Bella-Vista
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- Nombre de pages176
- FormatePub
- ISBN978-2-213-70363-3
- EAN9782213703633
- Date de parution29/08/2016
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille417 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard
Résumé
" C'est folie de croire que les périodes vides d'amour sont les " blancs " d'une existence de femme. Bien au contraire. Que demeure-t-il, à le raconter, d'un attachement passionné? L'amour parfait se raconte en trois lignes: Il m'aima, je L'aima, Sa présence supprima toutes les autres présences; nous fûmes heureux, puis Il cessa de m'aimer et je souffris... " Honnêtement, le reste est éloquence, ou verbiage.
L'amour parti, vient une bonace qui ressuscite des amis, des passants, autant d'épisodes qu'en comporte un songe bien peuplé, des sentiments normaux comme la peur, la gaieté, l'ennui, la conscience du temps et de sa fuite. Ces " blancs " qui se chargèrent de me fournir l'anecdote, les personnages émus, égarés, illisibles ou simples qui me saisissaient par la manche, me prenaient à témoin puis me laissaient aller, je ne savais pas, autrefois, que j'aurais dû justement les compter pour intermèdes plus romanesques que le drame intime.
Je ne finirai pas ma tâche d'écrivain sans essayer, comme je veux le faire ici, de les tirer d'une ombre où les relégua l'impudique devoir de parler de l'amour en mon nom personnel. ".
L'amour parti, vient une bonace qui ressuscite des amis, des passants, autant d'épisodes qu'en comporte un songe bien peuplé, des sentiments normaux comme la peur, la gaieté, l'ennui, la conscience du temps et de sa fuite. Ces " blancs " qui se chargèrent de me fournir l'anecdote, les personnages émus, égarés, illisibles ou simples qui me saisissaient par la manche, me prenaient à témoin puis me laissaient aller, je ne savais pas, autrefois, que j'aurais dû justement les compter pour intermèdes plus romanesques que le drame intime.
Je ne finirai pas ma tâche d'écrivain sans essayer, comme je veux le faire ici, de les tirer d'une ombre où les relégua l'impudique devoir de parler de l'amour en mon nom personnel. ".
" C'est folie de croire que les périodes vides d'amour sont les " blancs " d'une existence de femme. Bien au contraire. Que demeure-t-il, à le raconter, d'un attachement passionné? L'amour parfait se raconte en trois lignes: Il m'aima, je L'aima, Sa présence supprima toutes les autres présences; nous fûmes heureux, puis Il cessa de m'aimer et je souffris... " Honnêtement, le reste est éloquence, ou verbiage.
L'amour parti, vient une bonace qui ressuscite des amis, des passants, autant d'épisodes qu'en comporte un songe bien peuplé, des sentiments normaux comme la peur, la gaieté, l'ennui, la conscience du temps et de sa fuite. Ces " blancs " qui se chargèrent de me fournir l'anecdote, les personnages émus, égarés, illisibles ou simples qui me saisissaient par la manche, me prenaient à témoin puis me laissaient aller, je ne savais pas, autrefois, que j'aurais dû justement les compter pour intermèdes plus romanesques que le drame intime.
Je ne finirai pas ma tâche d'écrivain sans essayer, comme je veux le faire ici, de les tirer d'une ombre où les relégua l'impudique devoir de parler de l'amour en mon nom personnel. ".
L'amour parti, vient une bonace qui ressuscite des amis, des passants, autant d'épisodes qu'en comporte un songe bien peuplé, des sentiments normaux comme la peur, la gaieté, l'ennui, la conscience du temps et de sa fuite. Ces " blancs " qui se chargèrent de me fournir l'anecdote, les personnages émus, égarés, illisibles ou simples qui me saisissaient par la manche, me prenaient à témoin puis me laissaient aller, je ne savais pas, autrefois, que j'aurais dû justement les compter pour intermèdes plus romanesques que le drame intime.
Je ne finirai pas ma tâche d'écrivain sans essayer, comme je veux le faire ici, de les tirer d'une ombre où les relégua l'impudique devoir de parler de l'amour en mon nom personnel. ".