Correspondance avec André Gide et les siens. 1899-1926

Par : Théo Van Rysselberghe

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages468
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-07-310648-3
  • EAN9782073106483
  • Date de parution29/05/2025
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille4 Mo
  • Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
  • ÉditeurEditions Gallimard
  • Directeur de publicationPierre Masson
  • Directeur de publicationPeter Schnyder

Résumé

L'histoire de l'amitié qui a uni André Gide et le peintre belge néo-impressionniste Théo Van Rysselberghe ne peut se raconter sans qu'on évoque la femme de ce dernier, Maria Van Rysselberghe. C'est par le charme de ce couple que Gide a été conquis. Si Maria a acquis auprès de l'écrivain une place privilégiée, c'est bien Théo, par son talent et son esprit d'ouverture à l'égard des autres créateurs, qui a constitué pour Gide un passeur idéal vers le monde de l'art : le peintre n'a-t-il pas reconnu en lui une figure tutélaire du monde littéraire et artistique, en le plaçant dès 1903 au centre de son grand tableau-manifeste Une lecture ? Cette correspondance, témoignage d'une intimité, renforcée par la proximité entre Gide et Élisabeth Van Rysselberghe - la fille de Théo -, qui devait finalement provoquer la rupture entre les deux hommes, rend compte de leurs réflexions sur l'ouvre à accomplir selon l'idéal propre à "l'esprit NRF" : la recherche patiente de la qualité, sans compromis ni compromissions.
L'histoire de l'amitié qui a uni André Gide et le peintre belge néo-impressionniste Théo Van Rysselberghe ne peut se raconter sans qu'on évoque la femme de ce dernier, Maria Van Rysselberghe. C'est par le charme de ce couple que Gide a été conquis. Si Maria a acquis auprès de l'écrivain une place privilégiée, c'est bien Théo, par son talent et son esprit d'ouverture à l'égard des autres créateurs, qui a constitué pour Gide un passeur idéal vers le monde de l'art : le peintre n'a-t-il pas reconnu en lui une figure tutélaire du monde littéraire et artistique, en le plaçant dès 1903 au centre de son grand tableau-manifeste Une lecture ? Cette correspondance, témoignage d'une intimité, renforcée par la proximité entre Gide et Élisabeth Van Rysselberghe - la fille de Théo -, qui devait finalement provoquer la rupture entre les deux hommes, rend compte de leurs réflexions sur l'ouvre à accomplir selon l'idéal propre à "l'esprit NRF" : la recherche patiente de la qualité, sans compromis ni compromissions.