Brassens : délit d'amitié
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- Nombre de pages157
- FormatePub
- ISBN2-35287-655-9
- EAN9782352876557
- Date de parution03/10/2001
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1019 Ko
- ÉditeurArchipel
- PréfacierBernard Morlino
Résumé
Louis Nucéra éprouva un coup de foudre amical pour Georges Brassens dès qu'il l'entendit chanter à la radio. Leur première rencontre eut lieu en 1954, à Nice. Jusqu'à la mort du chanteur, le 29 octobre 1981, ils dialogueront à l'infini. L'écrivain ne cachait pas que la gentillesse, la lucidité, l'humilité et le talent du chanteur l'aidaient à supporter la folie contemporaine. Au cours d'une série d'entretiens réalisée en 1974 pour RTL, qui est reprise in extenso dans cet ouvrage, Louis Nucéra obtint des confidences de son ami, qui parlait en toute confiance.
Brassens y avance à pas feutrés pour mieux déverser sa diatribe contre le genre humain. Certains n'en ressortent pas indemnes. Entre les coups de colère contre les « programmateurs » de l'audiovisuel, il glisse des compliments en direction de Ray Ventura, Charles Trenet, Mireille, Paul Misraki, Jacques Brel, Barbara et Bobby Lapointe. L'interviewé et l'intervieweur sont des combattants solitaires et solidaires.
Quand ils ne se voyaient pas, Nucéra, l'aristocrate du peuple, célébrait l'anarchiste Brassens dans des articles qui sont des exercices de style en forme de lettres d'amour. Les voici réunis pour la première fois dans une édition entreprise par Louis Nucéra, quelques semaines avant sa disparition.
Brassens y avance à pas feutrés pour mieux déverser sa diatribe contre le genre humain. Certains n'en ressortent pas indemnes. Entre les coups de colère contre les « programmateurs » de l'audiovisuel, il glisse des compliments en direction de Ray Ventura, Charles Trenet, Mireille, Paul Misraki, Jacques Brel, Barbara et Bobby Lapointe. L'interviewé et l'intervieweur sont des combattants solitaires et solidaires.
Quand ils ne se voyaient pas, Nucéra, l'aristocrate du peuple, célébrait l'anarchiste Brassens dans des articles qui sont des exercices de style en forme de lettres d'amour. Les voici réunis pour la première fois dans une édition entreprise par Louis Nucéra, quelques semaines avant sa disparition.
Louis Nucéra éprouva un coup de foudre amical pour Georges Brassens dès qu'il l'entendit chanter à la radio. Leur première rencontre eut lieu en 1954, à Nice. Jusqu'à la mort du chanteur, le 29 octobre 1981, ils dialogueront à l'infini. L'écrivain ne cachait pas que la gentillesse, la lucidité, l'humilité et le talent du chanteur l'aidaient à supporter la folie contemporaine. Au cours d'une série d'entretiens réalisée en 1974 pour RTL, qui est reprise in extenso dans cet ouvrage, Louis Nucéra obtint des confidences de son ami, qui parlait en toute confiance.
Brassens y avance à pas feutrés pour mieux déverser sa diatribe contre le genre humain. Certains n'en ressortent pas indemnes. Entre les coups de colère contre les « programmateurs » de l'audiovisuel, il glisse des compliments en direction de Ray Ventura, Charles Trenet, Mireille, Paul Misraki, Jacques Brel, Barbara et Bobby Lapointe. L'interviewé et l'intervieweur sont des combattants solitaires et solidaires.
Quand ils ne se voyaient pas, Nucéra, l'aristocrate du peuple, célébrait l'anarchiste Brassens dans des articles qui sont des exercices de style en forme de lettres d'amour. Les voici réunis pour la première fois dans une édition entreprise par Louis Nucéra, quelques semaines avant sa disparition.
Brassens y avance à pas feutrés pour mieux déverser sa diatribe contre le genre humain. Certains n'en ressortent pas indemnes. Entre les coups de colère contre les « programmateurs » de l'audiovisuel, il glisse des compliments en direction de Ray Ventura, Charles Trenet, Mireille, Paul Misraki, Jacques Brel, Barbara et Bobby Lapointe. L'interviewé et l'intervieweur sont des combattants solitaires et solidaires.
Quand ils ne se voyaient pas, Nucéra, l'aristocrate du peuple, célébrait l'anarchiste Brassens dans des articles qui sont des exercices de style en forme de lettres d'amour. Les voici réunis pour la première fois dans une édition entreprise par Louis Nucéra, quelques semaines avant sa disparition.