Correspondance. 1896-1950

Par : André Gide, Edmond Jaloux

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages416
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7297-1312-6
  • EAN9782729713126
  • Date de parution29/08/2022
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Lyon
  • AnnotateurPierre Lachasse

Résumé

Le jeudi 23 avril 1896, dans sa chambre de la rue des Tonneliers à Marseille, un jeune poète de 18 ans, qui vient de faire paraître à compte d'auteur un recueil de vers symbolistes, reçoit la visite inattendue d'André Gide, de huit ans son aîné. Entre Edmond Jaloux et l'auteur de Paludes et du Voyage d'Urien dont il lit les ouvres à la manière d'un bréviaire où pulser un sens à sa vie et à son engagement littéraire, c'est le début d'une longue amitié qui, sans être ni pour l'un ni pour l'autre de premier plan, durera avec ses cimes et ses creux jusqu'à la fin de leurs jours.
La correspondance, inaugurée par cette première rencontre, constitue d'abord pour le plus jeune une véritable initiation morale et intellectuelle, jalonnée par ses lectures renouvelées des ouvres de l'aîné - le « Récit de Ménalque », Les Nourritures terrestres et L'Immoraliste qu'il est l'un des premiers à comprendre - puis par l'écriture de ses premiers textes en prose qu'il soumet tremblant à son maître, enfin par l'attente fiévreuse de ses visites qu'il souhaiterait toujours plus fréquentes.
Cette amitié passionnée de l'apprenti poète pour l'écrivain déjà reconnu par une élite pourrait sembler disproportionnée, mais Gide, qui ressent une vive sympathie pour l'enthousiasme de ce néophyte, éprouve auprès de lui la force de l'influence en littérature en l'aidant à se découvrir romancier. Ces lettres, inédites pour l'essentiel, découvrent ainsi les débuts d'une aventure intellectuelle et montrent que l'éducation d'un esprit ne consiste pas à le faire pareil à soi, mais à développer sa profonde singularité, son « idiosyncrasie » aurait dit Gide.
Elles redonnent aussi vie à Edmond Jaloux, que son ouvre abondante, injustement oubliée, porta à l'Académie et dont le magistère, exercé notamment aux Nouvelles littéraires, fit de lui le critique le plus redouté de son temps.
Le jeudi 23 avril 1896, dans sa chambre de la rue des Tonneliers à Marseille, un jeune poète de 18 ans, qui vient de faire paraître à compte d'auteur un recueil de vers symbolistes, reçoit la visite inattendue d'André Gide, de huit ans son aîné. Entre Edmond Jaloux et l'auteur de Paludes et du Voyage d'Urien dont il lit les ouvres à la manière d'un bréviaire où pulser un sens à sa vie et à son engagement littéraire, c'est le début d'une longue amitié qui, sans être ni pour l'un ni pour l'autre de premier plan, durera avec ses cimes et ses creux jusqu'à la fin de leurs jours.
La correspondance, inaugurée par cette première rencontre, constitue d'abord pour le plus jeune une véritable initiation morale et intellectuelle, jalonnée par ses lectures renouvelées des ouvres de l'aîné - le « Récit de Ménalque », Les Nourritures terrestres et L'Immoraliste qu'il est l'un des premiers à comprendre - puis par l'écriture de ses premiers textes en prose qu'il soumet tremblant à son maître, enfin par l'attente fiévreuse de ses visites qu'il souhaiterait toujours plus fréquentes.
Cette amitié passionnée de l'apprenti poète pour l'écrivain déjà reconnu par une élite pourrait sembler disproportionnée, mais Gide, qui ressent une vive sympathie pour l'enthousiasme de ce néophyte, éprouve auprès de lui la force de l'influence en littérature en l'aidant à se découvrir romancier. Ces lettres, inédites pour l'essentiel, découvrent ainsi les débuts d'une aventure intellectuelle et montrent que l'éducation d'un esprit ne consiste pas à le faire pareil à soi, mais à développer sa profonde singularité, son « idiosyncrasie » aurait dit Gide.
Elles redonnent aussi vie à Edmond Jaloux, que son ouvre abondante, injustement oubliée, porta à l'Académie et dont le magistère, exercé notamment aux Nouvelles littéraires, fit de lui le critique le plus redouté de son temps.
André Gide
Né le 22 novembre 1869 à Paris, André Gide fait partie de l'entourage littéraire de Mallarmé et de Valéry dès 1891. Il fonde avec quelques amis La Nouvelle Revue Française en 1908, donnant trois ans plus tard aux Éditions de la N.R.F. l'une de leurs toutes premières publications, Isabelle. Par son oeuvre, ses prises de position, ses nombreuses amitiés et ses voyages, il exerce durant l'entre-deux-guerres et au-delà un véritable magistère. Il reçoit le prix Nobel de Littérature en 1947 et meurt à Paris le 19 février 1951.
Les faux-monnayeurs
3.7/5
4.2/5
André Gide
E-book
9,99 €
La dame de pique
3.9/5
Alexandre Pouchkine
Poche
4,00 €
La dame de pique
3.9/5
Alexandre Pouchkine
E-book
Gratuit
LA SEQUESTREE DE POITIERS
André Gide
E-book
7,99 €
La faim
5/5
4/5
Knut Hamsun
E-book
7,49 €
La Faim
5/5
4/5
Knut Hamsun
Poche
8,90 €
La faim
5/5
4/5
Knut Hamsun
Poche
7,95 €
La symphonie pastorale
4/5
3.9/5
André Gide
E-book
8,49 €