Nouveauté

Classé cancérogène. Enquête sur un processus entravé

Par : Valentin Thomas
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages204
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7246-4392-3
  • EAN9782724643923
  • Date de parution27/06/2025
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurPresses de Sciences Po

Résumé

En 2023, plus de 215 000 substances de synthèse sont utilisées dans l'Union européenne. Il y a parmi elles des composés auxquels des pans entiers de la population sont exposés chaque jour. À peine 0, 5% de ces composés chimiques sont considérés comme cancérogènes, ou raisonnablement suspectés de l'être. Dans l'écrasante majorité des cas, la commercialisation de ces substances ne génère aucune discussion sur leur caractère cancérogène. Dédié à la recherche, le CIRC n'a pas de pouvoir politique formel, mais lorsqu'il classe quelque chose comme "cancérogène", le poids scientifique qu'il a accumulé oblige a minima d'autres institutions à travers le monde à considérer le problème à leur tour.
Valentin Thomas a suivi le processus de classification et montre pourquoi il est si entravé. Sociologue, Valentin Thomas est post doctorant à Sciences Po Lyon.
En 2023, plus de 215 000 substances de synthèse sont utilisées dans l'Union européenne. Il y a parmi elles des composés auxquels des pans entiers de la population sont exposés chaque jour. À peine 0, 5% de ces composés chimiques sont considérés comme cancérogènes, ou raisonnablement suspectés de l'être. Dans l'écrasante majorité des cas, la commercialisation de ces substances ne génère aucune discussion sur leur caractère cancérogène. Dédié à la recherche, le CIRC n'a pas de pouvoir politique formel, mais lorsqu'il classe quelque chose comme "cancérogène", le poids scientifique qu'il a accumulé oblige a minima d'autres institutions à travers le monde à considérer le problème à leur tour.
Valentin Thomas a suivi le processus de classification et montre pourquoi il est si entravé. Sociologue, Valentin Thomas est post doctorant à Sciences Po Lyon.