même des fontainiers, chargés du service des eaux à Constantinople, qui furent assimilés à des soldats et tatoués de même. Il semblerait, d'après certains documents, que les Romains, dont l'organisation militaire était si parfaite, aient utilisé le tatouage pour l'immatriculation soldats.
Vers l'an 440, les conscrits, ou leurs remplaçants étaient marqués sur la main de plusieurs lettres, qui servaient à les faire reconnaître. Cette empreinte, loin d'entraîner quelque chose d'humiliant, était considérée comme un signe honorable, qu'on avait de l'orgueil à montrer. À PROPOS DE L'AUTEUR Augustin Cabanès (1862-1928), journaliste et médecin, docteur en médecine de la Faculté de médecine de Paris, est connu pour ses nombreux ouvrages (Grands Névropathes, Les énigmes de l'Histoire, Les Morts mystérieuses de l'Histoire) sur les mystères de l'Histoire, et de l'Histoire de la médecine, pour laquelle il se passionnait.
Il était Secrétaire de la Société médico-historique.
Découvrez des anecdotes surprenantes sur les différentes modes et pratiques de l'histoire, liées à des superstitions, à des mours ou simplement à l'air du temps. Le corps humain regorge de curiosités, d'anomalies et est l'objet de modes diverses, variées et parfois étonnantes. Dans cet ouvrage surprenant, Augustin Cabanès détaille l'Homme de la tête aux pieds et met en avant tantt les caractéristiques les plus amusantes de nos ancêtres, tantt les différentes superstitions ou les croyances les plus folles qui gravitaient autour de leur corps.
Les dents de Louis XIV, les cheveux de Marie-Antoinette, les hommes « sans cerveau », la mode des tatouages et leurs significations, les bossus célèbres, les gauchers connus, l'habitude des enfants de sucer leur pouce... Rien ne lui échappe ! Augustin Cabanès, docteur en médecine au XXe siècle, nous fait découvrir des nouvelles facettes de l'Histoire en déchiffrant les coutumes, les pratiques et les modes exercées par les femmes et les hommes sur leurs corps.
EXTRAIT Dans l'antiquité, on connaissait aussi les tatouages professionnels : les armuriers de Rome, dont le travail devait être exclusivement consacré à l'État, étaient marqués au bras ; il en était de même des fontainiers, chargés du service des eaux à Constantinople, qui furent assimilés à des soldats et tatoués de même. Il semblerait, d'après certains documents, que les Romains, dont l'organisation militaire était si parfaite, aient utilisé le tatouage pour l'immatriculation soldats.
Vers l'an 440, les conscrits, ou leurs remplaçants étaient marqués sur la main de plusieurs lettres, qui servaient à les faire reconnaître. Cette empreinte, loin d'entraîner quelque chose d'humiliant, était considérée comme un signe honorable, qu'on avait de l'orgueil à montrer. À PROPOS DE L'AUTEUR Augustin Cabanès (1862-1928), journaliste et médecin, docteur en médecine de la Faculté de médecine de Paris, est connu pour ses nombreux ouvrages (Grands Névropathes, Les énigmes de l'Histoire, Les Morts mystérieuses de l'Histoire) sur les mystères de l'Histoire, et de l'Histoire de la médecine, pour laquelle il se passionnait.
Il était Secrétaire de la Société médico-historique.
Les dents de Louis XIV, les cheveux de Marie-Antoinette, les hommes « sans cerveau », la mode des tatouages et leurs significations, les bossus célèbres, les gauchers connus, l'habitude des enfants de sucer leur pouce... Rien ne lui échappe ! Augustin Cabanès, docteur en médecine au XXe siècle, nous fait découvrir des nouvelles facettes de l'Histoire en déchiffrant les coutumes, les pratiques et les modes exercées par les femmes et les hommes sur leurs corps.
EXTRAIT Dans l'antiquité, on connaissait aussi les tatouages professionnels : les armuriers de Rome, dont le travail devait être exclusivement consacré à l'État, étaient marqués au bras ; il en était de même des fontainiers, chargés du service des eaux à Constantinople, qui furent assimilés à des soldats et tatoués de même. Il semblerait, d'après certains documents, que les Romains, dont l'organisation militaire était si parfaite, aient utilisé le tatouage pour l'immatriculation soldats.
Vers l'an 440, les conscrits, ou leurs remplaçants étaient marqués sur la main de plusieurs lettres, qui servaient à les faire reconnaître. Cette empreinte, loin d'entraîner quelque chose d'humiliant, était considérée comme un signe honorable, qu'on avait de l'orgueil à montrer. À PROPOS DE L'AUTEUR Augustin Cabanès (1862-1928), journaliste et médecin, docteur en médecine de la Faculté de médecine de Paris, est connu pour ses nombreux ouvrages (Grands Névropathes, Les énigmes de l'Histoire, Les Morts mystérieuses de l'Histoire) sur les mystères de l'Histoire, et de l'Histoire de la médecine, pour laquelle il se passionnait.
Il était Secrétaire de la Société médico-historique.
