Cauchemars italiens. Volume 2, Le cinéma horrifique

Par : Frank Lafond

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  • Nombre de pages184
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-45282-4
  • EAN9782296452824
  • Date de parution01/02/2011
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille3 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Mario Bava, Dario Argento et Lucio Fulci. Pour nombre de spécialistes, ces trois noms semblent d'ordinaire résumer à eux seuls la production italienne en matière de cinéma fantastique et horrifique. Pourtant, ils sont loin de suffire à rendre compte de la richesse de ces genres. Cauchemars italiens, volume 2 : Le cinéma horrifique adopte, à l'instar du premier volume, une variété': d'approches afin de cerner au mieux les particularités d'un cinéma n'ayant jamais rechigné devant des images gore et répulsives.
Après l'examen de deux genres possédant des affinités avec l'horreur - le péplum et le giallo -, ]'oeuvre de Dario Argento est abordée par le biais d'un témoignage sur l'écriture de Quatre mouches de velours gris (1971) et d'une lecture du Syndrome de Stendhal (1996). Relevant aussi du giallo, mais bien moins connus, deux longs métrages de Francesco Barilli bénéficient également d'une attention toute particulière.
La violence et la cruauté à l'oeuvre dans des productions extrêmes de l'horreur à l'italienne sont enfin questionnées : tandis que les films de cannibales offrent l'opportunité de s'interroger sur le pouvoir des images, Salô ou les 120 journées de Sodome (1975) de Pier Paolo Pasolini suscite une réflexion sur le statut du spectateur ainsi qu'un parallèle avec le phénomène de la télé-réalité.
Mario Bava, Dario Argento et Lucio Fulci. Pour nombre de spécialistes, ces trois noms semblent d'ordinaire résumer à eux seuls la production italienne en matière de cinéma fantastique et horrifique. Pourtant, ils sont loin de suffire à rendre compte de la richesse de ces genres. Cauchemars italiens, volume 2 : Le cinéma horrifique adopte, à l'instar du premier volume, une variété': d'approches afin de cerner au mieux les particularités d'un cinéma n'ayant jamais rechigné devant des images gore et répulsives.
Après l'examen de deux genres possédant des affinités avec l'horreur - le péplum et le giallo -, ]'oeuvre de Dario Argento est abordée par le biais d'un témoignage sur l'écriture de Quatre mouches de velours gris (1971) et d'une lecture du Syndrome de Stendhal (1996). Relevant aussi du giallo, mais bien moins connus, deux longs métrages de Francesco Barilli bénéficient également d'une attention toute particulière.
La violence et la cruauté à l'oeuvre dans des productions extrêmes de l'horreur à l'italienne sont enfin questionnées : tandis que les films de cannibales offrent l'opportunité de s'interroger sur le pouvoir des images, Salô ou les 120 journées de Sodome (1975) de Pier Paolo Pasolini suscite une réflexion sur le statut du spectateur ainsi qu'un parallèle avec le phénomène de la télé-réalité.